J'ai perdu Albert : critique qui n'avait pas mérité ça
Stéphane Plaza a Albert Einstein dans le cerveau. Voilà. C'est comme ça. Ce sont des choses qui arrivent. Ou pas.
Chloé, jeune médium que s’arrachent les grands chefs d’entreprises, les hommes politiques et la jet set, abrite en elle depuis l’enfance l’esprit d’Albert Einstein. Mais, prise au piège de son succès, elle en fait trop ! Surmenée, les informations ne « passent » plus. Alors Albert décide de déménager… Pour le meilleur et pour le pire, il s’installe dans Zac, un dépressif cartésien, apiculteur en déroute et garçon de café. Devenus indissociables et complémentaires, parce que l’un détient le « génie » et l’autre son mode d’emploi, Zac et Chloé, ces deux êtres que tout oppose, vont vivre en 48 heures le plus hallucinant des ménages à trois...
Stéphane Plaza a Albert Einstein dans le cerveau. Voilà. C'est comme ça. Ce sont des choses qui arrivent. Ou pas.
Quand le public hurle que la recette des comédies et adaptations de BD n'est pas vraiment l'assurance du succès.