Critique : Cash
De l'affiche à la bande-annonce,
jusqu'au décor luxueux et à l'ambiance sonore et visuelle, tout ou presque dans Cash
s'inspire d'Ocean's eleven. S'il cite
Un arnaqueur évite les agressifs. Et encore plus les agressifs armés. Solal a oublié cette règle. Résultat, il est mort, assassiné par un mauvais perdant. L'affaire aurait dû en rester là. Mais Solal a un frère : Cash. Et Cash a décidé de le venger. À sa manière. En élaborant une arnaque de haut vol. Toutefois, l'adversaire est sur ses gardes. Et Cash et ses amis se sont peut-être attaqués à plus fort qu'eux... Dans ce genre d'opération, les alliances se font et se défont, les complices sont parfois des traîtres et les traîtres des complices. À la fin, une seule chose compte : qui est le pigeon ?
De l'affiche à la bande-annonce,
jusqu'au décor luxueux et à l'ambiance sonore et visuelle, tout ou presque dans Cash
s'inspire d'Ocean's eleven. S'il cite