Critique : Simon Konianski
Ainsi donc, on peut faire rire avec le judaïsme, la bande de Gaza et
les camps d'extermination. Le deuxième long du belge Micha Wald réussit
cet exploit de
Dans la famille Konianski, il y a Simon, 35 ans, éternel adolescent, fraîchement quitté par la femme de sa vie, une danseuse goy. Il y a Ernest, son père, contraint de l'héberger provisoirement, qui lui rend très vite la vie insupportable. Il y a Hadrien, le fils de Simon, un petit garçon passionné par les terribles souvenirs de son grand-père, ancien déporté. Mais il y a aussi Maurice, le vieil oncle paranoïaque, et Tante Mala qui n'a pas sa langue dans sa poche. Lorsque Ernest disparaît, tout ce petit monde s'embarque pour une expédition qui ne manquera pas de piquant.
Ainsi donc, on peut faire rire avec le judaïsme, la bande de Gaza et
les camps d'extermination. Le deuxième long du belge Micha Wald réussit
cet exploit de