Critique : La Doublure
Trois ans après le très moyen Tais-toi ! (assurément son film le plus faible depuis Le Jaguar), Francis Veber retrouve son personnage fétiche de François Pignon
Surpris par un paparazzi avec Eléna, sa maîtresse, un top model superbe, le milliardaire Pierre Levasseur tente d'éviter un divorce sanglant en inventant un mensonge invraisemblable. Il profite de la présence sur la photo, d'un passant, François Pignon, pour affirmer à sa femme qu'Eléna n'est pas avec lui, mais avec Pignon. Pignon est voiturier. C'est un petit homme modeste. Levasseur, pour accréditer son mensonge, est obligé d'envoyer la trop belle Eléna vivre avec Pignon. Elena chez Pignon, c'est un oiseau de paradis dans un H.L.M. Et aussi une mine de situations.
Trois ans après le très moyen Tais-toi ! (assurément son film le plus faible depuis Le Jaguar), Francis Veber retrouve son personnage fétiche de François Pignon
Oh my Gad !
Nous nous sommes fendu la poire avec cette boutade, en particulier
élèves (amusés) et profs d'anglais (agacés). « What's the date today
Pignon, François Pignon. Ce nom vous dit quelque chose ? L'un des plus célèbres personnages comiques du cinéma français créé en 1981 par Francis Veber avec
Trois ans après Tais-toi !, le métronome de la comédie française Francis Veber revient avec son nouveau long-métrage, La doublure, dans lequel il « Pignonisera