Critique : Alyah
Difficile de ne pas
voir dans Alyah la volonté des sélecteurs de la Quinzaine des
réalisateurs du festival de Cannes 2012 de faire écho à la tragédie survenue
Paris 2011. Alex a vingt-sept ans. Il vend du shit et vit dans l’ombre de son frère Isaac, lequel après avoir été son soutien est devenu son fardeau. Alors quand son cousin lui annonce qu’il ouvre un restaurant à Tel-Aviv, Alex imagine le rejoindre pour changer enfin de vie. Déterminé à partir, Alex doit dès lors trouver de l’argent et faire son Alyah. Mais il devra aussi tout quitter : Paris qu’il aime tant, Esther son ancien amour, Mathias son ami de toujours et Jeanne qu’il vient de rencontrer. Saisi entre son Alyah, la vente de drogue, ses amours complexes et un frère destructeur, Alex devra trouver sa voie.
Difficile de ne pas
voir dans Alyah la volonté des sélecteurs de la Quinzaine des
réalisateurs du festival de Cannes 2012 de faire écho à la tragédie survenue