Critique : Eragon
Dès les premiers instants d'Eragon, toutes les ambitions du film sont posées : l'inimitable voix de Jeremy Irons nous présente un très classique univers d'heroic
Autrefois, la paix et la prospérité régnaient en terre d'Alagaësia. Les Dragons avaient alors fait don à leurs Dragonniers de pouvoirs magiques, et même de l'immortalité. Aucun ennemi ne pouvait les vaincre... jusqu'à ce que l'un des leurs, Galbatorix, décide de trahir pour s'approprier tous ces pouvoirs et en jouir seul en détruisant tous les autres Dragonniers. Un jeune homme, Eragon, découvre un oeuf étrange aux lueurs bleues, qui donne naissance à un Dragon femelle. Il le baptise Saphira. Le temps des Dragonniers est revenu... Avec l'aide de son mentor, Brom, Eragon va découvrir quel est son vrai destin. Lui seul peut faire renaître l'âge d'or de la justice, il est l'unique espoir du peuple d'Alagaësia, mais pour cela il va devoir affronter Galbatorix et vivre la plus fabuleuse des sagas...
Dès les premiers instants d'Eragon, toutes les ambitions du film sont posées : l'inimitable voix de Jeremy Irons nous présente un très classique univers d'heroic
Thierry Klifa et Patrice Leconte ont du mal à résister au démarrage pourtant décevant d'Eragon, lui-même déjà largué par Besson et les minimoys. Une pensée
Nouveau chapitre dans l'histoire de l'heroic fantasy familiale (le jeune héros, son dragon de compagnie, la quête à remplir avant dîner), Eragon laisse paraître