À l’occasion de la sortie du magnifique DLC Shadow of the Erdtree d’Elden Ring, du grand maître Hidetaka Miyazaki, on s’est dit que c’était le moment de classer les SoulsBorne de FromSoftware du pire au meilleur.
Au début des années 2010, avec Demon’s Souls, puis Dark Souls, la société japonaise FromSoftware a créé une véritable institution, et a donné naissance à un genre à part entière : celui des Souls-like. Quelques années plus tard, avec Bloodborne, le terme a muté pour générer la notion de « SoulsBorne« , soit littéralement les jeux qui s’inspirent/copient/pillent les action-RPG réalisé par Hidetaka Miyazaki.
Le dernier né du studio, Elden Ring est d’ores et déjà tout auréolé de gloire, et se place parmi les jeux les mieux notés de l’histoire du jeu vidéo, une véritable consécration pour cette saga de jeu souvent considérée (à tort) comme des titres de niche réservés à celles et ceux qui recherchent des expériences quasi masochistes.

Au-delà de l’apparente difficulté des titres de la saga, se cachent en réalité des action-RPG extrêmement bien conçus et gratifiants, où le challenge n’est là que pour permettre au joueur de s’améliorer, et de progresser toujours plus. Grâce à un level-design extrêmement soigné, à des méthodes de narration novatrices, à un gameplay exigeant, et à des combats de boss tous plus dantesques les uns que les autres, la saga a su fidéliser une fan-base toujours plus importante.
Avec l’arrivée aux allures de révolution d’Elden Ring, qui éclate la formule d’origine des Souls pour passer du côté du monde ouvert, on s’est dit qu’il était temps de classer tous les jeux de la saga des Souls développés par FromSoftware du pire au meilleur.

8 – Dark Souls 2
- Sortie : 14 mars 2014
- Disponible sur PC, PS3, Xbox 360 (Xbox One et PS4 via Dark Souls Trilogy)

Le vilain petit canard de la saga des SoulsBorne c’est bien lui : Dark Souls 2. Seul jeu de la saga à ne pas avoir été réalisé par Hidetaka Miyazaki, alors occupé sur le projet BloodBorne, DS2 n’a ni le souffle épique d’un Dark Souls 1 ni l’aspect mystérieux d’un Demon’s Souls. Victime d’une production chaotique, le jeu a été réalisé, puis annulé, et enfin reconstruit sur les cendres d’un soft qui n’existait plus.
Pour prendre le relais de Miyazaki, FromSotware avait confié le projet à Tomohiro Shibuya (ex-Capcom) et Yui Tanimura (un vétéran FromSoft). Et les deux hommes ne s’entendaient absolument pas. Les équipes recevaient des instructions contradictoires, le jeu allait droit dans le mur. Au bout d’un an, Shibuya est mis au placard, et Tanimura a dû tout reprendre de zéro.

Comme tout soft qui a subi ce type de développement chaotique, le résultat s’en ressentait très fortement. Dark Souls 2 n’était pas un mauvais jeu dans l’absolu, ce n’est pas un nanar vidéoludique, mais plutôt un animal malade et un très mauvais SoulsBorne. La conception des niveaux était sans surprise, les boss n’avaient rien d’exceptionnel, et le titre était bourré de graves problèmes techniques, avec des bugs à répétition. Comme pour DS1 et Demon’s Souls, la caméra était l’un des pires ennemis des joueurs.
Ajoutons à cela le fait que le jeu ne disposait d’aucun vrai moment mémorable et DS2 fait pâle figure face à ses pairs. Les joueurs ont eu plus l’impression d’avoir affaire avec un Dark Souls 1.5 plutôt qu’à une réelle suite. La version augmentée du jeu, Scholar Of The First Sin sauvera à peu près les meubles en corrigeant quelques défauts graphiques, mais n’est pas parvenue à redresser suffisamment la barre pour en faire un jeu décent.
7 – Demon’s Souls
- Sortie : 25 juin 2010
- Disponible sur PS3

Lorsque Demon’s Souls est arrivé sur le marché en 2009 (2010 en Europe) sur PlayStation 3, il a fait sensation tant auprès des critiques qu’après du public. Sa proposition radicale, qui mettait les joueurs au coeur d’une expérience âpre et cryptique, a été un choc vidéoludique. À l’heure de l’assistanat et des expériences de jeu toujours plus simples et accessibles, Demon’s Souls a fait le choix de ne pas prendre les joueurs par la main, mais de les laisser tout découvrir par eux-mêmes.
Lointain héritier des King’s Field, son level-design labyrinthique et son univers mystérieux sont parvenus à fasciner les gamers, et le titre avait été nommé plusieurs fois « meilleur action-RPG de l’année » par de nombreuses rédactions. Exclusivité PS3, le jeu avait attiré l’attention sur le studio FromSoftware, mais surtout sur le réalisateur du titre : Hidetaka Miyazaki.

Cependant, malgré la pluie d’excellentes notes que le titre avait récoltées, tout n’était pas rose. Demon’s Souls souffrait d’une technique moyenne, d’une qualité graphique assez médiocre, et le jeu crachait ses poumons en tentant d’aller chercher un affichage à 30 images par secondes. De plus, son lore était si obscur que de nombreux joueurs se retrouvaient parfois perdus sans comprendre quoi faire pour faire avancer l’intrigue.
Pour un coup d’essai, le premier jeu réalisé par Miyazaki a été un coup de maître, mais perfectible sur de nombreux points. Et vouloir s’y plonger aujourd’hui relève plus du sacerdoce ou de l’exploration historico-vidéoludique que du réel plaisir de jeu, tant sa technique et son confort de jeu renvoient à un autre âge. On passe autant de temps à lutter contre l’input lag que contre la caméra, et les morts injustes à cause de celle-ci auront rendu plus d’un aventurier fou de rage.
6 – Dark Souls
- Sortie : 7 octobre 2011
- Disponible sur PC, PS3, Xbox 360 (PS4, Xbox One et Switch via Dark Souls Remastered)

Celui par lequel tout est arrivé. Le mètre-étalon du genre auquel il a donné son nom, Dark Souls a changé le paysage vidéoludique de 2011. Au-delà de son aura de jeu impitoyable, avec une campagne de communication qui a beaucoup joué sur l’image de jeu pour hardcore gamer (avec une édition PC nommée « Prepare to Die »), DS cachait un système de RPG particulièrement riche et complet.
Dark Souls s’est imposé dès sa sortie en 2011 comme une expérience de jeu qui prenait à rebrousse-poil les poncifs du jeu vidéo de son époque. Alors que la mode était au jeu bac à sable où l’on incarnait un héros surpuissant, Miyazaki a fait le pari de mettre les joueurs dans la peau d’un héros fragile, qui pouvait être terrassé par n’importe quel ennemi. Face à un tel danger, chaque ennemi abattu était une victoire, et chaque victoire une célébration.

Les atours graphiques et techniques assez grossiers de Demon’s Souls avaient été améliorés pour rendre l’expérience plus agréable pour les yeux, et manette en main. Le level-design était tout bonnement époustouflant, et certains boss sont toujours parmi les meilleurs de toute la saga. Les combats face au Chevalier Artorias, ou au duo formé par le Tueur de Dragon Ornstein et le Bourreau Smough sont restés dans les mémoires.
Malheureusement, malgré son statut de jeu culte, Dark Souls accuse son âge. Le gameplay était déjà assez raide à l’époque, les problèmes de gestion de caméra de Demon’s Souls sont encore là, et techniquement il accuse durement le coup aujourd’hui. Une édition Remastered publiée en 2018 a offert un lissage graphique minimaliste au titre, mais lui a redonné une seconde jeunesse grâce à une compatibilité 4K/60 FPS. Un écrin idéal pour (re)découvrir de jeu culte, mais qui a mal vieilli.
5 – Demon’s Souls
- Sortie : 19 novembre 2020
- Disponible sur PS5

Bien que faisant partie intégrante de la saga de FromSoftware, ce remake de Demon’s souls n’a pas été réalisé par les équipes d’Hidetaka Miyazaki, mais par les esthètes américains du remake/remaster : Bluepoint Games. Auteurs du splendide remake de Shadow of the Colossus sur PlayStation 4, les équipes de Bluepoint ont dû réaliser une opération renaissance sur le premier jeu de Miyazaki pour accompagner le lancement de la PlayStation 5 : Demon’s Souls.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que les américains ont accompli un travail de titan pour ramener Demon’s Souls à la vie. Ceux-ci ont reconstruit intégralement le jeu, en conservant uniquement les lignes de codes essentielles à son existence. Les assets graphiques ont été entièrement rebâtis, les monstres sont plus impressionnants que jamais, et les décors sont beaux à pleurer. Le titre est une magnifique vitrine pour les capacités techniques de la PS5.

Demon’s Souls dans sa version d’origine s’était écoulé à 1 million d’exemplaires en 3 ans d’exploitation, Demon’s Souls Remake a explosé ce record en trouvant 1,4 million d’acheteurs en moins d’une année sur le marché. Avec un peu moins de 15 millions de PS5 vendues, cela signifie qu’un possesseur de PS5 sur 10 possède le remake de Demon’s Souls. Un exploit.
Pourtant, malgré la réussite technique et commerciale, il reste que dans sa structure, sa façon de penser les combats (en particulier contre les boss) et d’appréhender le level-design, le jeu reste celui de 2009, IA à la ramasse comprise. Passé l’émerveillement visuel, il reste que le titre ne réserve aucune surprise à ceux qui ont connu sa version d’origine, qui auront payé au prix fort un magnifique lifting d’apparat.
4 – Dark Souls 3
- Sortie : 12 avril 2016
- Disponible sur PC, PS4, Xbox One

Dark Souls 1 avait marqué les esprits, Bloodborne a été considéré comme un chef-d’oeuvre, mais Dark Souls 2 avait grandement déçu. Il était hors de question pour Miyazaki de laisser les joueurs avec cette expérience décevante comme ultime souvenir de Dark Souls, et le réalisateur est donc revenu aux commandes de la saga pour une aventure grandiose.
Dès son annonce lors de l’E3 2015, Dark Souls 3 est attendu comme le loup blanc. Lors de sa sortie un an plus tard, le verdict n’a pas tardé à tomber : le jeu était la preuve de la maitrise du studio FromSoftware en matière d’action-RPG médiéval fantastique. Sur le plan technique, DS3 a mis ses ainés à l’amende. Le titre était poli dans les moindres recoins, et son gameplay était beaucoup plus souple, rendant le soft bien plus jouable que ses prédécesseurs DS1 et DS2.

L’ajout du système de Weapon Arts, qui permettait d’associer un pouvoir spécial à une arme, avait rendu le combat plus malléable, et les classes avaient subi un énorme travail de rééquilibrage, les rendant toutes attrayantes et performantes. La patte Miyazaki se sentait à chaque instant. Surtout dans la conception à la fois alambiquée et lisible du monde.
À son arrivée sur le marché, Dark Souls 3 a permis à FromSoft de regagner sa couronne de meilleur fabricant de SoulsBorne face à une concurrence de plus en plus dense (Nioh, The Surge, Lords of the Fallen…). Cependant, le jeu a manqué de surprise, et a donné l’impression aux fans de la première heure que la formule Dark Souls était sur des rails, et qu’elle aurait pu aller un peu plus loin.
3 – Sekiro : Shadow Die Twice
- Sortie : 22 mars 2019
- Disponible sur PC, PS4, Xbox One

Après l’impressionnant travail de refonte mené sur Dark Souls 3, il était évident que lorsque Miyazaki allait revenir aux affaires, ce serait pour quelque chose de radicalement différent. Alors que les paris parlaient de Souls-like dans un univers futuriste, ou d’un Bloodborne 2, FromSoftware a pris le public de court, en annonçant Sekiro : Shadows Die Twice, un hommage au mythe du samurai, édité par Activision-Blizzard.
Si l’arrivée du géant américain de l’édition a été vue d’un mauvais oeil par une importante frange des fans de FromSoft, dans les faits, cette intervention extérieure n’a en rien dénaturé le propos du studio, et a même permis d’améliorer plusieurs points qui lui faisaient défaut. Ainsi pour la première fois, un tutoriel en bonne et due forme a été mis en place, pour le bonheur des nouveaux venus.

Sekiro a bouleversé les codes du Souls-like. Le titre s’est inscrit comme l’évolution de la recette débutée avec Demon’s Souls, débarrassée de toutes les chaines du RPG. En dépouillant la formule historique de cet aspect, pour se focaliser sur le combat, FromSoft a créé un jeu exaltant, extrêmement exigeant, peut être même le plus difficile de toute la ludographie de Miyazaki. De plus, la narration était beaucoup plus linéaire et resserrée que dans un SoulsBorne, avec un héros donné, et une aventure qui avançait via des cinématiques.
Contrairement à ce que craignaient certains, Sekiro n’a pas dilué la formule Souls, mais en a extirpé la moelle pour en faire un jeu splendide, qui exigeait un investissement de tous les instants de la part des joueurs pour être maitrisé. Ses seuls défauts auront été son parti pris d’éliminer toute trace de RPG, une caméra encore perfectible, une infiltration réduite à peau de chagrin et une progression par palier bien plus frustrante que dans les autres jeux de la saga SoulsBorne.
2 – BloodBorne
- Sortie : 25 mars 2015
- Disponible sur PS4

Si Miyazaki n’a eu qu’un rôle de superviseur sur Dark Souls 2, c’était pour avoir les coudées franches sur le projet qu’il dirigeait entre 2012 et 2015, alors connu sous le nom de code « Project Beast ». Sorti sous le titre définitif de Bloodborne, le jeu a été l’une des plus grosses exclusivités de la PS4, et a connu un tel succès critique et public qu’il a été l’un des system-seller de la console de Sony.
En délaissant la mythologie médiévale fantastique pour aller frayer avec l’horreur gothique et les mythes lovecraftiens, FromSoftware a engendré une masterclass. Les goules et chevaliers avaient laissé place à des créatures repoussantes et fascinantes, et chaque combat avait l’air d’un horrible ballet où se déversaient des litres de sang.

L’histoire avait été particulièrement soignée, et le gameplay a évolué pour tendre vers des affrontements poussant à l’agressivité, faisant sortir les habitués de la formule FromSoftware de leurs habitudes plus attentistes : adieu les boucliers (même s’ils existent encore pour satisfaire la fan-base), bienvenue aux armes à feu, et au revoir aux roulades, qui laissaient place aux esquives rapides.
Plus encore que cette refonte de gameplay, c’est surtout par ses qualités graphiques, son ambiance morbide à souhait et par son incroyable direction artistique que Bloodborne a su séduire le public. Les équipes de Miyazaki ont accompli un travail où le soin du détail confine à l’obsession pour rendre vivant et crédible le monde victorien terrible (et pourtant envoutant) que les joueurs ont dû arpenter. Avec Bloodborne, FromSoftware a prouvé qu’il était possible de se réinventer, sans jamais trahir son identité.
1 – Elden Ring
- Sortie : 14 mars 2022
- Disponible sur PC, PS4, PS5, Xbos One, Xbox Series X|S

Jamais un jeu de FromSoftware n’avait fait couler autant d’encre que cet Elden Ring. Dès son annonce à l’E3 2019, et la révélation du fait qu’il serait un open world, une partie de la fan-base de Miyazaki a crié à l’hérésie. Comment le level-design si millimétré et l’ambiance étouffante des Souls allaient bien pouvoir être compatibles avec un monde ouvert ? Seconde trahison, Miyazaki avait collaboré avec George R.R. Martin, l’auteur de Game of Thrones pour écrire le lore d’Elden Ring.
Après presque trois ans d’attente, le couperet est tombé. Le jeu a conquis les rédactions, a récolté des tonnes de notes parfaites, et s’est hissé sur le podium des jeux les mieux notés de tous les temps. Non seulement la mutation de la formule SoulsBorne est réussie, mais le fait de basculer vers un open world a transcendé la recette FromSoftware.
Jamais l’aventure n’a été aussi grandiose, aussi vaste et aussi fascinante. Avec E.R, les équipes de Miyazaki sont parvenues à créer la parfaite synthèse de plus de 10 ans de travail. Tous les ingrédients des Dark Souls et de Bloodborne sont là : un level design pensé dans les moindres recoins, des donjons aux multiples dangers, des combats exigeants… Le tout placé dans un monde immense, où tout invite à la recherche et à l’aventure. Sekiro n’est pas en reste, puisque l’avatar peut faire preuve de furtivité, et même bondir (une première dans la saga Souls), et les développeurs ont poussé le vice à inclure un samurai dans le roster de départ.
Elden Ring n’est pas un jeu hommage à la série de FromSoftware, c’est son achèvement, et c’est de loin le meilleur épisode de la saga. Sa direction artistique exceptionnelle a eu raison des cœurs les plus endurcis, son monde ouvert est une merveilleuse (et terrible) invitation au voyage, et ses boss sont parmi les meilleurs jamais créés pour la saga. Ajoutons à cela qu’il s’agit du titre de loin le plus accueillant de toute la ludographie de Miyazaki, et on obtient là tous les ingrédients d’un chef-d’œuvre
Elden Ring est sorti en 2014 ?
Des oeuvres dont l’excellence devrait redéfinir le monde du jeu-vidéo mais aussi celui du cinéma et de tout le reste tellement c’est puissant. Une atmosphère unique. L’arrivée dans Leyndell dans Elden Ring par exemple.
Bizarrement j’ai toujours préféré le DS2 aux 2 autres….c’est grave docteur?
Je suis vraiment pas fan de ce genre de jeux. J’ai tenté Bloodborne… Et il y a un truc qui prend pas. Alors, je reconnais que le jeu a ses qualités. Ça se voit qu’il est excellent et bien conçu en terme de level design et de gameplay. Et ça m’a fait tenir.
J’ai battu Gascoigne en first try et le Monstre Affamé en 3 (pour Gascoigne j’avais regardé des lets play qui m’ont permis de connaître son pattern). Mais au final, même si je prenais les réflexes, appréciait le gameplay. Bah j’ai jamais eu l’amour fou pour ce jeu. Une impression trop désagréable de stress constant qui m’empêche d’accrocher totalement. Au final, le jeu m’est tombé des mains
Releguer Dark Souls 2 au dernier rang montre bien que n’y connaissait pas grand choses et que vous n’avez pas assez joué et été investi au 2 notamment avec le remaster du 2. Pour les vrais connaisseurs le 2 est simplement le meilleur des dark souls, le plus long le plus complexe et riche niveau gameplay ses boss sont plus nombreux mais certains sont tout aussi culte comme Fumerolle, Nashandra; Aldia, Sir Alonne et enfin le roi D’ivoire
Les DLC incroyablement réussis ils font aisément la taille de DS3 en longueur et sont bourrés d’item de loot de monstres de secrets bref des jeux à part entière. Et le pvp très équilibré avec les nombreuses magies surpuissantes et la possibilité d’arme a deux main prouve que le 2 est un jeu mythique tout les fan de Dark Souls vous le diront le 2 est le meilleur soul et le plus sous estimé car il ne se laisse pas apprivoiser facilement.
Combien de fois il faudra que vous compreniez que Dark Souls 2 est le meilleur Dark Souls et aussi une tuerie
Elden Ring le meilleur FS ? C’est une blague non ? Pour avoir platiné tous les jeux du top à part Elden Ring, c’est objectivement l’un des moins bons et le pire en ce qui concerne les boss fights
Mauvais top en sah
Y’a bien une histoire mémorable sur Dark Souls 2, c’est la run All Bosses no Hit du streamer Otzdarva, qui a réussi à finir cette run en 1 an, en s’entraînant tous les jours, alors que personne y arrivait. Cette run m’avait mis des frissons.
Dark Souls 2 est un très bon jeu, meilleur que DS3 qui était très peu inspiré, un clone/hommage au premier DS sans aucune originalité.
Elden Ring est excellent mais inférieur a DS1 et Bloodborne. C’est plus un DS4 avec éléments open world qu’un vrai jeu innovateur.
Un top bien pourri.