Critique : Lucky girl
Très vaine tentative de prouver qu'un film peut se vendre, en dehors du giron de Disney, sur le seul nom de Lindsay Lohan, Lucky girl prouve par l'absurde que la
Ashley Albright a toujours eu une chance insolente. Sa bonne étoile veille sur son destin sans jamais faiblir. Sa jeune carrière dans une prestigieuse agence de relations publiques est déjà un succès, mais si elle réussit l'organisation du fabuleux bal costumé pour le célèbre producteur de disques Damon Phillips, elle va encore prendre du galon.Pour Jake, les choses sont bien différentes. La poisse ne le lâche jamais. Et pourtant, les catastrophes qui s'abattent sur lui ne parviennent pas à entamer son rêve : Jake a découvert un groupe de rock, les McFly, et si seulement il pouvait rencontrer Damon Phillips, ce serait la réussite assurée. Pour cela, il va s'introduire au bal costumé...Lorsque Ashley et Jake se retrouvent par hasard face à face sur la piste de danse, c'est le coup de foudre... et le baiser fatal. En s'embrassant, les deux jeunes gens échangent leur bonne fortune...
Très vaine tentative de prouver qu'un film peut se vendre, en dehors du giron de Disney, sur le seul nom de Lindsay Lohan, Lucky girl prouve par l'absurde que la
C'est le sport national hollywoodien, et de fait, aussi celui de la
presse people : chercher, et de préférence trouver, la Nouvelle Star.
Il est tout autant
Spécialiste des comédies plus ou moins salasse et douteuse (Mystic Pizza, Miss Détective, Comment se faire larguer en 10 leçons), le réalisateur Donald Petrie