God of War : on a classé les jeux du pire au meilleur

La Rédaction | 26 novembre 2022 - MAJ : 22/08/2023 10:06
La Rédaction | 26 novembre 2022 - MAJ : 22/08/2023 10:06

Kratos règne sur le beat'em up 3D depuis sa première aventure. Avec l'arrivée de God of War : Ragnarök, on s'est livré à un classement des opus de la saga.

Franchise phare de l'écurie PlayStation, God of War s'est imposé dès la sortie de son premier épisode en 2005 comme un poids lourd du paysage vidéoludique, et a propulsé par la même occasion Santa Monica Studio sur le devant de la scène internationale. En moins de temps qu'il en faut pour casser quelques vertèbres, Kratos est devenu une icône incontournable du jeu vidéo, dont la saga s'est étalée sur pas moins de neuf épisodes, tous canon (dans le lore), mais tous pas vraiment canon. 

 

God of War : photoDevine qui vient dîner ?

 

Le spartiate le plus furax du mythe grec s'est frayé un chemin du royaume des morts aux plus hauts sommets de l'Olympe, affrontant Dieux et Démons à grands coups de tatanes jouissivement mises en scène avec une démesure digne de l'hybris la plus condamnable. Sublimant la recette du classique beat'em up par un gameplay nerveux et en y ajoutant une surcouche de narration épique, la saga God of War a définitivement sa place au panthéon (ha ha) du jeu d'action 3D, aux côtés des Bayonetta et autres Devil May Cry.

Suite à la sortie de God of War : Ragnarök, Ecran Large vous propose un classement très subjectif des épisodes de la série, du plus oubliable au plus culte, histoire de savoir où trouver le véritable Dieu de la Guerre. 

 

 

9. God of war : betrayal

Pourquoi Kratos est furax dans celui-là ? Alors qu'il mène tranquillement son armée pour aller casser du Grec, voilà Kratos accusé d'avoir tué l'animal de compagnie d'Héra. C'est moche. Du coup, il se retrouve à vadrouiller partout dans le pays pour trouver l'assassin et prouver son innocence. 

Pourquoi c'est le pire du pire ? Après le succès du premier épisode, Sony s'est dit que ce serait une excellente idée de proposer une version mobile de God of War. Développé par Javaground, les spécialistes américains du jeu mobile de l'époque, God Of War : Betrayal était censé faire le lien entre GoW 1 et 2. Malheureusement, le jeu rate tout ce qu'il entreprend. 

 

God Of War : Betrayal : photoSuper Albinos VS Hermès

 

Les moyens techniques des mobiles de 2007 étant plus que limités, finie la 3D et adieu les cinématiques de folie. Kratos perd du volume et le voilà aplati comme un Prince of Persia version Jordan Mechner, réduit à explorer des mondes tous identiques. Le studio a bien tenté d'inclure du combat et des litres d'hémoglobine, mais comment restituer la jouabilité d'une manette PS2 sur un mobile ? En simplifiant tout à l'extrême, jusqu'à en perdre la substantifique moelle. 

Laid, mou, répétitif et sans aucun intérêt narratif, le jeu s'appelle "Betrayal", soit "trahison" dans la langue de Jean-Luc Azoulay, et le moins que l'on puisse dire c'est qu'il porte bien son nom. Kratos se serait bien passé d'une telle publicité. Un traumatisme pour les fans. À oublier (si vous le pouvez). 

 

 

8. GOD OF WAR : Chains of olympus 

Pourquoi Kratos a envie de tout casser ? Kratos brise tranquillement des côtes de Perses quand Morphée commence à faire des siennes, et plonge la Terre dans l'obscurité. Craignant pour son bronzage impeccable, le Spartiate ira jusqu'aux Enfers pour sauver le monde.  

Pourquoi c'est sympa sans plus ? Les événements de God of War : Chains of Olympus servent de prequel au premier GoW. Kratos y est présenté comme fidèle à l'Olympe, bien avant sa rébellion contre les Dieux. Développé par Ready at Dawn (The Order : 1886), en collaboration avec Santa Monica Studio, pour le support PSP, ce titre de 2008 respecte à la lettre les marqueurs de la série.

 

God of War : Chains of Olympus : photoPlus ils sont gros et laids, plus dure est la chute

 

Monstres mythologiques et affrontements épiques à souhait sont au programme. Mention spéciale à Perséphone en armure, dont le design rappellera certaines Valkyries bien connues des fans. Le scénario reste dans la lignée des deux premiers opus, avec une montée crescendo des enjeux, jusqu'à un climax final tragique au possible

Malheureusement, les limitations techniques de la PSP brident Chains of Olympus, et Kratos y est loin de se montrer sous son meilleur jour. Entre des ralentissements intempestifs, une jouabilité un peu pataude, un manque d'inventivité dans le level-design... même s'il reste réjouissant d'avoir une aventure de Kratos dans sa poche, on lui préférera tout de même sa version remaster PS3, qui a a minima le mérite de moins écorcher les rétines.  

 

 

7. GOD OF WAR : ascension

Pourquoi est-il aussi méchant ? Torturé par les trois Érinyes parce qu'il a rompu son pacte avec cette tête à claques d'Arès, Kratos parvient à se libérer et décide d'aller chercher sa rédemption en éliminant au passage les Furies et tous ceux qui le regarderont de travers.

Pourquoi c'est celui qui se prend les pieds dans le tapis ? Trois ans après God of War III, en 2013, Santa Monica Studio remet le couvert sur PS3 avec God of War : Ascension. Et impossible de ne pas sentir une certaine lassitude de la part des développeurs. Certes, la formule historique GoW fonctionne toujours aussi bien, mais ce prequel à Chains of Olympus ne parvient pas à atteindre la grandeur de ses aïeux malgré de bonnes idées. 

 

God of War : Ascension : photoEt la convention de Genève alors ?

 

Avoir inclus une dynamique de combat autour de la capacité du joueur à esquiver les attaques ennemies était destiné à redynamiser le système d'affrontement, mais le résultat s'avèrera frustrant et contre-intuitif pour tous ceux qui ont tâté du Spartiate au cours des jeux sortis auparavant. Ceci vient limiter la sensation de puissance en jeu, et bride le plaisir du joueur, surtout si on recherche un petit plaisir brutal et frontal.

La frustration est telle qu'elle entrave lourdement le plaisir de jeu, en dépit du fait que le titre soit plus que solide techniquement, et que son récit, bien qu'assez monocorde, offre quelques beaux moments de bravoure. On se rappellera l'incroyable rencontre au sommet avec les jumeaux siamois Castor et Pollux, au design dérangeant au possible, et qui semblent presque évadés d'un Silent Hill. Le principal défaut d'Ascension reste surement le fait d'être venu au monde après God of War III...

 

 

6. GOD OF WAR II

Pourquoi Kratos est encore plus vénère ? Suite aux événements de God of War, Kratos est officiellement Dieu de la guerre. Mais il n'inspire pas confiance à Zeus, qui le tue, tout simplement. Une fois envoyé aux enfers, il accepte l'aide de Gaïa et se décide à modifier son propre destin. Pour ce faire, il s'invite chez les soeurs du destin.

Pourquoi ça reste une date ? Après God of War, les équipes de Santa Monica se sont remises au travail. Pas question cependant de décalquer leurs travaux antérieurs. Le studio et Barlog cherchaient à transformer leur petite perle bourrin en fresque bourrine, épique, voire plus ambitieuse, sur le plan thématique. La saga gagne en ampleur dès cette scène d'introduction, la réalisation prend un peu de recul et la quête aveugle de Kratos commence à titiller les fondements de la mythologie, exploités de manière bien plus intéressante.

 

God of War II : Divine Retribution : photoHail to the king

 

Mieux encore, elle s'inspire un peu plus des grands récits antiques pour concevoir sa propre architecture et parvient à préserver une échelle absolument inédite (certains niveaux sont toujours extrêmement spectaculaires) sans jamais faire de concession sur son gameplay, grâce à un level design remarquable. Quelques passages, assez longs, se jouent de la mythologie avec une inventivité certaine, explorent astucieusement des décors aussi majestueux que respectueux de cet univers.

Une véritable claque - graphique et artistique - à l'époque, dont les qualités dramaturgiques ont un peu camouflé les rares défauts. L'ambition démesurée du titre a inévitablement causé quelques défauts, comme quelques séquences sur rails un peu trop longues ou une utilisation des QTE encore approximative, à l'origine de pics de difficultés soudains et pas très ludiques. Quelques défauts qui furent corrigés dans le troisième épisode, et qui n'entachent pas la réputation méritée de ce jeu important.

 

 

5. GOD OF WAR : Ghost of sparta

Pourquoi est-il si sombre ? Celui qui se déroule entre les deux premiers jeux. Kratos vaque à ses occupations de Dieu de la Guerre, jusqu'à ce que le souvenir de sa famille le tourmente trop. Il décide alors de partir à la recherche de sa mère, puis de son frère, malgré les avertissements d'Athéna. Une quête qui le fera tomber - littéralement - de Charybde en Scylla.

Pourquoi c'est le meilleur opus PSP, mais pas que ? Rejouer à l'intégralité de la saga God of War après 2018, c'est être forcément surpris de la qualité des opus PSP, pourtant confiés à Ready at Dawn Studios, et plus particulièrement du second, Ghost of Sparta. S'y replonger sur console moderne grâce au PS Now ne fait que souligner la beauté d'un jeu destiné au marché portable et relégué au statut de spin-off. On y retrouve l'ampleur, la fibre épique et la rigueur des titres traditionnels de Santa Monica et il leur tient même parfois la dragée haute.

 

God of War : Ghost of Sparta : photoUn troll dans les cachots !

 

L'idée d'exploiter la famille du fantôme de Sparte et de le lancer spontanément aux trousses d'un frère avait tout pour confiner la chose à l'anecdote. Toutefois, les mécaniques et l'intrigue de Chains of Olympus sont considérablement améliorées, justement à l'aune d'une aventure plus intime, peut-être la plus sombre de celles vécues par Kratos. Plus épuré et brutal, transformé par l'implémentation des projections, Ghost of Sparta fait de chaque combat une agression de la personnalité du héros et de chaque étape de sa quête une contribution à son destin tragique.

Sa beauté vient du paradoxe logé en son sein : seul opus à suivre un Dieu officiel, il met en scène son face à face avec sa propre mortalité, celle que Zeus ne manquera pas de lui rendre. Jusqu'à un combat contre Thanatos lui-même, qui se solde par une véritable défaite. Sublime conclusion pour un récit essentiel à l'appréhension de la noirceur qui ronge ce passionnant héros.

 

 

4. God of War : Ragnarök

Pourquoi Kratos ne perd pas le nord ? Père et fils tentent tant bien que mal de vivre dans leur coin, mais leurs batailles passées vont évidemment les rattraper. Outre les attaques incessantes (et franchement inoffensives) de Freya, ils reçoivent une visite moyennement courtoise de Odin et de Thor. Pas le choix, il va falloir se préparer au Ragnarök.

Pourquoi c'est une fin parfaite (pour le moment) ? Difficile de classer cet ultime opus. D'une part, il ne bénéficie pas de l'effet de surprise de l'opus de 2018, qui renouvelait complètement la formule traditionnelle pour mieux la travestir. D'autre part, il sublime toutes les pistes thématiques et émotionnelles qu'il effleurait à peine, en rejouant les enjeux de toute la saga, avec comme antagoniste l'impossibilité du héros de s'émanciper de son carcan. D'une part, il est splendide et parfois extrêmement touchant. D'autre part, son scénario impose une linéarité et des baisses de rythme qui en ont agacé plus d'un.

 

God of War : Ragnarök : photoUn combat épique qui met directement dans le bain

 

Toujours est-il qu'il fallait autant d'audace que de talent pour clore un tel deuxième arc sans se répéter et changer à ce point la personnalité de Kratos, au nez et à la barbe de ceux qui ne voyaient en la licence qu'un sommet de bourinnerie. En prenant comme sujet cette peur du mimétisme, des trajectoires toutes tracées, Santa Monica réutilise la mythologie à son avantage une fois de plus, commentant cette fois sa propre approche. Passionnant.

Pas au point de justifier l'avalanche de critiques dithyrambiques qui ont déferlé à sa sortie, rétorqueront ses détracteurs. Chez nous, rien que la BO magistrale de Bear McCreary, la dernière partie de l'aventure, ses boss et ces foutues poussières dans les yeux méritent de tenter l'expérience. Le Fantôme de Sparte a complètement changé. Et c'est ça qui est beau.

 

God of War : Ragnarök : photoOld Man Kratos

 

3. GOD OF WAR

Pourquoi c'est la première crise de nerfs de Kratos ? Alors qu'il est un chef de guerre victorieux au service d'Arès, Kratos n'apprécie pas vraiment que le Dieu de la Guerre l'ait amené à tuer dans une rage meurtrière sa femme et sa fille (logique...). Du coup, quoi de mieux que de se lancer en quête de la boîte de Pandore pour se venger ?

Pourquoi c'est un point de départ mythique ? Par sa nature de premier volet d'une saga à succès, il est aisé de dire aujourd'hui que God of War a bouleversé le beat'em up des années 2000, avant que Batman ne vienne passer par là. Si ses suites ont su aller toujours plus loin dans le spectaculaire, les premières aventures de Kratos se démarquent par leur épure. Sec, brutal et sans concessions, le jeu enchaîne avec un plaisir communicatif ses idées de génie, comme ce combat contre les sirènes où il faut se repérer au son.

 

God of War : photoCe n'est pas le moment de perdre la tête

 

Mais surtout, God of War passe sa seconde moitié dans le Temple de Pandore, sanctuaire bourré de pièges et de défis en tous genres, dont la simplicité apparente cache en réalité les questions les plus passionnantes de la saga. En plus de proposer un level design inventif, les développeurs de Santa Monica assument une mise en abyme de leur condition de créateurs par le spectre de l'architecte des lieux, démiurge sommé par les dieux de bâtir le temple avant de sombrer dans la folie.

Mine de rien, cette belle idée porte en elle toute la réflexion sur la place de la transposition de la mythologie grecque dans le dixième art : les Dieux sont des joueurs, des icônes à notre image qui ne font que refléter notre propre soif de violence, celle à laquelle Kratos va se laisser aller. Bien avant que des jeux comme Darksiders et Bayonetta ne viennent interroger par le médium l'immuabilité des dogmes religieux, God of War amenait déjà son héros à briser ses chaînes d'esclave, pour mieux écrire dans le sang sa propre histoire, jusqu'à un combat final culte. Tout simplement incontournable !

 

 

2. GOD OF WAR (2018)

Pourquoi c'est celui où Kratos est plus calme (au début) ? Après avoir annihilé la cosmogonie grecque, Kratos évolue désormais dans la mythologie nordique, aux côtés de son "Boy" Atreus. Mais la barbe de papa de notre héros n'a pas soudainement fait de lui un Bisounours pour autant.

Pourquoi c'est le renouveau idéal ? Avec son introduction calme, où un père et son fils partent à la chasse, le retour de God of War n'a eu besoin que d'une poignée de minutes pour faire comprendre qu'il allait drastiquement s'éloigner de la première trilogie. Entre un gameplay plus ardu à la Dark Souls et des éléments de RPG accrus, la franchise est entrée dans une nouvelle ère, et ce avec une réussite fracassante.

 

God of War : PhotoUn jeu qu'il est beau et chatoyant

 

Cela tient sans doute à l'ampleur de l'univers qu'il investit. Si la relation entre Kratos et Atreus s'impose comme le cœur du récit, la caméra se montre plus proche des corps, quitte à se reposer sur un hors-champ exaltant. La filiation et sa dimension tragique ont toujours été au centre de la franchise, mais cette fois, nous voilà de l'autre côté de la barrière, avec un père tentant de canaliser un enfant voué à de grandes choses. Plus petits que jamais dans cette immensité nihiliste, les personnages de God of War sont progressivement ramenés au souffle épique de la saga via la malice d'un plan-séquence illusoire, tour de force technique qui souligne à merveille l'expansion de son monde.

En connectant les Royaumes de la mythologie nordique par un simple portail, ce God of War sauce 2018 relie les espaces et les divers pans de son imaginaire avec une fluidité déconcertante. Cette technique irréprochable n'en fait pas seulement l'un des bijoux graphiques de la PlayStation 4, mais aussi une proposition vidéoludique hors-norme. 

 

 

1. GOD OF WAR III

Pourquoi Kratos se transforme en génocidaire ? Suite au cliffhanger titanesque (c'est le cas de le dire) de God of War 2, Kratos est bien décidé à monter sur l'Olympe pour mettre une rouste à tous les dieux, et en particulier à Zeus.

Pourquoi c'est le summum du spectaculaire ? A-t-on jamais fait plus épique que God of War III ? On serait tenté de répondre par la négative, tant la PS3 a trouvé à travers la fin de la trilogie son chef-d’œuvre absolu, justifiant presque à lui seul le passage à la HD. Les développeurs de Santa Monica ne se sont donné aucune limite, repoussant les frontières du spectaculaire pour mieux offrir à leur final des thèmes radicaux.

 

God of War III : photoL'une des scènes les plus épiques du jeu vidéo ?

 

En annihilant progressivement les Dieux de l'Olympe, Kratos en vient à lâcher sur la Grèce des catastrophes naturelles. L'idée est on ne peut plus belle : en effaçant toute une mythologie, le Spartiate en vient à emporter dans sa chute la civilisation qui y est rattachée. La fin du monde s'impose par une fin de l'Histoire, et la quête de vengeance de Kratos ne se soucie d'aucune considération morale. Diablement libre et libertaire, God of War III est une œuvre de tous les excès, nihiliste au point où chacune de ses brillantes idées de gameplay en viennent à sublimer sa barbarie.

 

 

Difficile pour cela d'oublier cette entrée en matière orgasmique contre Poséidon, où la gestion de la caméra semble défier en permanence une échelle de cadre improbable, avant de prendre temporairement le point de vue du dieu déchu, jusqu'à une énucléation orchestrée par une pression jouissive des joysticks.

On pourrait longuement s'attarder sur le combat épique contre Cronos, ou le jeu des perspectives dans le labyrinthe d'Héra, mais ça nous donne juste envie de nous replonger dans ce chef-d’œuvre absolument immortel, dont la variété des séquences n'a d'égal que le brio de leur exécution.

Tout savoir sur God of War

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commentaires
Aristothomiste
03/12/2022 à 01:55

Pour moi, Ragnarök loin devant les autres.

BNK
26/11/2022 à 16:44

Attention petite erreur à la fin:
"On pourrait longuement s'attarder sur le combat épique contre Atlas"

Il ne s'agit pas d'Atlas mais de Chronos !

Sinon je me pensais incollable sur la saga mais je découvre grâce à vous le jeu mobile: merci bien !

Mon classement perso, sachant que je n'ai pas encore fait Ragnarok

7) Ascension
6) Chains of Olympus
5) God of War
4) Ghost of Sparta
3) God of War III
2) God of War 2018
1) God of War II

Mick
16/01/2022 à 17:05

Nostalgie et alzheimer, c'est souvent lié....je voulais faire référence au 3 et non au 2,.

Mick
16/01/2022 à 16:58

Le 1 et le 2 sans hésitation...les vrais savent ^^

Découvert la licence avec le 2 et l'ascension avec Gaïa donne une gigantesque baffe dans la tronche et donne le ton, du priapisme durant tout l'opus. Puis enchainé avec le 1, le tout entrecoupé de quelques parties en club avec fifa et entre deux mmorpg. C'était mon âge d'or du jeu vidéo...nostalgie.^^

yohan
16/01/2022 à 12:30

GOW 3 ,la démo et les 10 1res mn étaient hallucinantes. quel titre !!

Eco4
16/01/2022 à 12:09

Chouette un top !
Je ne les ai pas tous fait mais je suis un grand fan de la saga principale :

1. God of War (original)
2. God of War II
3. God of War (2018)
4. God of War III
5. God of War Ascension

Chris11
16/01/2022 à 11:47

Classement logique, sauf le dernier GOW de 2018 que je mets à dernière place directement, quand bien même on aurait un GOW version pacman en 8 bits. Je ne peux que regretter que cette franchise qui assumait jusque là son aspect sublime et bourrin, se soit conformée à l'harmonisation globale des jeux vidéos d'action qui veut voir son arbre de compétence, son pseudo scénario justificateur (là où les précédents faisaient le minimum syndical qui était parfait), le gosse dont j'ai rien à f***** et que j'aurais buté moi meme en premier si le jeu m'en avait laissé la possibilité, bref des éléments mixeurs qui font qu'aujourd'hui les jeux perdent leurs spécificités et que la différence entre un Tomb Raider, un Gow ou un Assassins Creed est aussi fine qu'une feuille de papier. GOW 3 restera mon dernier de la série.