S’il na pas encore dévoilé grand chose de son contenu, le Predator de Sane Black est un des projets à venir les plus excitants.
Scénariste considéré à raison comme le pape du buddy movie, Shane Black a ciselé à lui seul quelques unes des plus belles heures de ce sous-genre (Le Dernier samaritain, L’Arme fatale) volontiers méprisé, avant de lui offrir une sorte de méta-conclusion euphorisante ( Kiss Kiss, Bang Bang). Devenu réalisateur, il a récemment signé l’excellent The Nice Guys, avant de se voir proposer un nouvel épisode de la franchise Predator.
Après un deuxième épisode progressivement réévalué (mais tout de même très loin des fulgurances du premier film signé John McTiernan), une hybridation embarrassante avec les Xénonomorphes d’Alien vs Predator, puis un Predators aussi superficiel que neuneu, le chasseur de l’espace avait bien besoin d’un coup défibrillateur filmique.
Et on se réjouit plutôt que le projet arrive entre les mains de Shane Black, grand cinéphile devant l’éternel, spécialiste du tempo et de la construction scénaristique affûtée, qui jouait déjà dans le chapitre original. The Predator achève actuellement ses reshoots, en vue d’une sortie en septembre prochain sur le territoire américain et son metteur en scène vient tout juste de publier une image qui ravira les fans.
On y découvre une végétation dense, un rien inquiétante, légendée comme suit : « Chutttt… Il arrive ! » Voilà qui évoque bien sûr la jungle du long-métrage réalisé par John McTiernan, à la différence qu’il ne s’agit en réalité pas d’un décor situé en Amérique du Sud, mais bien d’un microcosme nord-américain, puisque The Predator se déroulera dans une banlieue américaine, dont les habitants réalisent qu’ils sont pris en chasse par un Ugly Motherfucker.
Shhhh…. He’s coming. pic.twitter.com/iaQty5wy3Y
— Shane Black (@BonafideBlack) 30 mars 2018
Pffff…. que dire ….. Bien-sur qu’il y a déjà des incohérences avec cette photos et ce qu’on connais du mode de vie des « Predators » …. environnement chaud, attiré par la guerre et la violence…
Pour le coup je vois mal un Predator attiré par un environnement qui ressemble à l’Oregon… et c’est quoi qui va l’attiré une bande de gamins qui construis un barrage ou une cabane dans les bois? …Je suis un fan de Predator depuis la première heure …. attiré seulement par les 2 premiers …
… ils ont déja assez fait de mal avec la franchise …. les fans attendent juste une chose un film qui se passerais sur la planéte des Predators pour ne savoir sur leur mode vies…. les fans veulent ca ! … et pour l’equipe de la FX reprenait Stan Winston studio … avec un bon John Rosengrant qui nous concocterait une belle tuerie au niveau des costumes design !!!!
Shane ta pas le droit a l’erreur. La hype est tros present
Très bon exemples pour les deux films cités, mais je rajouterais qu’un décor, aussi bien utilisé soit til, n’est finalement qu’un « accessoire » aus service d’une bonne histoire et de bons personnages, il faut lier le tout et lui donner une âme, trop de cinéastes ont tendance à l’oublier.
@caribou
Ce n’est pas le décor qui est important, c’est ce que tu en fais qui l’est. Combien de films se sont ramassés alors que les décors étaient sous éclairés et souvent accompagnés d’une bande-son oppressante pour qu’au final, tu as plus peur de laver tes chaussettes que de mater le film. Quand certains réalisateurs expliquent que le décor est un personnage à part entier, ils sont dans le vrai. Shining et Apocalypto pour moi sont deux bons exemples.
Vrai que le coup du gosse me fait penser au petit dans mimic qui se fait bouffer par la bestiole. La phrase « drôle drôle de chaussures » est à jamais gravée dans ma tête à cause de ça… Chercher pas bien loin, c’est juste un parallèle stupide de ma part entre deux gosses qui découvrent un truc sur un monstre ????
Une photo inquiétante ?? Tu m’étonnes ! C’est juste le même décor que quand je vais aux champignons. En fait ce qui est inquiétant c’est ce tocar de Shane Black et son pitch , ça ca fait peur, (Attention spoiler) ou un enfant de 10 ans déchiffre le language prédator. Sérieux. Le prix nobel du scénario. Pour le coup , oui ça fait peur. Sauf a Ecranlarge qui a décidé depuis longtemps que le film serait bon.
Qu’est ce qui fait chaud 😀
Le deux demeure une péloche très attachante, bonne mise en scène d’hopkins qui signe là l’un de ses meilleurs films (avec lombre et la proie), excellent cast (glover, paxton (rip), ruben blades, cette trogne de gary busey, maria conchita alonso, robert davi, adam baldwin), et arrive à trouver une identité qui lui est propre!
Très loin devant les avp et predators!
Je me souviens n’avoir pas pu m’empêcher de regarder en haut des immeubles en sortant de la projection de Predator 2.
Shane Black n’a rien à voir avec 48 heures, faudrait voir à faire quelques recherches avant d’écrire et de publier.