Critique : Mon colonel
Encore timoré jusqu'ici lorsqu'il s'agit d'évoquer la Guerre d'Algérie (Avoir 20 ans dans les Aurès en 1972 fut longtemps interdit de diffusion), le cinéma
Critique - Film
15/11/2006
1995, Paris. Le colonel en retraite Raoul Duplan est trouvé chez lui, une balle dans la tête. Une lettre anonyme est envoyée aux enquêteurs : « Le colonel est mort à Saint-Arnaud ». 1957, Saint-Arnaud, est de l'Algérie : un jeune officier juriste, Guy Rossi, prend ses fonctions auprès du colonel Duplan. La machine des pouvoirs spéciaux et de la torture institutionnalisée se met tranquillement en route. Elle fera du jeune juriste un bourreau. Et elle rattrapera Duplan 40 ans plus tard.
Encore timoré jusqu'ici lorsqu'il s'agit d'évoquer la Guerre d'Algérie (Avoir 20 ans dans les Aurès en 1972 fut longtemps interdit de diffusion), le cinéma