Critique : Happy few
Ce que l'on retient dans Happy few, le nouveau film d'Anthony Cordier (Douches froides), c'est avant tout la capacité du quatuor de comédiens (Marina
Foïs,
Rachel travaille dans une boutique de bijoux. Lorsqu’elle rencontre Vincent à l’atelier, elle est séduite par son franc-parler et décide d’organiser un dîner avec leurs conjoints respectifs, Franck et Teri. Les deux couples ont à peine le temps de devenir amis qu’ils tombent presque aussitôt amoureux. Sans l’avoir cherché, spontanément, les nouveaux amants deviennent inséparables. Ils avancent à l’aveugle dans leur passion, sans règles et sans mensonges. Ils gardent le secret devant les enfants et tout continue, presque comme avant. Mais ce qui les lie les uns aux autres est tellement fort que la confusion s’installe. Les sentiments s’emmêlent et les questions sont de plus en plus cruelles.
Ce que l'on retient dans Happy few, le nouveau film d'Anthony Cordier (Douches froides), c'est avant tout la capacité du quatuor de comédiens (Marina
Foïs,
Elle est la plus imprévisible, polyvalente, protéiforme et réjouissante des comédiennes françaises. Portrait de Marina Foïs.