Les héros de jeux vidéo au cinéma - PORTFOLIO
Après le dossier sur le jeu vidéo au cinéma et le top 10 du pire des adaptations au cinéma, voici un petit portfolio des héros de jeux vidéo et leur alter ego cinématographique.
La même carrure, la même gueule, les mêmes armes, la même tendance à bullet timer... à quelques polygones près, Mark Wahlberg est Max Payne. Avec un scénario et un réalisteur, on aurait pu y croire.
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Regardez-moi ces deux affiches, c'est presque du copier/coller. Je vous le dis, on est ici en présence de la plus fidèle adaptation de tous les temps, avec Til Schweiger dans le rôle de sa vie après Lucky Luke dans Les Daltons... hein, quoi, Uwe Boll ?! Mais c'est marqué nulle part, les salauds, ils ont essayé de nous avoir.
Ahahah, alors que tout le monde attendait la brute de Vin Diesel dans le rôle de l'agent 47, c'est le gentil Timothy Olyphant qui s'y colle. Si les affiches promotionnelles pouvaient encore capitaliser sur une aura sombre et mystérieuse grâce à Photoshop, à l'écran, le verdict est sans appel. Pas crédible une seconde, il trimbale ses yeux de chien battu et ne tripote même pas Olga.
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On ne compte plus le nombre d'erstaz de Lara Croft qui peuplent les magazines ou les conventions. Sur gran écran, elle a les traits d'Angelina Jolie qui fait bien ce qu'on lui demande, à savoir n'importe quoi. Au bout de deux épisodes, si on lui propose d'autres rôles, surtout qu'elle n'hésite pas à faire l'échange. keuf...keuf...
Alors bien sûr, il y a Jean-Claude Van Damme en Colonel Guile et Kylie Minogue en Cammy dans Street Fighter, mais alors qu'une nouvelle adaptation se prépare autour du personnage de Shun Li avec Kristin Kreuk dans le rôle principal, il est intéressant de se rémémorer qu'elle a déjà été interprétée par Ming Na d'Urgences dans le film de Steven E. de Souza et surtout Jackie Chan dans la parodie Niki Larson.
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La meilleure adaptation d'un jeu vidéo au cin.... en DVD. Point barre. La preuve par 4 ci-dessous.
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Il est ce qu'il y a peut-être de plus réussi dans le film de Christophe Gans et prouve qu'il est possible de passer du petit au grand écran sans perdre son identité et ici son horreur.
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Jake Gyllenhal est donc arabe, enfin perse et aussi prince. Tout va bien donc...
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