Critique : Whiteout
Huit ans que l'on n'avait plus de nouvelles de Dominic Senna. Non pas que cela nous manquait tant le bonhomme est au mieux un gentil tâcheron à la botte des
L'Antarctique. 14 millions de kilomètres carrés de glace isolés du monde et plongés dans la nuit six mois par an. Température minimale : - 84 °C. Vitesse du vent : 160 km/h. Jamais la nature n'a voulu que l'homme puisse survivre là-bas. Pourtant, pour Carrie Stetko, ce n'est pas l'environnement qui est le plus dangereux. Seule représentante de la loi dans ce territoire impitoyable, elle doit enquêter sur un corps retrouvé sur la glace. Le premier homicide de l'Antarctique. Cette découverte, effroyable par elle-même, va plonger Carrie dans un mystère plus étrange encore, et révéler des secrets longtemps enfouis sous la glace... Des secrets qui ont poussé quelqu'un à tuer pour les préserver. Carrie doit tout faire pour démasquer le meurtrier avant que lui ne la trouve. Mais l'hiver approche, et dans la blancheur immaculée de l'Antarctique, elle ne pourra voir l'assassin que lorsqu'il sera sur elle...
Huit ans que l'on n'avait plus de nouvelles de Dominic Senna. Non pas que cela nous manquait tant le bonhomme est au mieux un gentil tâcheron à la botte des
Avant Blumhouse et sa percée sur le marché de l'horreur, une sous-filiale américaine avait tenté de se placer sur le même créneau, avec moins de succès.