Critique : Pieta
En 2011, Kim Ki-duk livrait un bouleversant voyage psychanalytique et
mégalo. Arirang avait révélé un cinéaste perdu, dévoré par les incertitudes
et épuisé
Critique - Film
07/04/2013
Abandonné à sa naissance, Kang-do est un homme seul qui n’a ni famille, ni ami. Recouvreur de dettes sans pitié et sans compassion, il menace ou mutile les personnes endettées dans un quartier destiné à être rasé. Un jour, Kang-do reçoit la visite d’une femme qu’il ne connaît pas et qui lui dit être sa mère. Pour la première fois de sa vie, le doute s’installe en lui…
En 2011, Kim Ki-duk livrait un bouleversant voyage psychanalytique et
mégalo. Arirang avait révélé un cinéaste perdu, dévoré par les incertitudes
et épuisé