James Franco, ou l'art délicat de la sex-tape
Nicole Kidman discute paisiblement de la difficulté d'insuffler de la vie dans un baiser de cinéma parfaitement chorégraphié et dénué de spontanéité, jusqu'à ce que James intervienne pour abonder dans son sens. « Comme le sait quiconque à déjà réalisé une sex-tape à la maison, le plus sympa à faire n'est pas toujours le plus sympa à regarder ». Et il en sait quelque chose le bougre. « Je me rappelle l'avoir fait quand j'avais 19 ans, puis l'avoir regardé et m'être dit : mon Dieu, c'est horrible ! »
Et de conclure, impérial : « Alors oui, il y a de quoi respecter ces acteurs dans la pornographie. Ils ne se contentent pas de le faire, ils le vendent carrément. » Si James songe à un changement de carrière, qu'il sache que nous le soutenons.