Critique : Melinda et Melinda
Aussi précis qu'une horloge, Woody Allen livre depuis vingt ans un film tous les trois cent soixante-cinq jours (à dix ou douze près). Sorte d'anti-Terrence Malick
Critique - Film
12/01/2005
Melinda, jolie jeune femme déboussolée fait irruption dans un dîner mondain. Elle s'incruste dans la vie de deux couples, suscitant ici la tentation de l'infidélité, là une délicieuse passion amoureuse, et va révéler l'érosion de leurs sentiments et leurs difficultés à communiquer.
Aussi précis qu'une horloge, Woody Allen livre depuis vingt ans un film tous les trois cent soixante-cinq jours (à dix ou douze près). Sorte d'anti-Terrence Malick