Critique : Slevin
Avec comme distributeurs (US) les frères Weinstein, son histoire à tiroirs et référentielle (Sean Connery cité par le couple Josh Hartnett Lucy Liu comme
La vie n'est pas tendre avec Slevin. En quelques jours, ce jeune homme a perdu son appartement, découvert que sa petite amie le trompait, et s'est fait voler ses papiers. Décidé à souffler un peu, Slevin s'envole vers New York, où il va habiter quelque temps l'appartement d'un copain, Nick Fisher. La poisse ne va pas le lâcher pour autant, bien au contraire...Le milieu new-yorkais est en ébullition. Deux de ses plus grands parrains, le Rabbin et le Boss, se livrent une guerre sans pitié. Autrefois complices, ils sont devenus les pires ennemis. Pour venger l'assassinat de son fils, le Boss est décidé à faire tuer celui du Rabbin. Il a chargé Goodkat de l'affaire. Celui-ci a un plan très simple : trouver quelqu'un qui doit énormément d'argent au Boss et l'obliger à exécuter la besogne en échange d'une annulation de dette. Le candidat idéal est... Nick Fisher...
Avec comme distributeurs (US) les frères Weinstein, son histoire à tiroirs et référentielle (Sean Connery cité par le couple Josh Hartnett Lucy Liu comme
Maintenant que Sam Mendes est parti, il faut bien lui retrouver un remplaçant. Et le choix est intéressant...
La article-details_c-trailers de Lucky number Slevin, le nouveau long-métrage du réalisateur britannique Paul McGuigan (Gangster N° 1, Rencontre à Wicker Park)