Critique : Mon nom est Personne
À l'évocation du titre Mon nom est Personne, beaucoup d'entre nous peuvent se remémorer avec bonheur les soirées vidéo d'antan où, entre potes, on se passait
Constatant qu'il prend de l'âge, Jack Beauregard, légendaire pistolero, songe à rengainer ses colts et à quitter l'Ouest pour l'Europe, où il compte achever paisiblement sa vie. Mais l'argent du voyage lui manque. C'est à ce moment que débarque un jeune aventurier énigmatique. Il se fait appeler «Personne» et voue à Jack une admiration sans bornes, quelque peu encombrante. Il aimerait que son héros affronte les 150 hors-la-loi qui forment la redoutable «horde sauvage». Ces derniers, qui se sont déjà rendus coupables de l'assassinat du frère de Jack, ont leur propre idée sur la question. Ils tentent de prendre les devants et, moyennant finances, proposent à Personne d'abattre Jack...
À l'évocation du titre Mon nom est Personne, beaucoup d'entre nous peuvent se remémorer avec bonheur les soirées vidéo d'antan où, entre potes, on se passait
Sergio Leone et Ennio Morricone vont tuer le genre du western spaghetti et le faire entrer dans l'histoire du cinéma grâce à Mon nom est Personne.