Venise 2010 en direct
Photos jour 2 : les Italiens ont plus d'une bombe dans leur sac !
Photos jour 3 : Sofia Coppola, John Woo et le déluge !
Photos jour 4 : une Potiche, une Woman et les Pécha Girls !
Photos jour 5 : une "journée de merde"... avec 100 photos !
Photos jour 6 : Tarantino, Casey Affleck, des décolletés
Photos jour 7 : Joaquin Phoenix ? Non, Clive Owen, Jeremy Renner...
LES FILMS
Laurent Pécha
Laurent Pécha
Une quasi première heure qui frise la cata puis le récit se simplifie et l’action prend enfin le dessus pour un final enlevé. Et techniquement, le film est plus d’une fois impressionnant.
A better tomorrow de Song Hae-sung
Laurent Pécha
Parrainé par John Woo en personne (producteur exécutif du film), ce remake coréen du Syndicat du crime rend un bel hommage à son modèle après un premier gros tiers de tâtonnements. Reste que la pertinence du projet demeure suspecte.
Le dernier voyage de Tanya d'Aleksei Fedorchenko
La rédaction
75 minutes qui en paraissent le double…Beau et austère comme du vrai cinéma russe.
Somewhere de Sofia Coppola
Laurent Pécha
Le boss chez les Coppola, c’est Francis…Avec Somewhere, Sofia a un sacré Tetro de retard !
Potiche de François Ozon
Laurent Pécha
Encore un casting 4 étoiles pour Ozon après celui de 8 femmes…mais cette fois-ci, le cinéaste s’en sort nettement mieux. Deneuve est impériale !
Meek's cutoff de Kelly Reichardt
Laurent Pécha
Malick en nul !
The Child's eye des frères Pang
Laurent Pécha
Les Pang Brothers redéfinissent le mot nullité… et en 3D toute pourrie en plus.
Essential Killing de Jerzy Skolimowski
Laurent Pécha
Vincent Gallo joue au "First blood"...On préfère Stallone et de loin !
Detective Dee and the Mystery of the Phantom Flame de Tsui Hark
Laurent Pécha
Le retour en très grande forme de Tsui Hark. Son détective Dee, c’est Le Nom de la Rose à la sauce HK avec un paquet de plans et de combats visuellement splendides.
Promises written in the water de Vincent Gallo
Laurent Pécha
Gallo en super mégalo...une formule qui fascine toujours autant surtout qu'ici, l'acteur-réalisateur-scénariste-musicien-monteur-producteur (ouf) rend la chose particulièrement abstraite. Sacré personnage !
I'm still here - the lost year of Joaquin Phoenix de Casey Affleck
Laurent Pécha
On va évacuer la théorie du faux doc (et même si c’était cela, ce serait peut être même encore plus fort). I’m still here est une œuvre aussi fascinante que poignante dans les méandres d’un artiste en perdition.
Balada triste de trompeta d'Alex de la Igelsia
Laurent Pécha
Fidèle à la carrière du cinéaste : une énergie et générosité débordantes pas assez bien canalisées. Résultat, c’est un peu trop l’auberge espagnole.
Noi credevamo de Mario Martone
Laurent Pécha
Si cet insipide téléfilm affreusement bavard et absolument pas mise en scène (soit 204 minutes en enfer) remporte le Lion d'Or, la Mostra perdra toute crédibilité. Déjà qu'oser le mettre en compétition...
Attenberg d'Athina Rachel Tsangari
Laurent Pécha
Une œuvre à l'équilibre émotionnel rare portée par l'interprétation magnifique de Ariane Labed, dont c'est le premier film.
Venus noire d'Abellatif Kechiche
Laurent Pécha
Tout ce qui fonctionnait à merveille dans La Graine et le mulet, ne passe pas dans Vénus noire. Il y a juste une heure en trop. Une sacré déception !
Zebraman 2 de Takashi Miike
Laurent Pécha
Miike est fou… Zebraman 2 en apporte la preuve… Pour amateurs très, très initiés.
The Town de Ben Affleck
Laurent Pécha
Le Heat du pauvre !
Cold fish de Sono Sion
Laurent Pécha
Savourez le début tranquille de Cold Fish... ça ne va pas durer et Sion vous réserve une dernière demi-heure d'anthologie.
13 Assassins de Takashi Miike
Laurent Pécha
Miike rend un fabuleux hommage au film de sabre japonais à l’image d’un affrontement final de… 50 minutes !
Drei de Tom Tykwer
Laurent Pécha
L'amour à trois vu par le réal de Cours, Lola, cours. Sympa et plus audacieux que certains films français dans le domaine.
La solitudine dei numeri primi de Saverio Costanzo
Laurent Pécha
Une histoire d'amour mise en scène de façon baroque. Oui, le cinéma italien peut encore nous surprendre !
Road to nowhere de Monte Hellman
La critique complète
Laurent Pécha
Un titre totalement prophétique. Le retour de Monte Hellman ressemble à une version complètement ratée de Mulholland Drive.