Buffy contre les vampires est l'une des meilleures séries du monde, voilà pourquoi

Camille Vignes | 27 décembre 2020 - MAJ : 09/03/2021 15:58
Camille Vignes | 27 décembre 2020 - MAJ : 09/03/2021 15:58

On aurait pu essayer de trouver une raison de se replonger dans Buffy contre les vampires… mais on va arrêter de faire semblant. Pas besoin d’occasion particulière. Cette série est géniale et puis c’est tout.

Derrière son image un peu datée parce qu’à l’esthétique profondément ancrée dans les années 90-2000, Buffy contre les vampires a atteint pour beaucoup le statut de série culte, ou encore de meilleure série (adolescente) de tous les temps. Sans exagération.

Les jeunes des années 90 se souviendront d’ailleurs certainement des (trop) nombreux posters du Scooby Gang, de Sarah Michelle GellarAlyson Hannigan ou encore David Boreanaz et James Marsters qui venaient recouvrir les murs de leur chambre… au grand dam de leurs parents trop réticents à se plonger dans les aventures de cette lycéenne chasseuse de vampires.

 

photo, Sarah Michelle GellarBuffy veut reconnaissance 

 

Pourtant, si Buffy a réussi à se hisser dans le haut du panier des séries, et à y rester plus de vingt ans après son démarrage, c’est bien parce que son créateur Joss Whedon a exploré avec une acuité et une ingéniosité indéniables les questionnements et angoisses existentiels de tout un chacun. Essentiellement métaphoriques, radicalement féministes, ses problématiques sont toujours aussi modernes aujourd’hui, en 2020, qu’elles l’étaient en 1997 ou en 2001.

Alors, évidemment, il serait impossible de revenir sur tout le génie de cette série en un seul dossier. Et, vous l’aurez compris, le but n’est pas ici de la critiquer ou d’essayer d’en dégager le meilleur et/ou le pire. Non, le but, c’est de vous donner envie de vous (re) plonger dans cette série qui, avouons-le, est un peu l’ultime madeleine de Proust.

 

photo, Sarah Michelle Gellar, Alyson Hannigan, Nicholas Brendon, Anthony Stewart HeadPetit avant-goût des non-fans à la fin de la lecture de ce dossier 

 

L’ENFER C’EST LES AUTRES

A priori, Buffy contre les vampires n’avait rien de vraiment aguicheur. Dérivée d’un navet sorti en 1992 (Buffy, tueuse de vampires, écrit par Joss Whedon qui a vite renié la tournure prise à cause des producteurs), l’histoire était plutôt banale : une adolescente déménage à Sunnydale avec sa mère après le divorce de ses parents ; un peu en marge, elle arpente les couloirs de son nouveau lycée situé sur une bouche des enfers particulièrement active, éructant le plus de vampires et autres démons possibles… ah, et pour parfaire le tableau, il s’agit de la tueuse, l’élue, la gardienne de l’équilibre, celle qui combat le mal, quelle que soit sa forme.

Sur le papier, ce qui est proposé ressemble pas mal à une variation modernisée et détournée d’un slasher (ce genre cinématographique qui se plaît à décimer des bandes d’adolescents par dizaines depuis les années 80), la mort au coin de la grange et le grand méchant sans histoire en moins, les démons en tous genres et beaucoup, beaucoup d’autres choses, en plus. Car si le postulat de base veut certainement rejouer la malédiction des vendredis 13 ou se masquer pour une Halloween party,  il n’en reste pas moins que Joss Whedon s’est dûment attelé à démembrer chacune de leurs caractéristiques pour faire éclore une création d’une rare intelligence.

À commencer par la figure de l’ennemi : le vampire. Son ambivalence est peut-être trop évidente aujourd’hui, tant elle a été tartinée par des productions adolescentes comme Twilight ou Vampire Diaries, mais à l’époque, outre les longs-métrages qui avaient fait du vampire un des mythes fondateurs du cinéma, Buffy contre les vampires faisait figure d’exception dans le monde des séries.

 

photo, Sarah Michelle Gellar, Buffy contre les vampires Saison 3, Alyson HanniganEt le prix de l'originalité et de la profondeur est décerné à... 

 

Et dès sa première saison, comme pour donner sa note d’intention, Joss Whedon a posé les bases de sa série avec un personnage : Angel (David Boreanaz), le vampire pourvu d’une âme, voué à être torturé par ses crimes passés et à souffrir pour l’éternité. Avec lui tout était dit : le monstre n’est qu’un reflet de l’âme, et n’est pas inhumain celui qui a des canines pointues et qui rêve de vous croquer la jugulaire.

Ce double jeu de la monstruosité et de l’humanité, cette frontière entre l’Autre totalement inconnu et celui en qui l’on peut entièrement se projeter, Whedon n’a eu de cesse de s’en amuser et de la rendre poreuse. Accentuant toujours plus les traits démoniaques des uns pour affaiblir ceux des autres. Angel, Oz (Seth Green, le petit copain geek de Willow devenu un loup pour l’homme et pour lui-même), Dawn (Michelle Trachtenberg,  la petite-sœur clef au nom tellement évocateur) jusqu’à Spike, l’apothéose de l’humanité torturée, ou Jonathan, Andrew et Warren, les trois humains ratés assoiffés de pouvoir et de reconnaissance qui glissent par excès d’imprudence et d’ambition vers la méchanceté la plus bête (et coucou l’apocalypse grâce à eux) : la série n’a jamais arrêté de questionner métaphoriquement la nature humaine.

 

photo, Sarah Michelle Gellar, Alyson HanniganLa chasse aux sorcières, sympathique souvenir de ce que c'est qu'être humain 

 

L'ÊTRE ET LE NÉANT  

Et pas que. Joss Whedon n’a pas exploré la nature humaine par le seul prisme de la métaphore du monstre. De la même manière, il s’est beaucoup amusé avec ses personnages pour les transformer, offrant à la télévision une leçon d’écriture qui vaut vraiment la peine d’être regardée. 

La timide petite nerd Willow ne reste pas accrochée à son image d’ingénue et à ses pulls roses cucul la praline, qui reviendront la hanter dans l'épisode final de la saison 4. L’image de gaffeur et d’humain maladroit ne reste pas scotchée à Alex pendant les sept saisons. Celle de Buffy surhumaine (mentalement et physiquement) et toujours prête à sauver le monde, non plus. Enfouies derrière leur naïveté du début, tous ont des aspirations indiscibles, souvent bien trop sombres pour s'autoriser à les assumer.

 

photo, Sarah Michelle Gellar, Kristine SutherlandPortrait de famille beaucoup trop réel 

 

Dès lors qu’elle perd sa mère (Kristine Sutherland), Buffy devient une boule d’énergie dépressive et autodestructrice, rêvant de fuir le plus loin possible, et de lâcher prise après tant de combats — la mort étant une destination plutôt enviable apparemment, à moins que ça ne soit se perdre dans sa tête et préférer se croire folle (À la dérive, saison 6 épisode 17).

Un besoin d’être sauvée plutôt que de sauver déjà évoqué dans l’épisode d’Halloween de la deuxième saison, alors que Buffy se transformait en princesse en détresse. A contrario, dans ce même épisode, Alex se rêvait déjà en héros militaire américain, tout en force et en stratégie d’attaque, capable de sauver n’importe qui, pourvu que ce soit Buffy. Aspiration de réussite qui reste longtemps en filigrane avant d'être explorée dans un épisode hilarant de la cinquième saison où Alex est dédoublé. 

 

photo, Nicholas Brendon, Alyson HanniganDe sidekicks à badass

 

Même chose avec Willow. Devenue à la fois sa hantise et son rêve dans Halloween (une femme assez bien dans sa peau pour porter une mini-jupe et un décolleté... mais transparente), elle est confrontée à la version badass et vampire d’elle-même dans l’épisode Deux visages (saison 3). Un pan de sa personnalité qui va même prendre le pas sur le tout le reste alors que, perdue dans la drogue et le chagrin, elle finit presque par détruire le monde après avoir dépecé une ou deux âmes perdues dans le final de la saison 6.

Et ce n’est que pour parler du Scooby Gang. Même sans passer par des détours surnaturels, et souvent en utilisant cette idée de reflet, la série impose des changements à tous ses personnages, exacerbant aussi bien leurs fêlures mentales que leurs plus grandes forces. Faith (Eliza Dushku), la deuxième tueuse, est dans ses actions, son apparence physique et ses goûts une sorte de reflet déformé de Buffy. Angel et Spike peuvent être regardés comme deux facettes d’une même pièce.

 

photo, Alyson HanniganNouvelle recrue de Thor : Love and Thunder

 

LA FIN JUSTIFIE LES MOYENS

Certaines créations font dissoner les attentes de résonnance entre le fond et la forme du public et offrent des petites virtuosités de création (comme Midsommar, film qui plonge dans une lumière méthaphorique à mesure que le malaise et l'angoisse s'emparent des personnages). Et souvent, elles ont quelque chose de magnétique parce qu’elles interpellent.

D'une certaine manière, Buffy contre les vampires joue cette partition hypnothique ; par le basculement des codes du slasher dont on parlait plus haut par exemple, par ses explorations existentielles d'une obscurité incroyable pour une série adolescente - explorations qui donneront lieu à l'un des épisodes les plus mythiques du petit écran, Que le spectacle commence (saison 6, épisode 7), tragédie musicale spectaculaire de profondeur et de révélations inattendues.

Qui avait déjà osé, à son époque, faire dire de la bouche d’une adolescente en plein deuil impossible que « la chose la plus difficile dans ce monde, c’était d’y vivre » ? Qui d’autre avait offert à son héroïne la possibilité de préférer la mort par sacrifice, l’abandon de sa petite sœur et de ses responsabilités humaines à la vie ? Qui d’autre a profité de la résurrection de son personnage une fois la série repartie pour une nouvelle saison (la sixième) pour en faire quelque chose d’aussi dépressif, pour explorer aussi profondément ce qu'est la pulsion de mort, d’autodestruction et la détestation de soi qui se tapit en chaque être ? Jusqu'à Euphoria (2017), peu de (voir aucune) séries adolescentes se sont permises ce genre de déviations.

 

photo, Alyson Hannigan, Emma Caulfield, Amber BensonAh c'est comme ça qu'il fallait faire...

 

Pourtant, Buffy  ne s'arrête pas là : si elle manie très bien l'art du contraste, elle est tout aussi forte dans celui de faire se répondre le fond et la forme. Les deux premières saisons offrent des épisodes globalement détachés les uns des autres, ou alors avec une toile de fond assez éloignée, mais rapidement, Joss Whedon se sert de son média pour étaler un discours qui va bien au-delà de la série adolescente ou de la série surnaturelle qui lui permet d’interpeller au moins autant ses spectateurs. 

Charmed, pourtant censée être plus adulte parce que ses personnages sont plus âgés, ne s’est jamais aventurée dans des contrées aussi sombres que les cinquième et sixième saisons de Buffy - alors qu’avec la mort brutale de Prue Halliwell (Shannen Doherty), elle aurait eu matière à le faire. Et qui de SupernaturalLucifer ou Vampire Diaries, a ne serait-ce qu’essayé de bifurquer vers un discours philosophique ? 

De ce côté-là, Buffy est d’une puissance créative inouïe. Un silence de mort, l’épisode de la saison 4 où tous les personnages se retrouvent privés de leur voix, est d’une intelligence rare dans la transformation de ses personnages - donnant comme réponse à leur incapacité à communiquer un silence formel.

 

Buffy contre les vampires, Un silence de mortOui, vous pouvez continuer à chercher. Pas grand monde. 

 

Alien, le nouveau passager 

Il serait impossible de détailler ici toute la finesse avec laquelle les personnages ont été travaillés, écrits et réinventés. Au-delà de leurs métamorphoses les plus profondes, l’ambition de la série n’est pas uniquement de lutter contre des vampires. Non. L’autre vocation à temps plein de Buffy, c’est de lutter contre les stéréotypes de genre infusés dans l’ADN même du cinéma. Certes, Ellen Ripley (Sigourney Weaver, Alien) et Sarah Connor (Terminator) avaient largement secoué la culture populaire dans le genre de la SF, mais peu avaient suivi l'exemple avec tant de succès.

 

photo, Charisma CarpenterBon, il s'amuse aussi pas mal avec ses stéréotypes

 

Joss Whedon disait que le phénomène principal auquel il espérait prendre part, c’était la modification de la culture populaire, l'acceptation de l’idée d’une héroïne - pas simplement une protagoniste, mais une véritable héroïne. Ce n’est pas un hasard s’il a casté une jeune fille blonde et petite pour le rôle de tueuse. Et ce n’est pas non plus un hasard si c’est un acteur répondant aux codes visuels du « brun ténébreux » qui a été choisi pour camper Angel, le personnage masculin torturé et à sauver. 

Avec ces images, il questionne et met en péril les a priori de tous sur des personnalités à la simple vue de leur apparence physique. Il n’y a rien d’original à le dire, mais derrière ces allures de jeune lycéenne superficielle (ce qu’elle était avant de devenir la tueuse), Buffy est l’anti donzelle en détresse que Joss Whedon se force à ne pas objectiver par sa caméra.

Ce personnage est celui de la transgression par excellence. C'est l’élue qui s’extirpe du conseil avec pertes et fracas, qui transgresse loi de l’unique tueuse, celle de ne pas se lier avec les démons, ou encore qui choisit de ne pas faire cavalier seul… Mais au-delà de ça, la manière qu'à eu la série de la faire apparaître à l’écran avait déjà quelque chose de moderne, car sur le chemin de la désexualisation.

 

photoEt deux clichés sexistes pour madame, deux !

 

Aussi bien dans le fond que dans la forme, l’élan donné par Joss Whedon n’a rien d’anodin. Oui, par Buffy, par Willow et Tara (Amber Benson), par baiser lesbien de ces deux dernières à l’écran (le premier aussi frontal de l’histoire du petit écran, qui a été si difficile à rendre possible), par Faith qui embrasse pleinement sa sexualité, par les sorcières et par le rejet complet de la femme hystérique (l’épisode Intolérance de la saison 3 est une petite bombe anti-patriarcat), et par la septième saison qui est une leçon de féminisme (redistribuer le pouvoir, car la lutte est aveugle et inutile si elle ne passe pas par le collectif), Whedon dit quelque chose de l’absurdité de cette vision archaïque de la femme.

Mais il ne se cantonne pas à ça. La douceur, la tendresse et la bienveillance de ses personnages masculins (traits de caractère qui, dans l'imaginaire genré de nos sociétés, sont plutôt réservés aux femmes), décrivent aussi quelque chose d’autre de la masculinité. Spike, loin d'avoir un comportement lisse et droit, est un personnage d'une telle complexité qu’il pourrait avoir un dossier à lui tout seul... Mais raconter l'homme par le prisme de ces nouveautés, c’est offrir quelque chose de non moins important au discours féministe que la réinvention de la femme. Et c’est assez rare pour être souligné.

 

photo, James MarstersDe bouffeur de tueuse à chasseur d'âme pour en aimer une dernière

 

En mettant en avant la complexité humaine, en travaillant sur ses subtilités, sur la noirceur qui l'habite aussi bien que sur la lumière qu'elle peut porter, en osant traiter avec sensibilité des thèmes difficiles, relevant parfois de l'incommunicable, Buffy s'est glissée dans l'imaginaire de toute une génération adolescente pour infuser ses attentes futures. Pour répondre à la question "comment s'intégrer au monde ?". Sans jamais se montrer moralisatrice, la série encourage toujours à embrasser sa nature propre, à se trouver soi-même quelle que soit la longueur du chemin ou les difficultés croisées en cours de route.

Tout savoir sur Buffy contre les vampires

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commentaires
Ghost Leopard
07/04/2024 à 01:35

Mes villains préférés :

(1) The Gentlemen

(2) Warren Mears

(3) Drusilla

(4) Bringers of the First Evil (= Harbingers of Death)

(5) The Master

Miss M
23/02/2023 à 12:28

Une série pure. Dommage qu'on obtienne pas d'explication un peu plus claires sur Tara. Je me rappelle de sa famille disant qu'elle est bien plus dangeureuse que ce que l'on peut croire. Avait-elle bien plus de pouvoir que Willow ? Autre ?
Bref, ça se laisse re-regarder à l'infini sans problème cette chose là ^_^ !

movie-observeur ou comics-analyst
10/01/2021 à 22:06

''Buffy tueuse de vampire''.C'est un titre très accrocheur normale que ca est eu du succès a la television or on sait que plus un produit a du succès plus on'y met du pognon d'ou l'impression de grandeur de la série si les auteurs font bien leur travail a chaque saison afin d’éviter la monotonie qui fini souvent par s'installer plus tard.
le mot clé dans le succès n'est pas ''beauté''ou ''intéressant mais ''famille''car on peut trouver de l’intérêt ou de la beauté dans n'importe quel produit si on prend la peine et le temps de bien l’observer sans en être oblige.
D’où la raison d’être du marketing promotionnel.
Je n'est pas dit que Sarah Michele Gellar était une mauvaise actrice j'ai juste dit que la sélection naturelle l'avait permis par le truchement de la série d’être une actrice familière ce qu'elle n'a pour l'instant pas pu faire au grand écran
Malgré son age un peu avance elle pourrait encore le faire avec un OU DES filmS aussi benefiqueS que la série ''Buffy''

Eliza
06/01/2021 à 22:23

N'ayant jamais était fan, j'ai découvert buffy en 2015.
Et sa a etait la révelation!!! Comment j'ai pu passer à côter, pendant tant d'anneés.
À l'époque je trouver sa surjoué et pas crédible mais l'orsque j'ai commencer (les 2 premieres saison son affreuse visuelement) heuresement que les acteurs sont top, une fois à la saison 5 (boule d'énergie) j'ai pleuré et c'est la ou j'ai compris que buffy était unique.
Depuis je la rematte constament et j'ai decidé de continué la suite en comics.
Si vous ne connaisez pas foncez, vous allé adorer.

ELZORADHO
06/01/2021 à 22:19

Okay, meuilleur séries de tout les temps, si vous voulez débattre, regarder l'intégralité et revenez me voir.

Gérard
06/01/2021 à 22:17

J'adore cette série, le seule point négatif c'est l'absence d'acteur de couleur.
Qui est fortement dommage et aurais pu apporter une meuilleur alchimie de groupe.
Déçu par le combat finale qui aurait pu duré plus longtemps :(
Mais cette séries est bad-ass et pas si feministe que sa en y repensant. Comparé a au series d'aujourd'hui, qui sont dans l'abus du féminisme :)

DeStRoYeR:)
06/01/2021 à 22:14

Angel et buffy les 2 meuilleurs series de tout les temps!!!!
Certes il y a du négatif comme toutes séries.
Mais en ayant regarder l'integralités, je peut vous dire que plus les saisons passe et plus on n'est plongé dans cette univers ^^
Alors qu'aujourdhui on apprécie une séries et au bout de 4 saison, on n'en peut plus ou bien nous sommes déçu des choix artistique et du déroulement de l'histoire.
Buffy et angel c'est de l'amêlioration à chaque saison.

BS
06/01/2021 à 22:10

Buffy mon enfance. Au diable les autres series.
Aucune ne rivaliseras jamais avec buffy :)

TuPaC007
06/01/2021 à 22:08

Peut importe les nombres conséquents, de séries creer et diffuser, entre 1997 et 2020
Buffy resteras la serie, des anneés 2000. J'ai de la peine pour les personnes qui critique cette séries. Sans vraiment l'avoir regarder. Car honnetement. J'essaie d'en trouvez une qui lui arrive au buste mais malheuresement il n'y en a aucune.
BUFFY est, et resteras la meuilleur séries de tout les temps!!!

movie-observeur ou comics-analyst
31/12/2020 à 23:31

Ceux qui pense que le film est nul juste parce qu’il n'a pas eu de succès ont un problème d’idée reçu.
rappelons que Stargate le film avait été un bon succès du box office et aurait été la reference de la franchise.et non pas oublie si la série et ses dérivés n'avait eu autant de succès
1 film contre plusieurs saisons d’épisodes la messe est vite dite ;
la sélection naturelle fait toujours en sorte qu'on vénère des succes stories comme des dogmes alors qu'il aurait suffit d'une chiquenaude pour que beaucoup d’échecs suive le même chenin

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