Critique : Écrire pour exister
Écrire pour exister, réalisé par Richard LaGravenese, montre une Hilary Swank plus fade qu'à l'habitude et on comprend facilement pourquoi elle n'a pas été
Erin Gruwell, enseignante novice de 23 ans, a choisi comme premier poste un lycée difficile de Long Beach. Ses élèves l'ignorent superbement et se regroupent en clans, prêts à s'affronter au moindre prétexte. L'ambiance empire au fil des jours, en dépit des efforts sincères et maladroits d'Erin pour prendre en main cette classe d'"irrécupérables".Un incident mineur met finalement le feu aux poudres, donnant du même coup à Erin l'occasion d'ouvrir le dialogue avec les jeunes. Avec tact et humour, en évitant d'instinct le piège du paternalisme, Erin parvient à instaurer avec la classe un vrai rapport de confiance.
Écrire pour exister, réalisé par Richard LaGravenese, montre une Hilary Swank plus fade qu'à l'habitude et on comprend facilement pourquoi elle n'a pas été
Et une article-details_c-trailers pour Freedom writers, encore une « histoire vraie » avec jeune femme comme héroïne ! Hilary Swank joue une prof qui se bat