Critique : The Awakening / Aftermath / Genesis
Tout commence en 1990 avec The Awakenning, première
réalisation du prodige espagnol Nacho Cerdà (en collaboration avec Ethan Jacobson) où ambiance délétère
Trois court-métrages :
Un jeune lycéen s’endort en classe. A son réveil, ses camarades et son professeur sont immobiles, le silence est total. Et d’étranges signes sont inscrits au tableau… (The Awakening)
Dans une morgue, un docteur cède à ses tentations les plus obscènes en violant le cadavre d'une jeune femme récemment morte d'un accident de voiture. (Aftermath)
Un sculpteur perd brutalement la femme sa vie. Incapable de surmonter le chagrin causé par sa mort, il sculpte sans relâche la réplique exacte de sa bien-aimée. Sa douleur intérieure est telle qu’il réussit à donner vie à sa sculpture, brisant ainsi les barrières du temps et de l’espace. Mais il paiera cette bouleversante résurrection de sa vie, se changeant lui-même petit à petit en… pierre ! (Genesis)
Tout commence en 1990 avec The Awakenning, première
réalisation du prodige espagnol Nacho Cerdà (en collaboration avec Ethan Jacobson) où ambiance délétère