Critique : Chevalier
Après un encourageant Payback, Brian Helgeland tente de remettre au goût du jour les films de chevalerie ravivant de la sorte les souvenirs lointains mais ô combien
En Europe, au XIVe siècle, William Thatcher est un modeste écuyer qui a un don inné pour l'équitation et les combats de joute, un talent qu'il décide d'exploiter après la mort de son maître Sir Ulrich von Lichtenstein. Mais ne concoure pas qui veut dans les tournois, il faut être un noble. Il prend alors l'identité de son défunt seigneur et part sur les routes de France avec ses compagnons Roland et Wat. En chemin, William rencontre Geoffrey Chaucer, un écrivain errant qui lui fabrique de faux papiers. Ces documents falsifiés lui permettent de participer aux tournois disputés par les plus grands chevaliers. En peu de temps, il se fait remarquer par son agilité et multiplie les victoires. Il attire également l'attention de la belle Jocelyn et, malheureusement, du redoutable comte Adhemar. Ce dernier est jaloux de son succès et compte bien y mettre un terme.
Après un encourageant Payback, Brian Helgeland tente de remettre au goût du jour les films de chevalerie ravivant de la sorte les souvenirs lointains mais ô combien
Heath Ledger enfile le heaume et entre dans l'arène sur du Queen. Vingt ans après, son Chevalier est-il toujours aussi cool ?