Transformers 7 : Rise of the Beasts – saga morte ou ressuscitée ?

La Rédaction | 8 juin 2023
La Rédaction | 8 juin 2023

Transformers : Rise of the Beasts essaie de ressusciter la saga des robots-jouets. Mais qu'est-ce que ça raconte d'Hollywood et de sa gestion des franchises ?

A Ecran Large, chacun a ses déviances, et pour Antoine, c’est la saga Transformers. En plus de défendre les films de Michael Bay (oui oui), il assume son amour pour la globalité de la licence des robots-voitures. Forcément, il attendait comme un enfant Transformers : Rise of the Beasts, le nouveau volet de la franchise, qui entérine le reboot entamé par Bumblebee.

 

 

Force est de constater que sans Michael Bay aux manettes, les jouets d’Hasbro perdent de leur superbe et de leur intérêt. Pour autant, le long-métrage de Steven Caple Jr. est loin d’être inintéressant, et oscille entre une naïveté bienvenue et les contraintes d’un cahier des charges étrange, désespéré de s'accrocher à sa marque. Moins qu'une critique, Antoine revient en vidéo sur le poids de la franchise et sur sa place dans un paysage saturé de blockbusters. Que peut-on encore attendre de Transformers au cinéma ? Sinon, vous pouvez retrouver sa critique écrite pleine de bienveillance.

Tout savoir sur Transformers: Rise of the Beasts

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commentaires
Ghob_
09/06/2023 à 08:20

Non Antoine, tu n'es pas seul : moi aussi j'adore à la fois le Bayhem-style et la saga Transformers, même si ce n'est pas forcément un indicateur de "bon goût" , ahah ! :)
Mais j'assume !

Concernant ce Rise of the Beasts, j'avoue que même si une partie de moi est curieuse de découvrir ce nouvel opus, les diverses images et bande-annonces ne m'ont pas plus hypé que ça et oui, l'absence de Bay se fait cruellement ressentir, même sur la courte durée d'une B.A. ou d'un teaser. Le rendu des Autobots a l'air beaucoup moins riche et détaillé que dans les 5 premiers et le design des nouveaux venus pas plus excitant que ça (alors que le "casting" du 3e, par exemple, était juste parfait et proposait un panel de textures, de formes et de "personnalités" des plus réjouissants).
Bref, j'irais peut-être le voir, encore une fois par curiosité, mais sinon tant pis j'attendrais son arrivée sur les plates-formes et on verra bien à ce moment-là...

P.S: Vu Bumblebee récemment, sympathique mais pas inoubliable, même si la volonté d'amener des enjeux plus "intimes" et humains est louable. Haylee Seinfield y est top, par contre et participe beaucoup à la réussite, certes modeste du film, mais bien réelle, pour peu qu'on ne soit pas allergique à la bonne vieille tambouille Amblin (mais encore une fois, rien à voir avec les opus de Bay, en terme de mise en scène ou de dynamique en général... d'ailleurs, j'aurais adoré voir l'intro de celui-ci dirigé par le concasseur de tôles/artificier en chef, ça aurait forcément eu une toute autre gueule).