Critique : Quartet
Celui qui à 30 ans incarnait un jeune homme de 21 printemps
et, 3 ans après, interprétait un vieillard de 121 bougies sait jouer sur les
partitions de l'âge.
À Beecham House, paisible pension au cœur de la campagne anglaise qui accueille des musiciens et chanteurs d’opéra à la retraite, le bruit court qu’une nouvelle pensionnaire arriverait sous peu. Et ce serait une diva ! Pour Reginald, Wilfred et Cissy, le choc est grand lorsqu’ils voient débarquer l’impétueuse Jean Horton, avec laquelle ils triomphaient sur les scènes internationales, des années auparavant. L’ambition de Jean et son ego démesuré avait alors ruiné leur amitié et mis un terme au mariage qui la liait à Reginald. Malgré les vieilles blessures, Reginald, Wilfred et Cissy mettront tout en œuvre pour convaincre Jean de reformer leur célèbre quatuor à l’occasion du gala annuel de Beecham House.
Celui qui à 30 ans incarnait un jeune homme de 21 printemps
et, 3 ans après, interprétait un vieillard de 121 bougies sait jouer sur les
partitions de l'âge.