Test Resident Evil 4 : oui, le remake est encore mieux que l'original

Geoffrey Crété | 24 mars 2023 - MAJ : 25/03/2023 18:17
Geoffrey Crété | 24 mars 2023 - MAJ : 25/03/2023 18:17

Dix-huit ans après l'inoubliable Resident Evil 4, et alors que la saga a tenté une renaissance avec les bancals Resident Evil 7 et Resident Evil : Village, le remake de Resident Evil 4 arrive le 24 mars sur PS5, PS4, Xbox Séries et Windows. Après les remakes très réussis de Resident Evil premier du nom et Resident Evil 2 (oui, on met de côté la déception Resident Evil 3), c'était la suite logique pour Capcom, puisque RE4 est considéré par beaucoup comme l'un des meilleurs épisodes de la saga Resident Evil. Et le remake est à la hauteur des attentes puisqu'il est largement réussi.

Pourquoi Resident Evil 4 est le parfait best of de la saga culte.

Test effectué sur PlayStation 5.

resident evil puissance 4

Rejouer à Resident Evil 4, c'est revoir l'évidence : cet épisode a été un tel tournant dans la saga qu'il a influencé tout ce qui est venu après. Resident Evil 5 et Resident Evil 6 ont essayé de copier la formule en tirant sur la corde jusqu'à la nauzée (pour série Z). Resident Evil 7 a tenté d'ouvrir une nouvelle voie (avec un passage final dans des mines rappelant fortement RE4 tout de même), mais Resident Evil : Village a fait un petit bond en arrière pour s'inscrire directement dans l'héritage du quatrième.

Entre temps, les remakes en avaient largement repris le gameplay pour l'affiner. Et même les films de Paul W.S. Anderson ont été piocher dans RE4, reprenant quasiment plan par plan la rencontre avec Ada Wong dans Retribution (avec Alice à la place de Leon). En s'érigeant instantanément comme un modèle du genre, Resident Evil 4 a rebattu les cartes, et la franchise a eu du mal à s'en remettre.

 

 

Depuis que Capcom a lancé la machine à remake, le retour de RE4 était tellement une évidence que c'était probablement le plus beau lingot d'or dans le coffre-fort nostalgique de Capcom. Rien ne pouvait l'arrêter malgré un permis de douter, pour deux raisons : moderniser Resident Evil 4, qui était déjà en vue TPS, n'allait pas être aussi spectaculaire qu'avec les précédents épisodes, automatiquement réinventés ; et le remake joliment raté de Resident Evil 3 avait envoyé un mauvais signal.

Mais après le doute vient la douceur. Le remake de Resident Evil 4 remplit parfaitement sa mission, et se place automatiquement aux côtés des remakes des deux premiers opus.

 

Resident Evil 4 Remake : photoBranlée espagnole

 

kill kitsch

En 2005, Resident Evil 4 était un festival d'hallucinations parfois hilarantes. Il y avait Leon qui se prenait pour Indiana Jones avec une grosse pierre à ses trousses, Leon qui enchaînait des saltos arrière comme aux Jeux olympiques, Leon qui faisait du air kung-fu pour éviter des lasers tueurs (et rendre hommage au premier Resident Evil avec Milla Jovovich). C'était aussi un château digne des Hunger Games avec de la lave, des moines armés comme dans Rambo, et mille et un pièges tous plus improbables que les autres.

C'était également Ada Wong super-espionne habillée (et filmée) comme dans un petit porno, le gros dossier de la mini-jupe d'Ashley, Krauser tout droit sorti d'un sous-Stallone des années 80, et le mini-Napoléon Salazar protégé par ses deux sbires insectoïdes-géants. En une quinzaine d'heures de jeu, on réduisait la population espagnole d'environ 20%, on décimait l'équivalent de 58 monastères, et on laissait derrière nous quelques villages et une île en cendre. Michael Bay n'aurait probablement pas rêvé mieux.

 

Resident Evil 4 : photoA peine pris une ride

 

Resident Evil 4, c'était grandiloquent, c'était gargantuesque, c'était kitsch, c'était trop, et c'était bien. Mais c'était une autre époque, ou en tout cas, c'est ce que le remake a choisi de croire en opérant un gros lifting. Les premières heures très familières (le village, la tronçonneuse) sont peut-être là pour rassurer les fans, mais elles sont finalement trompeuses. Très vite, la parfaite copie conforme se métamorphose, et prend soin de réinventer en profondeur de grosses portions du jeu.

 

Resident Evil 4 Remake : photoEntrée en gare de Salazar

 

un château en espagne

Moins d'énigmes à coups de sceaux brisés et miroirs rotatifs, moins de lames tueuses et passerelles amovibles, moins d'accidents de voiture, moins de lasers vicieux : le remake a passé un coup de balai dans les décors, particulièrement le château de Salazar, pour redescendre sur l'échelle du WTF. Pas d'inquiétude, le jeu continue à défier la gravité terrestre et la résistance musculaire humaine, et le spectacle reste follement dingo. Mais ce que le jeu perd en extravagance, il le gagne en harmonie et cohérence, surtout après les premières heures si fidèles.

Parce que si le remake de Resident Evil 4 reste un grand huit azimuté déconseillé aux gens cardiaques, il apparaît plus équilibré. En zappant quelques arènes pour les réunir en une fois, en virant les QTE intempestifs (et désormais interdits par la convention de Genève), le jeu évite de reproduire quelques erreurs de l'original, et notamment l'aspect répétitif.

La générosité délirante laisse place à une maîtrise plus précise. C'est particulièrement clair avec certaines petites modifications chirurgicales. Telle scène se produira plus tôt, tel combat arrivera plus tard, et les personnages seront séparés et réunis de nouvelles manières. Un morceau de décor entier sera oublié, tandis qu'un autre sera entièrement créé ailleurs. Comme si le jeu était un gigantesque puzzle qui avait été défait et remonté, afin de devenir plus solide.

 

Resident Evil 4 (remake) : photoLA RÉPUBLIQUE, C'EST MOI

 

Ces changements rendent la narration plus limpide et efficace, d'autant que les environnements eux-mêmes ont évidemment été repensés. Loin de la palette de couleurs limitée de l'original (du jaune, du gris, et voilà), le remake utilise la lumière et l'obscurité pour resculpter les décors. C'est l'héritage direct du remake de Resident Evil 2, mais c'est moins pour forcer l'importance de la lampe torche que pour redécouper les zones. Là encore, le château de Salazar est le meilleur exemple, puisque grâce à un ravalement de façade à tous les niveaux (parfois dans les grandes largeurs, parfois juste en arrière-plan d'une scène), il devient beaucoup plus intéressant et riche. Et la longue exploration de ce temple maudit n'en est que plus amusante et ludique, avec de très belles surprises derrière certaines portes ou escaliers.

En utilisant mieux l'obscurité en intérieur et la nuit en extérieur, en variant plus les textures et les couleurs, le remake de Resident Evil 4 gagne ainsi une nouvelle dynamique. Les espaces sont mieux délimités, les idées moins répétées, les transitions plus satisfaisantes, et l'aventure est finalement mieux rythmée. Déjà bien présent dans l'original, le sentiment de véritablement traverser les mondes devient ici encore plus enthousiasmant. On commence dans les sentiers et villages moyenâgeux, on traverse un château baroque, on finit dans un complexe militaire abritant des laboratoires high-tech, et on en ressort lessivé, avec la sensation d'avoir survécu à toutes les époques.

 

Resident Evil 4 (remake) : photoL'île aux moines

 

presque tendre est la nuit

Les personnages aussi ont eu droit à un coup de karcher qui permet de perdre quelques points de cringe. Un peu moins porté sur le kung-fu, un peu moins mâle alpha (il osait quand même dire à Ada de s'écarter du combat final), Leon gagne surtout une dimension plus touchante face à Krauser et surtout Ashley. Leur relation est beaucoup plus soignée, leurs interactions sont plus sobres, l'infection est plus vicieuse (avec quelques très bonnes scènes nouvelles/changées), et le duo se construit au fil des heures et des épreuves. Dans la dernière ligne droite, le remake met le paquet pour que ce sauvetage mutuel soit un véritable enjeu, et si tout ça reste évidemment une miette dans l'océan de rage et de violence, c'est une petite touche d'émotion utile.

Le fait qu'Ashley soit un peu moins tête à claques aide certainement. Dans l'original, elle était enlevée trop de fois pour avoir envie de les compter, appelait tellement à l'aide que l'envie de viser sa tête plutôt que celle des moines était réelle, et elle continuait à râler comme une espèce de Paris Hilton même en plein cauchemar. Sa petite scène de drague avec Leon à la fin était la cerise sur le gâteau de l'écriture foireuse. Dans le remake, tout ça a été repensé. Ashley reste le prototype de la demoiselle en détresse, mais elle a suffisamment de moments de doutes et d'humour pour devenir un personnage à part entière. En mettant en scène sa panique et son désespoir, Resident Evil 4 apporte même quelques touches humaines bien senties.

 

Resident Evil 4 Remake : photoAshes to Ashley

 

À l'autre bout du spectre des clichés féminins, Ada Wong a droit au même honneur de la presque normalité. Dans l'original, son visage était quasiment mis au même niveau que son décolleté et sa robe fendue, visiblement aussi importants pour la caractériser que son flingue ou ses gadgets. Ce qui était d'autant plus triste qu'elle avait un rôle autrement plus intéressant dans Resident Evil 2. Dans le remake, elle reste une athlète (chapeau pour les talons dans la pampa espagnole), porte toujours sa couleur fétiche, mais retrouve elle aussi une place logique dans le récit. Le nouveau Resident Evil 4 atténue le côté comique de la femme fatale puissance 1000, et efface quelques répliques, cascades, ralentis et actions uniquement dictés par le spectacle.

Mais tout ça n'est pas (uniquement) dicté par le bon goût version 2023. En donnant une meilleure place aux seconds rôles, y compris Luis, le remake de Resident Evil 4 a surtout trouvé, là encore, un meilleur équilibre. D'emblée, le jeu fait le choix de s'accrocher au point de vue de Leon, quitte à perdre quelques effets amusants (la vue depuis la fenêtre de la première maison). Mais sur la durée, c'est entièrement satisfaisant puisque le récit zappe plusieurs scènes sans le héros qui montraient les méchants fomenter leurs plans. Sans ces pauses gentiment inutiles et ridicules, le remake va droit au but, collé aux basques de Leon et Ashley.

 

Resident Evil 4 Remake : photoAda never Wrong

 

les frissons de l'angoisse

Ce choix de repenser les personnages et replacer les pièces du puzzle a un autre effet salvateur : le baromètre de la peur remonte. Resident Evil 4 a toujours été l'épisode de l'adrénaline et de la tachycardie, pas des frissons purs. Le remake n'essaie donc pas de réécrire l'histoire, et encore moins de rivaliser avec l'excellent Resident Evil 2 version 2019. Néanmoins, il réinjecte de l'angoisse à des moments précis, pour rythmer le cauchemar, et confirmer que ce RE4 a des airs de best of de la saga – ce que Village avait lui aussi tenté, maladroitement.

Ça passe d'abord par le personnage de Saddler, bien plus réussi, car beaucoup plus mystérieux et étrange. Au lieu de passer son temps à rôder, ricaner et appeler Leon en visio pour expliquer son plan diabolique, il reste dans l'ombre pour peu à peu révéler ses traits et ses caractéristiques. De quoi rendre ce grand méchant nettement moins risible (Krauser défend sans effort cette partie, fidèle à l'original), tout en permettant aux autres antagonistes de mieux exister.

 

Resident Evil 4 (remake) : photoHappy Saddler

 

Cette approche plus horrifique permet au remake de Resident Evil 4 de mieux tirer profit des meilleures idées et bestioles du jeu. Parfois, c'est avec de petites retouches, comme dans la rencontre avec Verdugo, toujours aussi effrayant sous ses airs de géant cyberpunk. Parfois, c'est avec une mise en scène véritablement nouvelle, pour les terribles Garradors et Regeneradors. Ces deux créatures absolument inoubliables ressortent encore plus puissantes dans le remake, avec des idées de mise en scène toutes simples pour soigner leurs apparitions. Là, on retrouve le Resident Evil malin, qui installe l'angoisse avec un bruitage, une silhouette, ou simplement une touche de perversité.

Le remake joue nettement plus sur les silences et la tension, en partie parce que la technique rend ces monstres plus vifs et dégourdis (oui, on pense au Garrador dans la cage avec Leon, dans l'original). De quoi offrir quelques défis, surtout avec la sensation qu'uil n'y aura jamais assez de munitions pour survivre à cet enfer. Peu importe si c'est faux, ça sert à merveille l'immersion.

 

Resident Evil 4 (remake) : photoGare au dos

 

Mais la réussite la plus éclatante est certainement le passage avec Ashley. Beaucoup mieux intégré et justifié dans l'histoire, il est désormais un vrai chapitre à part entière dans le cauchemar, et pas une simple parenthèse. Sans être forcément plus long ou difficile, ce moment est la parfaite démonstration d'un bon remake : il y a les mêmes idées, les mêmes décors, les mêmes grandes lignes, mais tout a été entièrement repensé. Désormais au centre de l'aventure d'Ashley, les chevaliers offrent quelques sursauts et sueurs froides irrésistibles dans une ambiance particulièrement réussie qui flirte pour de bon avec le fantastique (peut-être en hommage aux versions abandonnées du RE4 de 2005). L'original ressemble désormais à un brouillon, et c'est la meilleure chose possible pour un remake.

 

Resident Evil 4 (remake) : photoRâle de bibliothèque

 

bouquet final

Resident Evil 4 version 2023, comme à peu près tous les Resident Evil récents, reste néanmoins enfermé dans sa formule. C'est du bon recyclage, appliqué et malin, mais c'est du recyclage quand même. La dynamique exploration/arène est familière. Les boss sont toujours la partie la moins intéressante, pour ne pas dire la plus inintéressante. Le gameplay réinventé réinvente beaucoup moins qu'avec les trois premiers épisodes. La marge de créativité reste finalement limitée, mais n'est-ce pas le jeu des remakes, à ce stade ?

Et à ce jeu, celui de Resident Evil 4 (qui demande une quinzaine d'heures au moins) rassemble certainement le meilleur des deux mondes. D'un côté, à peu près tous les grands moments cultes ont été conservés – parfois méticuleusement reproduits, parfois malicieusement redétaillés. Idem pour la musique et les bruitages si mémorables. De l'autre, il y a l'ambition, l'audace voire le courage de détricoter le jeu pour mieux le refaire – quitte à sucrer des passages entiers, que les fans ne manqueront pas de relever. La nostalgie est indispensable, mais elle ne doit pas tout dicter et étouffer. Pour respecter, il faut parfois savoir trahir. C'est exactement ce qu'un remake devrait faire, et c'est ce que fait ce RE4.

 

Resident Evil 4 (remake) : photoEncore un peu coup d'Indiana Jones


Contrairement au remake de Resident Evil 3, qui avait sacrifié tellement de choses que le jeu ne tenait plus la route, Resident Evil 4 a maintenu un seul cap : l'efficacité, le rythme, le spectacle. Il n'y a qu'à voir le passage avec le wagon dans les mines pour constater que l'équipe a mis le paquet pour que la (re)découverte soit à la hauteur.

Resident Evil 4 est toujours une gigantesque attraction pleine de loopings, de fusillades, de destruction, de bastons, de poursuites et de hurlements. C'est toujours l'un des bestiaires les plus variés et excitants de la saga, avec une belle galerie de gueules de porte-bonheur. C'est toujours un enchaînement de péripéties dantesques, qui donnent le tournis tellement c'est sans fin. Et c'est toujours ce joyeux bordel et best of de la franchise, et ce point d'équilibre un peu magique entre le survival horror des premiers Resident Evil et la glissade décérébrée de ceux d'après.

 

Resident Evil 4 (remake) : photoCapcom vs fan demandant Code Veronica

 

À la fin, pour la énième fois, quelqu'un balance un lance-roquette pour achever le boss, et les héros s'enfuient à toute vitesse sur fond de compte à rebours et explosions. C'est la fin classique d'un Resident Evil, éprouvée au fil des épisodes et des remakes. Et dans les cendres de ce chaos revient alors la grande question, qui tourne en boucle depuis des années à chaque nouveau jeu, mais qui est encore plus pertinente ici : où ira Resident Evil après ça ? Resident Evil 8 était la fin d'une histoire, et laissait une porte ouverte pour un nouveau chapitre à définir, toujours plus loin d'Umbrella. Mais le confort des remakes (pour les finances de Capcom, la fidélité des fans et l'entretien de la marque) se termine-t-il avec Resident Evil 4 ?

Un remake de Resident Evil : Code Veronica serait une riche idée vu que le jeu mérite une deuxième vie, mais puisqu'il était sorti avant RE4, Capcom l'a peut-être déjà zappé. Un remake de Resident Evil 5 serait peut-être logique pour les comptables (c'est l'épisode le plus vendu), mais ce serait d'une tristesse folle vu qu'il est sorti en 2009. La saga est donc à la croisée des chemins, entre un futur qui doit être écrit et confirmé, et un passé qui ne peut plus être beaucoup recyclé. De quoi rendre le plaisir du remake de Resident Evil 4 encore plus précieux, voire doux-amer.

Le remake de Resident Evil 4 sera disponible sur PS5, PS4, Xbox Series X et PC à partir du 24 mars 2023

 

photo

Résumé

Dans la lignée directe de celui de Resident Evil 2, le remake de Resident Evil 4 est un pur plaisir. À cheval entre la nostalgie et la modernité, le jeu réinvente une partie des décors et des idées, tout en s'accrochant parfaitement aux séquences mémorables de l'original. Difficile de résister à la simple (re)découverte d'un tel morceau d'anthologie, sous forme de grand huit apocalyptique.

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commentaires
Fab 14
13/04/2023 à 19:52

Je viens de finir le jeu est franchement il est plutôt bon,a par Les petits bugs par-ci par-là rien à dire Ils ont fait dû bon taf. Après même avec les graphismes nexgen, je n'ai pas pris la claque que j'ai pris en 2005 sur la cube. Ceci dit c'est un bon jeu, est quitte à le découvrir je conseille de jouer à cette version.

Kynapse
25/03/2023 à 13:11

@Satan LaBitt
Si c’est pour les gamines attardés, pourquoi tu ne te mettrais pas à jouer ? :)

DjFab
25/03/2023 à 09:45

@Satan LaBitt : pour ton information, et pour éviter de repasser pour un idiot une troisième fois, ce jeu est pour adulte (voir le 18 + sur la boite).

Satan LaBitt
25/03/2023 à 09:10

Aucun rapport entre les films tous publics et les jeux vidéos, qui restent une attraction pour gamin attardé.

Juju48
25/03/2023 à 01:10

J'ai eut le jeu quelques jours avant la sortie et je l'ai déjà fini. Mais même si j'ai bien aimé, il est évident que ce remake ne sera pas aussi mémorable que l'original.
Je pense que même qu'un remake de Code Veronica aurait été plus judicieux car je le considère comme le meilleur épisode de la série, surtout scénaristiquement. Mais on passe un bon moment, rien à dire là dessus.

Kynapse
24/03/2023 à 22:19

@Satan LaBitt
Il faudrait aussi qu’ils arrêtent de parler des films tout public. Nous avons tous la majorité ici, non ?

Satan LaBitt
24/03/2023 à 19:30

SVP messieurs les rédacteurs, arrêtez de parler de jeux vidéos, on est sur un site pour adultes ici, non ?

Snake
24/03/2023 à 18:25

Meilleur que l'original qui est le 22ème meilleur jeu de tous les temps sur Metacritic et seulement 3,5/5 ? Pardon ?

JIll Valentine
19/03/2023 à 21:52

Vraiment dommage car j'aurai aimé jouer le premier chapitre RE de même manière que 2 et 3 (et 4) pour nouvelle next gen graphique/gameplay, Le 3 était vraiment trop bon.

Geoffrey Crété - Rédaction
19/03/2023 à 17:23

@Alice

Ah mais le premier Resident Evil a eu droit à son remake, Rebirth, sorti en 2002.

@JIll Valentine

Une quinzaine d'heures !

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