Critique : All God's children can dance
Le drame de Kengo est de n'avoir jamais connu son père. Sa mère, évangéliste jusqu'au bout des ongles, lui a suriné depuis tout petit qu'il était le fils de
Critique - Film
09/09/2008
In Korea Town Los Angeles, a young man, Kengo, believes he's the son of God - that's what his mother told him since he was a young boy. He spends his days working his dead-end job and figuring out his complex feelings for his girlfriend until, one day, he sees a one-eared man who could be his father and decides to follow him around Los Angeles.
Le drame de Kengo est de n'avoir jamais connu son père. Sa mère, évangéliste jusqu'au bout des ongles, lui a suriné depuis tout petit qu'il était le fils de