Michael Bay : 5 remakes qu'on veut qu'il fasse (pour le meilleur et pour le pire)

La Rédaction | 2 décembre 2022 - MAJ : 05/12/2022 11:20
La Rédaction | 2 décembre 2022 - MAJ : 05/12/2022 11:20

Avec AmbulanceMichael Bay a prouvé qu'il pouvait faire un remake plus grand et plus fou que l'original. Et s'il ne s'arrêtait pas là ?

Qu'on aime ou pas l'exubérance du cinéma de Michael Bay, on ne pourra pas lui reprocher d'être l'un des derniers réalisateurs de blockbusters à chercher des concepts nouveaux. Mise à part la franchise Transformers (qu'il a tout de même bien aidé à redéfinir), le réalisateur s'est toujours attelé à des scénarios originaux.

Or, avec Ambulance, c'est la première fois que Bay se frotte à l'exercice du remake, puisque le scénario de Chris Fedak est adapté d'un petit film danois sorti en 2005 : Ambulancen. Il va sans dire que le roi du kaboom a livré un long-métrage bien supérieur à son modèle d'origine, comme l'a souligné notre critique d'Ambulance.

Du coup, on en vient à se demander comment le style de Bay, son découpage nerveux et sa soif du plan inédit pourraient infuser d'autres projets de ce type. C'est pourquoi les esprits malades de la rédaction d'Ecran Large se sont amusés à fantasmer les films que le réalisateur pourrait se réapproprier, en lien avec ses obsessions, ou pour le simple plaisir de savant fou que l'exercice nous procure.

 

 

Phone Game

 

Phone Game : AfficheUn impact de balle qui a inspiré le plan d’Ambulance ?

 

Pourquoi c'est un choix plausible : Le scénariste de Phone Game, Larry Cohen, a mis du temps avant de concrétiser son idée. Dès les années 60, il a essayé de lancer son scénario en le proposant à Alfred Hitchcock (rien que ça), mais tristement, le projet n’aboutira jamais. Et avant d’atterrir définitivement entre les mains de Joel Schumacher au début des années 2000, le scénario a failli être mis en scène par Mel Gibson, les frères Hughes… mais aussi Michael Bay.

Alors qu’il sortait du succès faramineux d'Armageddon et s’apprêtait à lancer la production de Pearl Harbor, le cinéaste a donc été pressenti un temps pour réaliser Phone Game. Et si l’on y réfléchit un peu, l’idée n’était pas du tout idiote, surtout quand on découvre ce que le monsieur a fait avec Ambulance, près de 25 ans plus tard.

 

Phone Game : photo, Colin Farrell"Oui, bonjour, c'est Michael Bay à l'appareil"

 

En effet, Phone Game est un film qui se déroule en temps réel. Certes, à l’époque, Michael Bay n’avait réalisé que trois films (Bad Boys, Rock et Armageddon donc) et ne s’était pas spécialement intéressé au temps. Tout juste avait-il contraint ses personnages à une échéance plus ou moins éloignée, lui permettant de faire des ellipses ou des accélérations narratives, mais surtout de livrer un sacré spectacle pyrotechnique dès qu’il en avait envie.

Sauf que depuis, le concept narratif du film en temps réel a presque été le moteur de la deuxième moitié de son 13 Hours et forme évidemment le cœur d’Ambulance. Et quand, en plus, le quinzième film de Michael Bay est un quasi-huis clos avec son trio enfermé dans l’ambulance, obligé de s’allier (ou non) pour avancer, tenter d’échapper à la police ou négocier leur survie, il répond un peu à Phone Game.

Autant dire que, sur le papier, Michael Bay a prouvé qu’il était capable d’offrir un vrai spectacle tout en conservant une ligne narrative plus resserrée et des décors plus exigus (non sans subterfuge narratif lui permettant de s’extirper du véhicule sans casser la dynamique).

 

Phone Game : photo, Colin Farrell"Je suis dehors, c'est ce que tu veux non ?"

 

Pourquoi ça pourrait devenir n'importe quoi : Pour les mêmes raisons que celles ayant finalement mené Larry Cohen à écarter Michael Bay du projet : son envie irrépressible de mouvement. Si Michael Bay n’a pas réalisé Phone Game, c’est parce qu’il a posé une question à la fin de la lecture du scénario : "OK, bon, comment on se débrouille pour faire sortir ce mec de cette maudite cabine téléphonique ?".

Avec Ambulance, les véritables intentions de Bay se sont confirmées : un film en huis clos pourquoi pas, mais il faut que ça bouge. Alors forcément, fixer une cabine téléphonique dans tous les angles comme dans Phone Game n’aurait probablement pas suffi et le réalisateur aurait sans doute éclaté en quelques secondes le concept (et la cabine avec).

 

Phone Game : photo, Colin Farrell"Y a un type qui veut tout faire péter."

 

Pourquoi pas imaginer alors un début de huis clos comme dans Phone Game qui partirait en cacahuètes. La prise d'otages esseulée serait en fait une attaque terroriste d’une grande envergure où Michael Bay suivrait une armada de tueurs-snipers menaçant une centaine de cabines téléphoniques, tous au même moment, à des endroits stratégiques de New York.

Le moyen parfait pour le cinéaste de jongler entre les arcs narratifs, les développements de personnages et évidemment les rebondissements (une cabine téléphonique qui exploserait, une autre qui serait emboutie par un camion poubelle, une autre canardée par une mitraillette…) pour mieux dynamiter l’ensemble et s’adonner à ce qu’il sait faire de mieux : tout exploser. Fun Game !

Les Oiseaux

 

Les Oiseaux : photo, Tippi HedrenLes oiseaux de l'apocalypse

 

Pourquoi c'est un choix plausible : Parce que ça a failli arriver. En 2007, Variety annonce que les célèbres Oiseaux d'Alfred Hitchcock vont revenir, et le nom de Michael Bay est attaché à  ̶l̶a̶ ̶b̶l̶a̶g̶u̶e̶  l'idée. C'est en théorie une nouvelle adaptation de la nouvelle éponyme de Daphné du Maurier, mais personne n'est dupe : c'est un remake, censé capitaliser sur le film culte.

Naomi Watts est annoncée pour incarner l'héroïne associée à Tippi Hedren, avec Michael Bay à la production (via Platinum Dunes). Martin Campbell (Le Masque de Zorro) est alors en négociations pour prendre la relève de Hitchcock. Le projet traîne durant des années, et en 2014, Naomi Watts et Michael Bay sont toujours de la partie, avec désormais le réalisateur allemand Diederik Van Rooijen (L'Exorcisme de Hannah Grace). Depuis, plus rien.

En 2009, Brad Fuller, de Planitum Dunes, avait donné une explication : les réactions extrêmement énervées du public face à l'idée d'un remake des Oiseaux auraient tué le projet (tout comme celui de refaire Rosemary's Baby). Sûrement parce que la compagnie de production avait commis les remakes d'Amytiville et Vendredi 13.

 

Les Oiseaux : photo, Tippi HedrenPhone Game, encore

 

Pourquoi ça pourrait devenir n'importe quoi : Impossible de résister à l'envie d'imaginer ce que Michael Bay ferait de la grande scène de la cabine téléphonique, où l'héroïne se réfugie pendant que les mouettes infernales attaquent la ville, et transforment Bodega Bay en enfer.

Si Hitchcock a eu recours aux flammes, aux accidents et à la panique, nul doute que Michael Bay aurait dévasté la ville, avec une armée d'oiseaux contre une armée d'humains - goélands contre mioches, flamands roses contre piétons, condors contre soldats, becs-en-sabot du Nil contre tanks. Des nuées de moineaux auraient provoqué un crash d'avion, les cygnes du lac se seraient vengés de tous les lanceurs de pain, et les aigles auraient retourné la mairie pour remettre l'Amérique à sa place.

 

Les Oiseaux : photo, Tippi HedrenAttention ! Des idées absurdes !

 

Michael Bay aurait déplacé l'action dans une métropole, son terrain de jeu et destruction préféré. Dans le climax, des corbeaux auraient pu aller attaquer une centrale nucléaire, avec l'aide de colibris kamikazes, entrés dans tous les systèmes de contrôle et de refroidissement pour détruire les sécurités. Dans le climax, les survivants se seraient alors lancés dans une course finale vers l'horizon, à bord d'un camion lancé à toute allure sur une autoroute post-apocalyptique. Pour se frayer un chemin entre les carcasses de voitures, ils auraient écrasé des centaines d'oiseaux, et repeint de plumes et de sang le bitume.

Et puisque les oiseaux descendent des dinosaures, que ces derniers avaient des plumes, et qu'il y avait un T-Rex dans Transformers 4, la scène post-générique de ces nouveaux Oiseaux aurait teasé une suite : Jurassic Birds.

Battleship Island

 

Battleship Island : PhotoL'étoffe des héros

 

Pourquoi c'est un choix plausible : Énorme succès en Corée, Battleship Island est un film historique de la même trempe que ceux de Michael Bay, c'est-à-dire ultra bourrin, massif et parsemé de fulgurances visuelles dantesques. On voit bien le réalisateur de Pearl Harbor et Rock s'emparer de cette histoire de révolte dans une ile-forteresse minière contrôlée par les Japonais. D'autant qu'elle ne manque pas d'explosions en tous genres.

Il avait déjà filmé Alcatraz comme un bastion imprenable et une cité flottante chaotique, il peut en faire de même avec la battleship island (littéralement "l'ile vaisseau de guerre") du titre, Hashima, qui ressemble d'ailleurs beaucoup à l'ancienne prison, de loin. Nul doute que la lutte des prisonniers de guerre coréens, circulant dans les recoins sombres de cette sinistre mine, saurait inspirer le metteur en scène, a fortiori lorsqu'ils font exploser un puits ou se battent à mains nues avec leurs geôliers.

 

Battleship Island : photoComme un Rock

 

Sa filmographie, de ses premiers à son dernier long-métrage, le prouve : le réalisateur n'est jamais aussi l'aise que lorsqu'il raconte un évènement aux proportions délirantes contenu dans une seule unité de lieu. Et quand bien même son mauvais goût des débuts ne s'épanouirait pas vraiment dans ce récit, son style si. Il faut dire qu'il ne remakerait pas un débutant.

Le réalisateur et scénariste Ryoo Seung-wan peut parfois s'enorgueillir d'une frénésie visuelle que ne renierait pas Bay. D'ailleurs, son tout dernier film, Escape from Mogadishu, qui raconte la fuite désespérée des ambassades sud et nord-coréennes hors de la capitale somalienne, comporte une séquence et un plan ahurissants anticipant parfaitement la grammaire visuelle d'Ambulance, au bris de glace près. Pas sûr néanmoins qu'il apprécie de voir son oeuvre – définitivement à découvrir – passer à la moulinette du Bayhem.

 

Escape From Mogadishu : photoAmbulance from Mogadishu

 

Pourquoi ça pourrait devenir n'importe quoi : Si Michael Bay remake Ambulancen, c'est parce qu'il sait qu'il fera mieux et plus spectaculaire. Et il sera difficile de ne serait-ce qu'égaler le dernier acte de Battleship Island, longue bataille homérique que tous les budgets hollywoodiens du monde ne sauraient émuler. En l'état, le fossoyeur des Transformers pourrait juste surdécouper un peu plus l'action, histoire d'être sûr qu'on ne comprend rien, et remplacer les travellings épiques par des plans circulaires nauséeux.

De même, on le voit mal opérer en dehors du camp américain. Récemment, il a déplacé des enjeux européens dans la ville de Los Angeles. Imaginez une histoire aussi importante dans l'histoire coréenne transposée dans un carcan yankee. Ça fonctionnerait d'autant moins que le film original est extrêmement violent lorsqu'il révèle les ravages de la guerre. Des enfants y meurent, des femmes y sont torturées. Le cauchemar des majors hollywoodiennes. S'il ne lésine parfois pas sur la violence, Bay serait tout de même capable de décrocher un classement PG-13.

De quoi tendre les relations entre la Corée du Sud et les États-Unis, jusqu'à la guerre nucléaire. Les armées pro-Bay et les Battleship Islander s'affronteraient jusqu'à la mort pour décider de la production d'un remake. Et un jour, un pro-Bay un peu trop fan d'Armageddon lâcherait un missile atomique sur ses adversaires, entraînant la riposte de toute la péninsule. L'apocalypse ne se ferait alors pas attendre. Et Michael Bay ne serait pas seulement responsable de la mort du cinéma, mais aussi de l'humanité tout entière. Et on ne veut pas avoir ça sur la conscience.

Ronin

 

Ronin : photo, Robert De Niro, Jean Reno, Sean BeanBelle brochette d'acteurs

 

Pourquoi c'est un choix plausible : Si John Frankenheimer n'a pas signé que des chefs-d'oeuvre, il a néanmoins développé une certaine orfèvrerie du cinéma d'action, alliant toujours la simplicité de son découpage à une lisibilité totale, et donc viscérale. Ronin en est sans le doute le meilleur exemple.

Avec son scénario minimaliste (six mercenaires sont envoyés à Paris pour récupérer un pur MacGuffin hitchcockien), le film porté par Robert De Niro est surtout connu pour ses deux scènes de course-poursuite virtuoses. Longues et haletantes, elles fonctionnent grâce à la pureté du montage de Frankenheimer, qui positionne clairement les véhicules en mouvement et les obstacles sur leur passage, notamment avec une caméra accrochée aux pare-chocs.

 

Ronin : photoUn tel monument façon Bad Boys II, on signe direct !

 

A priori, Michael Bay est à l'exact opposé du spectre, et ce n'est peut-être pas un hasard. Sans vouloir tomber dans la psychologie de comptoir, il est bon de rappeler que le réalisateur a été élevé par une famille adoptive, avant de passer plusieurs années à chercher son père biologique. Bay est le premier à refuser d'évoquer ce sujet en public, mais de nombreuses rumeurs affirment qu'il serait justement le fils de Frankenheimer.

Marcher dans les traces du père pour mieux le tuer, voilà la philosophie qu'on pourrait grossièrement tirer du cinéma d'action de Bay, beaucoup plus porté vers un montage rapide et hautement sensitif, pensé pour déconstruire les mouvements et une logique spatio-temporelle au profit d'une abstraction grisante des sensations. Le voir se réapproprier le concept de Ronin pour en hypertrophier les séquences majeures pourrait se révéler particulièrement fun, d'autant qu'on est forcément curieux de le voir exploiter le décorum français pour ses délires les plus explosifs.

 

Ronin : photo, Robert De NiroDérapage (in)contrôlé ?

 

Pourquoi ça pourrait devenir n'importe quoi : Le scénario de Ronin est volontairement minimaliste, même s'il possède quelques jolies idées, dont son final où une patineuse sur glace est visée par un sniper. Néanmoins, cette sobriété s'accorde plutôt bien à la mise en scène old-school de Frankenheimer, qui ne serait pas du tout celle de Bay.

Déjà que les doses d'humour du film original ne sont pas forcément ce qu'il y a de plus réussi (pas merci à Jean Reno), Michael Bay pourrait vite retomber dans ses travers beaufs et caricaturaux, en réduisant ses personnages à des hystériques dont la psychologie serait réduite à peau de chagrin. D'un autre côté, si le réalisateur d'Armageddon s'amuse avec les stéréotypes français avec la même vigueur qu'Emily in Paris, on devrait s'en payer une tranche !

Reste aussi à voir si les scènes d'action de Ronin, très ancrées dans une réalité assez tétanisante, pourraient s'adapter à la surenchère de Bay au point de souffrir d'une déréalisation totale. Mais quand on voit ce dont il a été capable sur Ambulance, on peut se montrer rassuré.

Grease

 

Grease : photo GreaseShia Labeouf et Megan Fox

 

Pourquoi c'est un choix plausible : Dans une célèbre interview donnée au New York Times, Michael Bay est revenu sur son amour pour West Side Story. Il a raconté avoir choisi sans trop de conviction un cours de cinéma sur les comédies musicales durant ses années d'études, avant de comprendre que tout son rapport à la cinégénie était concentré dans la démarche des grands classiques du genre :

"Le cours sur les comédies musicales m'a ouvert les yeux sur la manière dont on peut pousser le médium cinéma et où on peut l'amener en termes de montage et de technique. C'est étrange, mais quand des réalisateurs sont obligés de résoudre les problèmes liés au fait de filmer la danse, ils se retrouvent à utiliser le médium à son maximum."

 

Grease : photo GreaseLes Bad Boys originaux

 

Quand on pense au ballet chorégraphique que Bay est capable de tirer de la relation entre ses corps en mouvement et sa caméra, son point de vue fait tout de suite sens. Mais maintenant que tonton Spielberg lui a piqué l'opportunité de repasser sur West Side Story, on le verrait bien adapter une autre comédie musicale. Dans le domaine, Grease sonne comme une évidence. Ses images d'Épinal de l'American Way of Life semblent totalement cohérentes avec les obsessions de Michael Bay, et sa manière d'iconiser des symboles forts du passé des États-Unis.

Ajoutez à cela des voitures et des blousons de cuir, et vous avez là une belle manière pour Bay de revenir à la source de son cinéma, pour mieux l'amener dans une démarche expérimentale qu'on ne demanderait qu'à voir.

 

Grease : photo Grease"Allez Michael, viens ! On est bien !"

 

Pourquoi ça pourrait devenir n'importe quoi : Forcément, quand on pense au fait que Sandy est une lycéenne de 18 ans, difficile de ne pas avoir un trauma face à Transformers 4 et sa pirouette narrative pour expliquer qu'il est normal pour la fille mineure de Mark Wahlberg de faire crac-crac avec son copain majeur.

Grease version Bay pourrait vite tomber dans une certaine gêne quant à sa peinture d'un monde adolescent, surtout quand on se rappelle de l'oeil lubrique que le cinéaste a souvent développé face à de très jeunes personnages, à commencer par la Mikaela de Megan Fox dans les deux premiers Transformers.

Difficile aussi de savoir si le surdécoupage du réalisateur peut s'accorder avec des numéros musicaux qui pourraient rapidement défoncer les yeux. Mais comme on est un peu sadiques (et curieux), on se plaît à imaginer comment Bay, qui a souvent été mal à l'aise avec la mise en scène de relations amoureuses (cf. Pearl Harbor), pourrait se dépatouiller avec un tel classique. Quelque part entre de pures compositions de plans démentielles et des relents publicitaires aberrants, le pire peut côtoyer le meilleur. Mais en même temps, You're the One That I Want avec des voitures qui explosent, ce ne serait pas le feu ?

Tout savoir sur Michael Bay

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commentaires
Miss M
05/12/2022 à 15:23

Non merci....

Emric K
04/12/2022 à 06:04

A l'époque, J'aurais bien vu Tony scott réalisé Phone game et aujourdhui Robert Eggers pour les oiseaux. Michael bay sur un remake de l'homme qui valait 3 Milliards. Ça pourrait être cool!

Wooster
03/12/2022 à 19:40

J’ai tenté Ambulance récemment : j’ai tenu une vingtaine de minutes et j’ai abandonné. Un minimum de coherence est toute de meme nécessaire quant à la motivation des personnages : le type qui assure être raisonnable du fait d’être devenu père de famille et qui s’embarque da,s un cassé dont il ne connaît rien, et dont son complice lui dit que sans lui c’est impossible mais qui s’apprêtait, 5 minutes avant, à le faire sans lui… non, là je peux pas.

Loozap
03/12/2022 à 01:29

Nous attendons ça depuis en espérant qu'ils vont satisfaire nos attentes

Qc
02/12/2022 à 20:55

Peut-être seulement les oiseaux

lepetitbreton
13/04/2022 à 08:31

Les oiseaux j'adore ! Et il pourrait developpet le BCU (birds cinématic universe) et proposer une version zombie a Netflix.

Birdy en noir
12/04/2022 à 13:16

Qu'il rerefasse Transformers!! Il y est presque, courage, cette fois ce sera (de) la bonne !

sylvinception
12/04/2022 à 12:16

Ah ah ah, Les Oiseaux, je donnerais cher pour voir ça!! :-)

Marty
11/04/2022 à 12:01

On voudrait qu'il arrete d'annihiler toute consitance a ses scenes d'action en faisant 44 plans pour filmer un bagnole qui fait un tonneau aussi .

Neji.
11/04/2022 à 00:25

On a perdu la 7e compagnie , une bonne idée de remake...

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