Critique : Sans laisser de traces
Deux choses frappent avant d'avoir vu le premier film de
Gregory Vigneron : le choix du titre qui se prête à la moquerie facile si
le résultat n'est
A bientôt quarante ans, Etienne, sur le point de prendre la présidence de son groupe, veut soulager sa conscience d'une injustice qu'il a commise au début de sa carrière et qui, précisément, l'a lancée. Convaincu par un ami de jeunesse, il se rend chez l'homme qu'il a lésé à l'époque pour le dédommager. Mais les choses tournent mal et l'homme est tué par son ami. Etienne tente alors de reprendre le cours de sa vie, mais celle-ci vire peu à peu au cauchemar. Harcelé par son ami, rattrapé par l'enquête de police, plus Etienne se débat, et plus l'étau se resserre. Au bout du rouleau, Etienne réalise qu'il ne lui reste plus qu'une seule solution...
Deux choses frappent avant d'avoir vu le premier film de
Gregory Vigneron : le choix du titre qui se prête à la moquerie facile si
le résultat n'est