Black Water : Abyss - une bande-annonce en mode The Descent avec des crocodiles

Le nouveau film d'horreur spéléologique dévoile une nouvelle bande-annonce très sombre. Les crocos sont de sortie, et ils ont les crocs !!

Après The Reef et Black water, le réalisateur australien Andrew Traucki revient avec un nouveau thriller effrayant. Au programme : un groupe d'imprudents explorateurs, beaucoup beaucoup d'eau, et d'énormes crocodiles tueurs à la dentition acérée.

Black Water : Abyss est la suite de Black Water et son histoire suivra un groupe d'apprentis spéléologues qui s'enfoncent dans une mystérieuse grotte perdue dans la forêt australienne. Lorsqu'une tempête arrive, le niveau de l'eau monte dans la cavité et le groupe se retrouve pris au piège. Ils doivent alors trouver un moyen de s'échapper sans se retrouver nez à nez avec un des crocodiles tueurs qui peuplent la grotte.

Dans le rôle des aventuriers piégés, ont été choisis Jessica McNamee (aperçue dans Je te promets et En eaux troubles), Amali Golden, Benjamin Hoetjes (vu dans le spin-off du film Mystery Road) ainsi que Luke Mitchell qui jouait Lincoln Campbell dans la série Marvel : Les Agents du S.H.I.E.L.D.

Le scénario rappelle beaucoup l'idée de départ de The Descent, une virée entre copines qui tourne plus à la boucherie qu'à la comédie hollywoodienne. Le film de Neil Marshall (dont vous pouvez retrouver notre critique juste ici), ressemble en effet beaucoup moins à Mes meilleures amies qu'à un Tomb Raider sanglant où un groupe de Lara Croft se vengent à coup de pieux. Côté antagonistes cependant : fini les humanoïdes hideux, place aux horribles reptiles... Lake Placid n'a qu'à bien se tenir !

On ne sait pas encore si le résultat sera aussi réussi que son modèle, mais il faut dire que le coup des crocodiles intrigue au moins autant qu'il exaspère. La sortie américaine est prévue pour le 7 août prochain, mais pour l'instant aucune date de sortie française n'est prévue. Si vous êtes en manque de croco et de tempêtes, vous pouvez aussi vous jetez sur Crawl, notre critique.