Critique : Scar 3D
Avec l'accroche « Votre premier voyage au plus profond de l'horreur »,
l'affiche de Scar 3D promet beaucoup et se vante même d'être le premier film
d'horreur
De son adolescence, Joan Burrows garde des traces profondes,
traumatiques. La plus visible : une cicatrice sur le visage. La moins :
le souvenir refoulé des tortures que lui inflige Bishop, un serial
killer aussi coupable d'avoir, sous ses yeux, achevé sa meilleure amie.
Ce même Bishop qu'elle a pourtant tué et qui, désormais, semble revivre
pour poursuivre au-delà de la mort son abominable croisade.
Bishop
vivant ? C'est ce que croit Joan car, de retour dans la ville de son
enfance pour la fin de la saison scolaire de sa nièce, elle voit dans
une vague de meurtres sauvages la main du tueur en série. Même sadisme,
même mode opératoire, victimes du même profil... Troublant. D'autant
plus que le serial killer supposé mort enlève sa nièce, Olympia, et sa
meilleure amie. Inlassablement, les horreurs du passé semblent vouloir
se reproduire, encore et encore.
Elle-même soupçonnée des
assassinats, au seuil de la folie, Joan Burrows doit, seule, surmonter
sa peur pour définitivement vaincre des fantômes dangereusement réels...
Avec l'accroche « Votre premier voyage au plus profond de l'horreur »,
l'affiche de Scar 3D promet beaucoup et se vante même d'être le premier film
d'horreur