Les nouveautés films et séries à voir sur Netflix du 10 au 16 février

La Rédaction | 10 février 2023 - MAJ : 10/02/2023 21:02
La Rédaction | 10 février 2023 - MAJ : 10/02/2023 21:02

Netflix balance nombre de films et séries dans son catalogue chaque semaine, sans qu'on les remarque ou que la plateforme ne l'annonce officiellement. Ecran Large revient sur les nouveautés ajoutées par Netflix du 10 février au 16 février 2023, films et séries confondus dans une liste non exhaustive.

Quels sont les films et les séries à ne pas manquer ce week-end sur la plateforme de streaming ?

 

trilogie Jurassic Park + Jurassic World

Disponible à partir du 16 février - Durée : Jurassic Park - 2h02/ Le Monde perdu : Jurassic Park - 2h09 / Jurassic Park III - 1h32 / Jurassic World - 2h05

 

Jurassic World : Photo Chris Pratt, Bryce Dallas HowardAu loin, la dignité abandonnée sur la route

 

Ça parle de quoi ? Un scientifique génial parvient à recréer les dinosaures avec l'aide de manipulations génétiques et les rassemble dans un immense parc d’attractions. Les ennuis commencent.

Pourquoi il faut les regarder ? Parce que si comme toute personne de bon sens vous aimez les dinosaures, il est encore temps de découvrir (ou redécouvrir) la saga initiée par Steven Spielberg. Sorti en 1993, le premier est devenu un monstre sacré du cinéma avec son T-Rex sous la pluie, sublimé par les animatroniques de l’incroyable Stan Winston. Et si les vélociraptors deviennent les monstres d’un véritable film d’horreur dans une jungle préhistorique, l’exploit de Spielberg est la transmission d’un émerveillement d’enfant pour ses créatures, qui en fait encore aujourd’hui la référence en matière de dinosaures.

Netflix ajoute également à son catalogue le reste de la trilogie Jurassic Park, ainsi que le premier opus de la trilogie Jurassic World, qui se déroule des décennies après. Et si la magie du premier volet n’est jamais atteinte dans ces suites, le spectacle est toujours au rendez-vous. Du T-Rex dans les rues de San Francisco façon Godzilla du Monde Perdu à l’Indominus génétiquement modifié de Jurassic World, en passant par le Spinosaure iconique de Jurassic Park 3, on ne s’ennuie jamais à suivre la grande saga de dinosaures qui a marqué une génération de geeks piqués au reptile géant.

 

Mission : Impossible - Fallout

Disponible à partir du 14 février - Durée : 2h28

 

Mission : Impossible - Fallout : photo, Henry Cavill"Je vais tout casseeeeeeeeeeeeeeeeeeer, siiiiiii vous toucheeeeeeeez aux poils de ma moustache..."

 

Ça parle de quoi ? Ethan Hunt et son équipe se lancent à la recherche d’armes atomiques dérobées. Surveillés de près par leur hiérarchie, ils se retrouvent confrontés à un vieil ennemi. Le compte à rebours est lancé.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce qu’au rayon film d’action spectaculaire, on ne fait pas beaucoup mieux que la franchise portée par Tom Cruise. Et ce sixième film de la saga constitue une sorte de best-of de tout ce qui marche dans Mission : Impossible, avec un casting encore une fois superbe et un goût pour le spectacle prononcé poussé cette fois à son paroxysme. La scène de course-poursuite dans Paris est ainsi un modèle du genre, menée à un rythme dingue et avec une précision assez bluffante (et on ne boude pas notre plaisir à voir notre espion préféré se balader dans les rues de la capitale).

Alors que le septième volet de la saga, Dead Reckoning, est prévu pour une sortie le 12 juillet 2023, ce Mission : Impossible - Fallout pose les bases de cette conclusion en deux parties qui s’annonce épique. Mais il reprend également des éléments de Protocole fantôme et Rogue Nation, les trois films formant ainsi un triptyque intéressant au cœur même de la série. On prend ainsi un vrai plaisir à retrouver le méchant de Rogue Nation, joué par Sean Harris, mais aussi la féroce Rebecca Ferguson, qui s’intègre une nouvelle fois sans mal aux personnages historiques. Spectaculaire, sombre et même touchant, Fallout est sans aucun doute l’un des meilleurs films de la franchise.

Notre critique de Mission : Impossible - Fallout

 

Black Christmas

Disponible à partir du 10 février - Durée : 1h26

 

Black Christmas : photo, Aleyse ShannonQuand le film t'embarque de force pour que tu joues dedans

 

Ça parle de quoi ? Durant les vacances de Noël, plusieurs membres d’une confrérie féminine d’un campus universitaire deviennent les cibles d’un tueur en série.

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que le regarder est potentiellement la porte d’entrée parfaite pour voir le bien meilleur film original de Bob Clark de 1974. Il faut dire que Black Christmas a très peu d’arguments pour lui. Parmi ses maigres atouts, on dénombre Imogen Poots, un superbe clin d’oeil à L'Exorciste : La suite et les musiques de Will et Brooke Blair qui s’inspirent des compositions de Carpenter pour Halloween avec des sonorités et des ambiances qui sentent bon les périodes de Noël. 

Parce qu’on ne va pas se mentir, du reste, c’est un slasher bas de gamme au propos féministe gros comme un camion. Le plus triste est encore que ce soit une proposition plutôt timide en hémoglobine donc aucun plaisir régressif n’est à ressortir de l’entreprise, mais cette démarche soulagera les âmes les plus sensibles.  

Notre critique de Black Christmas

 

Red Rose

Disponible à partir du 15 février- Durée : 8 épisodes de 60 minutes environ

 

 

 

Ça parle de quoi ? Des étudiants britanniques téléchargent l’étrange application Red Rose. Invités à relever des défis dangereux, ils prennent de plus en plus de risques.

Pourquoi il faut la regarder ? Si vous êtes avides des séries horrifiques centrées sur les adolescents, vous pourrez être attirés par Red Rose. Eh oui, il n’y a pas que The Midnight Club ou les œuvres sud-coréennes qui sont capables d’effrayer les lycéens de tout poil, la preuve en est avec Red Rose fruit de l’imagination britannique et plus particulièrement de Paul et Michael Clarkson (qui ont officié à l’écriture d’un épisode de La Roue du Temps).

Derrière Red Rose, on retrouve les producteurs de Sex Education qui changent ici de genre, mais pas de cible. En mélangeant fantômes, jeunes étudiants écervelés, application étrange et défis à la Squid Game du pauvre, Red Rose semble proposer un cocktail suffisamment étonnant pour désirer y goûter. 

 

Re/Member

Disponible à partir du 14 février - Durée : 1h42 

 

 

Ça parle de quoi ? Piégés dans une bulle temporelle, six lycéens se mettent à la recherche des restes dispersés d’une victime pour tenter de lever la malédiction.

Pourquoi il faut le regarder ? Vous avez aimé Alice In Borderland et Erased ? Place à la nouvelle production tirée d’un manga japonais. Encore une fois, il s’agit d’une proposition orientée thriller/fantastique et ça, la plateforme en a proposé des tonnes notamment avec des titres coréens tels que Signal, Awaken et Au-delà du mal. Seulement, on a souvent le droit à un format sériel pour ces oeuvres, voilà pourquoi Re/Member se démarque en étant un film.

Et le catalogue sait y faire avec les productions de ce genre. On s’attend donc logiquement à être emporté par un concept malin (à savoir cette boucle temporelle, déjà vue avec Edge of Tomorrow, Source Code), mais sauce horreur donc dans le genre Triangle et Happy Birthdead, mais en enchainant les scènes horrifiques, d’action et de tension

 

Toi chez moi et vice versa

Disponible à partir du 10 février - Durée : 1h49 

  

 

Ça parle de quoi ? Debbie et Peter décident d'échanger leur maison pour une semaine. Ils découvrent alors l'autre sous un autre jour...

Pourquoi il faut le regarder ? Parce que c’est bientôt la Saint-Valentin et que regarder une petite comédie romantique sans prétention pour l’occasion, cela ne se refuse pas. Contrairement à The Holiday, les protagonistes de Toi chez moi et vice versa se connaissent sur le bout des ongles avant d’échanger leurs logements.

Et il est vrai que le pitch de base, redécouvrir l’autre par la fenêtre de son intimité peut séduire sur le papier. En outre, vous aurez le plaisir (si si) de revoir monsieur comédie romantique Ashton Kutcher (qui a oublié Happy New Year ou Valentine’s Day ?) aux côtés cette fois-ci de la pétillante Reese Witherspoon. D’énormes atouts, n’est-ce pas pour s’offrir ce petit plaisir coupable ?

Notre critique de Toi chez moi et vice versa

 

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