The Green Inferno : critique affamée
Après Cabin Fever et deux épisodes d'Hostel, le sale gosse du cinéma d'horreur, Eli Roth, nous revient avec un buffet cannibale. À table !
Un groupe d'activistes new-yorkais se rend en Amazonie et tombe entre les mains d'une tribu particulièrement hostile.
Après Cabin Fever et deux épisodes d'Hostel, le sale gosse du cinéma d'horreur, Eli Roth, nous revient avec un buffet cannibale. À table !
Une maison où tout lévite, une porte qui claque, une petite fille flippante, une ampoule qui pend au plafond... Vous aurez reconnu le logo Blumhouse.
On aime Eli Roth. Point. Même quand il s'égare. Parce qu'on sait qu'au final, il va toujours revenir dans l'horreur pure.
Parce qu'un moment il faut aussi savoir s'amuser, on retrouve nos bas instincts avec un petit film canadien.