Phantom of the Paradise : critique
Du fabuleux prologue avec le logo tournant de Death Records illustré par la voix de Rod The Twilight Zone Serling à son final apocalyptique sur la scène
Winslow Leach, jeune compositeur inconnu, tente désespérément de faire connaître l'opéra qu'il a composé. Swan, producteur et patron du label Death Records, est à la recherche de nouveaux talents pour l'inauguration du Paradise, le palais du rock qu'il veut lancer. Il vole la partition de Leach, et le fait enfermer pour trafic de drogue. Brisé, défiguré, ayant perdu sa voix, le malheureux compositeur parvient à s'évader. Il revient hanter le Paradise...
Du fabuleux prologue avec le logo tournant de Death Records illustré par la voix de Rod The Twilight Zone Serling à son final apocalyptique sur la scène
Phantom of the Paradise demeure un des plus électriques chef d'oeuvre des seventies, annonçant la mort à venir d'une certaine culture pop et geek.