Critique : Achille et la tortue
Avec Achille et la tortue,
Takeshi Kitano achève (provisoirement) une trilogie consacrée
à son rôle d'artiste. Ici il ne se met plus en scène
en tant que
Fils unique d’un riche collectionneur d’art, Machisu révèle un talent précoce pour la peinture.Encouragé par ses proches, il peint en toutes circonstances. Mais le malheur met un terme à la vie privilégiée de l’enfant. Quelques années plus tard, le jeune homme pauvre et solitaire parvient à intégrer une école d’art. Il essuie les critiques sévères d’un marchand d’art mais le soutien indéfectible de Sachiko, une jeune employée qu’il épouse, l’encourage à persister dans sa voie. Arrivé à 50 ans, Machisu n’a toujours pas vendu une toile. Il reste néanmoins dévoué à son art. Avide de reconnaissance, Machisu, tel Achille, arrivera-t-il à dépasser la tortue ?
Avec Achille et la tortue,
Takeshi Kitano achève (provisoirement) une trilogie consacrée
à son rôle d'artiste. Ici il ne se met plus en scène
en tant que