Critique : Sakuran
Qui d'autre qu'Anna Tsuchiya, icône de la rock'n'roll et girly attitude au Japon, pouvait mieux interpréter une oiran, courtisane de luxe de l'époque Edo, à
Critique - Film
16/08/2008
Yoshiwara, quartier des plaisirs et du divertissement de la capitale Edo, l'ancienne Tokyo. Réservé à l'élite de la société japonaise, ce quartier clos est la demeure des plus grandes courtisanes de l'époque : les Oïran. Elles font et défont les tendances et la mode de l'époque, et sont aussi enviées que détestées... Parmi elles, une femme, Kiyoha, va devenir une légende sous le nom de Higurashi...
Qui d'autre qu'Anna Tsuchiya, icône de la rock'n'roll et girly attitude au Japon, pouvait mieux interpréter une oiran, courtisane de luxe de l'époque Edo, à