Critique : La Lectrice
Même si la dimension sexuelle
est très présente le cinéma de Michel Deville n'est pas libertin. Pourtant la
nudité, l'amour, les fantasmes et le désir
Critique - Film
05/11/2008
Fascinée par Marie, l'héroïne du roman 'La lectrice', Constance décide à son tour de faire de la lecture à domicile à des gens esseulés. Après avoir passé une petite annonce, elle fait la connaissance d'Eric, un adolescent handicapé, et de ses autres 'clients' : une fillette espiègle, une veuve de général marxiste dans l'âme, un P-DG névrosé qui se fait lire 'L'amant' de Marguerite Duras, ou encore un magistrat à la retraite, grand admirateur des sulfureux écrits du Marquis de Sade.
Même si la dimension sexuelle
est très présente le cinéma de Michel Deville n'est pas libertin. Pourtant la
nudité, l'amour, les fantasmes et le désir