Critique : Summer wars
Quelques années après La traversée du temps, Mamoru Hosoda délivre avec Summer wars
une jolie réflexion sur la notion de communauté (opposant avec habileté
communauté
Bienvenue dans le monde de OZ : la plateforme communautaire d'internet. En se connectant depuis un ordinateur, une télévision ou un téléphone, des millions d'avatars alimentent le plus grand réseau social en ligne pour une nouvelle vie, hors des limites de la réalité.Kenji, un lycéen timide et surdoué en mathématiques, effectue un job d'été au service de la maintenance d'OZ. A sa grande surprise, la jolie Natuski, la fille de ses rêves, lui propose de l'accompagner à Nagano, sa ville natale. Il se retrouve alors embarqué pour la fête traditionnelle du clan Jinnouchi. Il comprend bientôt que Natsuki ne l'a invité que pour jouer le rôle du " futur fiancé " et faire bonne figure vis-à-vis de sa vénérable grand mère. Au même moment, un virus attaque OZ, déclenchant catastrophe sur catastrophe au niveau planétaire.Avec l'aide de Kenji, tout le clan Jinnouchi se lance alors dans une véritable croisade familiale pour sauver le monde virtuel et ses habitants...
Quelques années après La traversée du temps, Mamoru Hosoda délivre avec Summer wars
une jolie réflexion sur la notion de communauté (opposant avec habileté
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Avec Summer Wars puis Belle, Mamoru Hosoda a confirmé qu’il comprenait les univers virtuels mieux que personne.
L'un des grands noms de l'animation japonaise nouvelle génération revient avec un nouveau film qui promet énormément.
Après les Enfants Loups et Summer Wars, Mamoru Hosoda revient avec un nouveau film qui sent bon le fauve.