Game of Thrones saison 6 : la série prépare-t-elle l'arrivée du personnage que tous les fans des romans attendent

Les romans de George RR. Martin contiennent un personnage que Game of Thrones n’a pas (encore) osé incorporer. Est-il sur le point de faire son apparition ?

Evidemment, si vous n’avez pas lu les textes originaux, ne désirez pas en connaître davantage sur ce qui pourrait suivre ou n’avez pas visionné le dernier épisode diffusé de la série de HBO, passez votre chemin ce qui suit est bourré de SPOILERS !

C’est l’apparition d’un quasi-figurant qui a mis la puce à l’oreille des spectateurs et des fans. Alors que nous venions de faire connaissance avec Brother Ray (Ian mcShane) et de retrouver ce bon vieux Sandor Klegane, Game of Thrones nous a permis de faire connaissance avec trois vilains garçons, qui ont massacré tous les gentils hippies crasseux introduits plus tôt.

Jusque là, rien de très palpitant, sauf que l’histoire ne s’arrête pas ici. Comme l’a confirmé le comédien islandais Johannes Haukur sur Twitter, le leader des vilains pas beaux n’est autre que Lemoncloak. Il s’agit d’un personnage que nous n’avions pas encore rencontré à l’écran, mais qui dans les romans appartient à une confrérie bien particulière répondant au doux nom de Brotherhood Without Banners.

Ce groupe religieux, aperçu dans les saisons 2 et 3 joue un rôle proéminent dans les textes de Martin, puisque c’est l’un d’eux qui ramène à la vie Catelyn Stark. Après sa résurrection, la veuve de Ned Stark se fera appeler Lady Stoneheart et entreprendra de massacrer quiconque a prêté allégeance aux Lannister.

C’est ainsi que Brienne trouvera la mort dans l’œuvre de Martin, découpée sauvagement par celle dont elle servit les intérêts. Bien sûr on ignore si HBO va se décider à enfin propulser dans le récit ce personnage attendu de très longue date par des hordes de fans. Mais l’arrivée de Lemoncloak et l’agression des proches d’un ancien larbin des Lannister pourraient signifier l’arrivée prochaine d’une Lady Stoneheart plus énervée que jamais.

En tout cas c’est tout ce qu’on espère.