Critique : Le Mécano de la General
Quand Le Mécano de la General sort sur les écrans en 1927, Chaplin venait juste de s'offrir un triomphe avec La ruée vers l'or, le couple Laurel & Hardy était
Johnnie Gray, mécanicien d'une locomotive baptisée « The General », a deux amours : sa machine et sa fiancée, Annabelle Lee. Lorsque la guerre de Sécession éclate en 1861, il est refusé par l'armée qui le juge plus utile comme mécanicien que comme soldat. Annabelle, qui ne comprend pas cette raison, le prend pour un lâche et le fuit. Un an plus tard, la « General », avec Annabelle à son bord, est détournée par un groupe d'espions nordistes. Johnnie se lance à leur poursuite et sauve à la fois la locomotive et la fille. Il revient dans le territoire de l'Union juste à temps pour prévenir l'État-major d'une attaque imminente des Nordistes.
Quand Le Mécano de la General sort sur les écrans en 1927, Chaplin venait juste de s'offrir un triomphe avec La ruée vers l'or, le couple Laurel & Hardy était
Avant Bullet Train, le train était déjà un motif cinématographique passionnant. La preuve en 10 grands films ferroviaires.
Le confinement est peut-être très désagréable pour certains, mais il profitera assurément aux cinéphiles qui s'ignorent.