Jennifer Lawrence, nue et avec un serpent sur la sulfureuse couverture de Vanity Fair

Jacques-Henry Poucave | 6 février 2015
Jacques-Henry Poucave | 6 février 2015

Jennifer Lawrence est de retour et de retour toute nue. Sauf que cette fois personne ne lui a volé les photos, ni ne s’est immiscé dans son intimité, puisqu’il s’agit d’un shooting de Vanity Fair. Et c’est bien mieux comme ça.

A bien y réfléchir, la situation actuelle de Jennifer Lawrence témoigne d’un fondamental changement de moeurs hollywoodiennes. Jusqu’à très récemment, quels qu’aient été les modes de vies des stars, tout scandale relevant de la sphère privée liée à la sexualité ou à l’usage de drogue était immédiatement synonyme de fin de carrière.

On ne compte plus les victimes du mode de vie hollywoodien et/ou de l’hypocrisie du système. Frances farmer, Marie Prevost, Lupe Velez, Pee Wee Herman, ou Hugh Grant, nudité, sexe ou indécence flinguaient instantanément jusqu’aux plus grandes stars.

Mais, traînée dans la boue, exposée dans son intimité la plus absolue, Jennifer Lawrence est toujours debout. Et ni la presse ni les ligues de vertu n'osent désormais l'attaquer frontalement. peut-être Kristen Stewart aura-t-elle été la dernière comédienne à souffrir d'une chape morale présente depuis les débuts de ce qu'on appelait alors Hollywoodland. Les temps ont changé et notre regard aussi.

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commentaires
Ded
07/02/2015 à 22:17

Le moins que l'on puisse dire... c'est qu'elle n'a rien d'un py-thon !!!