Critique : Jacquou le Croquant
Laissant de côté Mylène Farmer, Laurent Boutonnat, replonge dans l'expérience du long-métrage après l'échec de Giorgino pour signer avec Jacquou le croquant
1815. Jacquou, jeune paysan du Périgord, vit heureux avec ses parents. Par la faute d'un noble, cruel et arrogant, le comte de Nansac, il devient orphelin et misérable. Jurant de se venger, Jacquou va grandir et s'épanouir sous la protection du bon curé Bonal qui le recueille. Grâce à des amis sûrs et à Lina, une jeune fille patiente et lumineuse, il deviendra en quelques années un jeune homme déterminé et séduisant. Il saura transformer son désir de vengeance en un combat contre l'injustice, et prouver qu'un simple croquant n'est pas dénué de grandeur.
Laissant de côté Mylène Farmer, Laurent Boutonnat, replonge dans l'expérience du long-métrage après l'échec de Giorgino pour signer avec Jacquou le croquant