The Amazing Spider-Man : les films méritent-ils leur mauvaise réputation d'un point de vue comics ?

mdata | 14 avril 2017 - MAJ : 09/03/2021 15:58
mdata | 14 avril 2017 - MAJ : 09/03/2021 15:58

Adaptation fidèle ou trahison : le crashtest Ecran Large se penche sur le cas de Spider-Man, dans sa version Amazing.

Après la trilogie de Sam Raimi et avant Spider-Man : Homecoming dans la galaxie MCU, Spider-Man était déjà revenu. Pas avec Tobey Maguire et le réalisateur d'Evil Dead, puisque leur quatrième épisode a été abandonné et l'équipe remerciée en 2010, mais avec de nouveaux visages : Andrew GarfieldEmma Stone et le réalisateur Marc Webb.

Spider-Man est ainsi devenu The Amazing Spider-Man en 2012, suivi de The Amazing Spider-Man : Le destin d'un héros en 2014. Là encore, la franchise sera tuée, malgré de grandes annonces de suites et spin-off

Alors que l'univers de l'homme-araignée ne cesse de s'étendre avec Venom et prochainement Morbius, la rubrique des crashtests d'Ecran Large revient sur ces deux films à la mauvaise réputation, pour aborder la question de l'adaptation. Des origines du super-héros à ses amours en passant par ses ennemis : suivez le guide.

 

Photo Tobey Maguire Ranger le costume et oublier

 

 

LES ORIGINES

Mordu par une araignée radioactive, le fragile Peter Parker se retrouve doté de pouvoirs faisant de lui une araignée humaine. Après une courte période où il songe à les utiliser pour devenir célèbre, un voleur qu’il laisse filer tue son oncle Ben. Comprenant qu’un "grand pouvoir entraîne de grandes responsabilités", il décide de devenir un super-héros en combattant le crime.

 

Comics Les origines de Spider-ManDes origines bien connues

 

A l’écran, les origines du super-héros sont remaniées. L’accent est mis sur son père Richard Parker et ses recherches, avec notamment l'idée que la métamorphose suite à la morsure de l'araignée génétiquement modifiée ne pouvait se produire qu’avec lui. Ce qui change considérablement la donne : ce n'est plus un accident arrivé totalement par hasard.

Dans The Amazing Spider-Man, Peter est en plus mordu dans les laboratoires Oscorp, où il s'infiltre : on est loin de ses origines sur papier, où il est mordu en assistant à une expérience avec sa classe (Sam Raimi en avait fait une visite dans des laboratoires). Oscorp a d’ailleurs un rôle majeur dans les deux films, puisque quasiment tout ce qui arrive est lié à la société de Norman Osborn.

Concernant l’oncle Ben, on retrouve bien le fait qu’il soit tué parce que Peter a laissé filer son futur assassin, mais cette fois dans un contexte différent (un braquage qui a mal tourné, pas de carrière de catcheur). 

VERDICT : Des altérations subtiles, mais qui changent la donne concernant la naissance de Spider-Man qui ne doit plus grand chose au hasard.

 

 Andrew ultraviolet

 

LES POUVOIRS

Les pouvoirs de Spider-Man version comics sont bien connus : il peut adhérer à n’importe quelle surface, a une force et une agilité surhumaine et un sixième sens (le “sens d’araignée”) qui le prévient de tout danger le menaçant.

A l’écran, les pouvoirs sont représentés fidèlement même si l’accent n’est pas franchement mis sur son sixième sens. Spider-Man version Amazing saute et grimpe partout, avec toujours une très grande force physique. Et contrairement à la version de Sam Raimi, il n’a pas le pouvoir de produire de la toile d’origine organique : il utilise un dispositif créé par Oscorp, qu’il a adapté à ses besoins. C'est plus proche des comics, où il est l'inventeur du fluide arachnéen.

VERDICT : Les pouvoirs de Spider-Man sont fidèlement retranscrits à l’écran.

 

Toujours pas l'inventeur de son fluide ! 

 

L’APPARENCE PHYSIQUE

Dès sa première apparition, Peter Parker a un côté “monsieur tout le monde” : chétif, portant des lunettes dont il pourra se passer une fois doté de ses pouvoirs. Une fois devenu Spider-Man, il garde une silhouette beaucoup plus passe-partout que ses collègues bodybuildés.

 

Comics Spider-ManSpider-Man, musculature discrète mais efficace

 

Sous les traits d’Andrew Garfield, le Peter Parker version ciné ne ressemble pas franchement à son modèle. Le comédien ne correspond pas vraiment à l’idée qu’on se fait du personnage sur le plan physique (le rebelle en skate et à la chevelure imposante, c’est pas trop ça), et surtout on se retrouve avec un comédien trentenaire censé représenter un adolescent. Andrew Garfield a beau faire jeune, on lui donne au minimum une vingtaine d’années… E revanche, côté silhouette on est bien dans les normes de Spider-Man.

VERDICT : Andrew Garfield est un bon comédien, mais trop vieux pour le rôle et ne colle pas vraiment au physique passe partout de Peter Parker.

 

"Puisque je vous dis que je suis un ado !"

 

LA PERSONNALITE

Peter Parker version papier a un côté loser assez prononcé, et ce dès ses débuts. Il a une vie personnelle compliquée, et sa vie de super-héros ne l’est pas moins. Mais il s’agit d’un personnage profondément positif, doté d’un grand courage et d’un sens de la justice exacerbé, sans oublier une tendance à faire le pitre sous son identité costumée.

Dans les films de Marc Webb, Peter Parker est radicalement différent de son modèle de papier. Certes, on retrouve son grand courage qui fait que même surclassé, il n’abandonne jamais. Mais le personnage apparaît presque antipathique : même si son humour et sa légèreté sont présents une fois qu'il est Spider-Man, la gentille poire laisse place à un personnage amer.

 

Peter, moins sympa à l'écran

LE COSTUME 

Le costume de Spider-Man est probablement l’un des uniformes de super-héros les plus connus et iconiques. Son uniforme rouge et bleu, avec ses gros yeux blancs et son motif de toile, est un grand classique.

 

Comics Spider-ManUn costume légendaire

 

Dans le premier film, on retrouve plus ou moins les bases du costume mais en version “remasterisée” : l’effet n’est pas terrible. Cette version fait plutôt déguisement bas de gamme que costume du Tisseur. Le costume est plus ressemblant dans le second film, le tollé des fans ayant été entendu par les studios.

VERDICT : Il aura fallu le deuxième film pour avoir un Spider-Man qui ressemble à Spider-Man.

 

Spider-Man ressemblera à Spider-Man dans le second film

 

L’ENTOURAGE DE PETER PARKER

L’oncle Ben et la Tante May de Peter, qui l’ont élevé, ont une grande importance dans les comics. Le premier, en mourrant, a été le déclic qui a transformé le jeune homme en super héros, tandis que la vieille dame a de son côté toujours été à ses côtés (sauf les quelques fois où elle a été trucidée par un scénariste, avant d'être ramenée sous la plume du suivant).

Dans les deux films, le couple âgé a été un peu rajeuni sous les traits de Martin Sheen et Sally Field. Le premier garde toute la bonhomie inhérente au personnage, tandis que la seconde est une Tante May plus énergique, tout en gardant la dignité qui lui sied sur papier.

 

Oncle Ben et Tante May, les fondamentaux du personnage

 

Le Daily Buggle (le Quotidien en VF) est un élément important de la mythologie de Spider-Man dans les comics. J. Jonah Jameson, tyrannique et odieux patron du journal, et Robbie Robertson, son subordonné plus raisonnable, sont en effet deux personnages qui comptent beaucoup dans la vie de Spider-Man. Dans les deux films, cette partie de la vie de Peter Parker est totalement absente et donc les deux personnages passent à la trappe.

 

Photo 2 J.K. SImmons Trop méchant, puni de film !

 

Les parents de Peter Parker ont connu un destin tragique quand celui-ci était encore enfant, et il a donc été élevé par son oncle et sa tante (Richard Parker est le frère de Ben Parker). Par la suite, on apprendra qu’ils étaient en réalité des agents secrets, tués par de vilains espions communistes (cette histoire date des années 60, en pleine Guerre froide, et Stan Lee a toujours fait preuve d’un anti-communisme assez flagrant dans ses histoires). Une histoire ultérieure racontera leur retour dans la vie de Peter, ou du moins en apparence puisqu'il s’agit de sosies robotiques.

Dans The Amazing Spider-Man et sa suite, Richard et Mary Parker ont une grande importance : ce sont les travaux de Richard qui ont causé leur disparition (Norman Osborn voulait le fruit de ses recherches) et le père est indirectement responsable des pouvoirs de leur fils. Mais il faut reconnaître que la partie “J’ai un labo secret dans une station de métro aménagée façon James Bond” n’est ni crédible, ni satisfaisante...

 

Photo Campbell Scott, Embeth Davidt Photo de famille des Parker avant le drame

 

Le capitaine George Stacy, père de Gwen, est un personnage important de la vie de Peter Parker. Par sa sagesse et sa grande gentillesse, le capitaine Stacy a été un point d’ancrage important pour le jeune homme, et même une figure paternelle. Il connaît une fin tragique au cours d’un combat de Spider-Man contre le Dr Octopus : il est écrasé par des briques en protégeant un enfant, et révèle avec son dernier souffle qu’il connaît le secret de Peter en l’implorant de veiller sur sa fille.

La version cinéma, avec Dennis Leary dans le rôle de George Stacy, fait l’impasse sur la relation privilégiée du personnage avec Peter. Et lorsqu’il finit par mourir à l'écran à cause du Lézard, dans The Amazing Spider-Man, il lui demande de sortir de la vie de sa fille.

 

"Touche pas à ma fille !"

 

Harry Osborn est le meilleur ami de Peter Parker, tout en étant le fils de son pire ennemi : sacré cocktail. Harry a connu bien des déboires, sombrant même dans la drogue et devenant lui aussi le Bouffon vert. Il finit par en mourir mais comme souvent dans les comics, il se porte mieux depuis.

Dans The Amazing Spider-Man 2 : Le destin d'un héros, Harry est incarné par Dane DeHaan et à l’image de Peter Parker, il est nettement moins sympathique que sa version papier : il s’agit plutôt de la caricature du gosse de riche désagréable et prétentieux. A tel point qu'il est difficile de comprendre comment il peut être ami avec Peter (cette amitié est particulièrement parachutée d’ailleurs).

Une fois qu’il est au courant de la condition de son père (et donc de la sienne), il ne recule devant rien pour parvenir à ses fins et devient le Bouffon vert. C’est à cause de lui que Gwen Stacy fait une chute vertigineuse dans le vide : comme sur papier, c'est en essayant de la sauver que Spider-Man la tue.

 

VERDICT : Un entourage allégé, et donc de vraies différentes à ce niveau-là. Harry Osborn est particulièrement mal servi par l’adaptation.

 

Dane DeHaanPuisqu'on vous dit qu'il va mieux ! 

 

LES ENNEMIS

Spider-Man a connu bien des ennemis, qui ont tout tenté pour le neutraliser ou même le tuer. Mais il en sort toujours vainqueur !

 

Comics Les ennemis de Spider-ManBelle brochette de fripouilles !

 

Le Dr Curt Connors est un médecin qui a perdu un bras à la guerre. Il se consacre alors à l’étude des reptiles et élabore un sérum qui est censé faire repousser son membre amputé. Le sérum n’a pas l’effet escompté : il le transforme en créature reptilienne, baptisée le Lézard. Spider-Man réussit à neutraliser les effets du sérum après l’avoir combattu, et à rendre au Dr Connors son humanité. Ce dernier devient un allié du Tisseur, ses connaissances scientifiques l’aidant à plus d’une occasion à défaire ses ennemis ou à se tirer de situations difficiles. Mais le Lézard n’est jamais très loin, le scientifique se transformant régulièrement en son alter-ego reptilien.

 

Comics Le LézardDeux bras mais tout vert ! 

 

Au cinéma, Rhys Ifans incarne le Dr Connors. Il s’agit cette fois d’un scientifique qui a travaillé avec Richard Parker, et qui utilise les données fournies par Peter pour trouver le moyen de régénérer les membres amputés. Oscorp lui mettant la pression pour passer aux tests humains (pour sauver Norman Osborn, gravement malade), Connors teste le sérum sur lui et devient le Lézard. Le reptilien humanoïde se bat contre Spider-Man, qui devine son identité. Connors finit par vouloir transformer toute la population en lézards mais Spider-Man se dresse contre lui et le neutralise une bonne fois pour toutes.

Cette version de Curt Connors est très différente de sa version papier, du fait de son passé commun avec Richard Parker et surtout l’implication d’Oscorp : si on ne l’avait pas pressé, il aurait pris plus de temps pour mettre au point le sérum et ne serait pas devenu le Lézard, considération absente des comics où il s’est mis dans le pétrin tout seul.

 

Photo Rhys Ifans "Quelqu'un connait un bon dermato ?"

 

Norman Osborn est l'un des pires ennemis de Spider-Man. Père de son meilleur ami Harry, Norman est aussi le Bouffon vert et sans lui, Gwen Stacy serait toujours en vie. Tué à l’issue d’un combat contre Spider-Man, il revient à la vie et pourrit très régulièrement la vie du Tisseur.

 

Comics Norman Osborn se démasqueNorman Osborn, alias le Bouffon vert

 

Dans The Amazing Spider-Man et sa suite, Norman Osborn (incarné par Chris Cooper) est surtout présent en coulisses, mais son ombre plane sur les évènements des deux films. Il est gravement malade à cause d’une maladie incurable (et héréditaire), et il met toutes les ressources de sa société en jeu pour trouver un remède. Il finit par mourir des suites de sa maladie dans le second film, même s'il est suggéré que ce n'est pas aussi simple que ça.

Norman Osborn est responsable de la mort des parents de Peter Parker, convoitant les recherches de Richard pour son propre usage.

 

PhotoChris Cooper est Norman Osborn

 

Electro fait partie des ennemis “classiques” de Spider-Man : il ne fait pas partie de ses pires ennemis, mais du noyau dur de ses adversaires que l’on retrouve régulièrement. Max Dillon est un électricien qui se retrouve doté du pouvoir de contrôler l’électricité après avoir été foudroyé tandis qu’il réparait un câble à haute tension. Dillon décide de se lancer dans le crime sous le nom d’Electro et affronte Spider-Man à de nombreuses reprises. Le personnage est montré comme un criminel tout ce qu’il y a d’ordinaire, dans sa mentalité et ses actes.

 

Comics : Electro Il faut reconnaitre qu'à l'écran ça l'aurait pas trop fait...

 

Dans The Amazing Spider-Man 2 : le destin d'un héros, Max Dillon (incarné par Jamie Foxx) devient un fan de Spider-Man quand ce dernier le sauve d’un accident dans la rue. Electrocuté par des anguilles en réparant une installation chez Oscorp, Dillon se voit doté de pouvoirs électriques énormes, bien au-delà de sa version papier. Il en vient à détester Spider-Man, qu’il affronte plusieurs fois, mais finit par être vaincu.

Côté look et personnalité, Electro version ciné est très différent de sa version papier : il est tout bleu et surtout montré comme quelqu’un d’assez simplet. Concernant le look, il ressemble davantage à la version alternative du personnage dans l'univers Ultimate.

 

VERDICT : Des ennemis bien connus de Spider-Man, mais assez différents de leurs versions comics.

 

Grand moment pour Jamie Foxx

 

LES FEMMES DE LA VIE DE SPIDER-MAN

Peter Parker a une vie sentimentale plutôt bien remplie dans les comics : Betty Brant, Mary Jane Watson, Gwen Stacy ou encore la Chatte noire, sans oublier des romances plus éphémères comme Deborah Whitman. Si Gwen Stacy, qui a connu une fin tragique des mains de son ennemi le Bouffon vert, reste la femme de la vie de Peter, Mary Jane Watson tient une place privilégiée dans sa vie : ils ont en effet connu plusieurs romances tous les deux, puis ont fini par se marier.

 

Comics La mort de Gwen StacyLe drame de la vie de Peter Parker

 

Dans les deux films de Marc Webb, c’est infiniment plus simple : Gwen Stacy, et puis c’est tout. Incarnée par la pétillante Emma Stone, Gwen est le premier et seul amour de Peter Parker, et ce jusqu’à sa fin tragique qui ressemble beaucoup à son destin sur papier. La personnalité du personnage est assez proche de son modèle de papier (en tenant compte des différences entre une adolescente des années 60 et une adolescente des années 2010).

En revanche, son intelligence est utilisée avec beaucoup trop de facilité dans les films. Une stagiaire niveau lycée qui peut faire tout ce qu’elle veut dans une société comme Oscorp, c’est très commode pour les scénaristes, mais beaucoup moins pour le réalisme et la suspension de crédulité. Et comme pour Andrew Garfield, on voit bien que l'actrice est plus âgée que son personnage, même si la différence d'âge est moins prononcée.

 

Gwen Stacy version ciné, la super stagiaire d'Oscorp

 

La Chatte noire est présente sans l’être : elle apparaît sous son identité civile de Felicia Hardy dans The Amazing Spider-Man 2 : le destin d'un héros. La rumeur veut que le personnage devait être nettement plus important dans le film, et notamment prêter main forte à Harry. Comme cette version de Spider-Man ne connaîtra pas de suite, impossible de savoir si elle aurait fini par elle-aussi porter un costume félin. C'est Felicity Jones, avant sa nomination aux Oscars et son rôle dans Rogue One : A Star Wars Story, qui incarne la belle.

A noter que Shailene Woodley avait tourné quelques scènes en Mary-Jane Watson pour The Amazing Spider-Man 2 : le destin d'un héros, en vue d'un troisième film où elle aurait été au premier plan. Elles ont finalement été coupées.

 

Photo Felicity Jones Personnage costumé en gestation ? On ne le saura pas...

 

VERDICT : Une vie sentimentale qui se concentre sur une seule femme, c’est plutôt logique vu que les films se déroulent sur peu de temps (les années lycée de Peter Parker). Et l’adaptation de Gwen est plutôt réussie, ce qui ne gâche rien.

 

Photo Andrew Garfield

 

EN CONCLUSION 

Sans aller jusqu'à la trahison, The Amazing Spider-Man et sa suite, The Amazing Spider-Man 2 : le destin d'un héros, prennent des libertés importantes sur certains aspects des personnages et leur histoire. Cela en fait des adaptations moyennes de Spider-Man, en plus de leurs défauts propres. 

Avec la sortie de Spider-Man : Homecoming le 12 juillet, le dossier est dans tous les cas loin d'être classé.

 

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commentaires
MoonBlite
13/08/2017 à 15:15

Je ne suis pas d'accord avec l'article, Marc Webb a rendu un fidèle hommage aux comics (plus proche que ceux de Sam Raimi). Son sens de l'araignée est montré dans la scène du métro et dans bien d'autres scène. Il ne saute pas partout mais utilise a bien ses pouvoirs (plus que dans les Spider-Man de Sam Raimi). Je trouve Andrew Garfield plus convaincant que Tobey MacGuire il endosse plus facilement le fait d'être quelqu'un dont on ne s'y intéresse pas. Et puis Marc Webb a donné un rôle important à Gwen Stacy (la première petite amie de Peter). J'ai trouvé mieux les The Amazing Spider-Man que Spider-Man/Homecming et je suis déçu de ne pas retrouver une suite au deuxième opus à l'écran

Rorov94@@
15/04/2017 à 17:03

@maided .on a censuré ma réponse(petite habitude française)
Je m'inquiétait pour ta santé.les fils tiennent toujours?t'inquiète ça cicatrice...

Flash
15/04/2017 à 15:38

@Ichabod
Pareil, rien de plus à ajouter.
Ah si Garfield, une bonne tête à baffe.

Paehon
15/04/2017 à 10:16

Le ptit rorov est attendu à la sortie par ses parents

Maided
15/04/2017 à 10:13

Et ça se met à ronronner pour jouer les interressants ou plutôt les trolls de cours de récré, pauvre Rorov, tu te ridiculises davantage en prouvant une fois de plus que t'es qu'un pathétique rat de gouttière qui se sentirait beaucoup mieux dans son trou.

Rorov94
15/04/2017 à 06:15

Néanmoins,dans ma grande mansuétude,je suis prêt à vous pardonner et vous faire partager ma lumière cinéphilique ;bandes d'ignares récalcitrants.
Nuages qui s'écartent
Rayon de lumière apparaît
Musique angélique(james horner?)
A genoux bandes de gueux!et ne vous faites pas berner par de faux génies filmiques.
Les seuls bon films de sam raimi:
Mort sur le grill,army of darkness,darkman,mort ou vif(et même là,on est au niveau du tâcheron sans saveur)
Alors oui!@maided,j'assouvi un besoin naturel lié à la consommation excessive de liquide en visant une partie de ton corps qui te sers de turbine à chocolat.
Pour faire simple:je te pisse a la raie!

Rorov94
15/04/2017 à 06:01

Y'a tellement de moutons sur ce forum,qu'on dirait un métrage aardman!
Et puis qu'un nommé alan smithee s'octroie le droit de juger un mauvais film à ses yeux,quel paradoxe...doit-je te rappeler l'origine de ton pseudo ?

Alan Smithee
14/04/2017 à 22:49

@Rorov, c'est vrai que faire mourir les Stacy, père et fille, c'est du jamais vu dans Spiderman...

Maided
14/04/2017 à 22:32

@Rorov Merci pour le fou rire mais il est temps que tu retournes te coucher dans les jupons de ta moman et surtout n'oublie pas de prendre ton biberon. C'est qu'i faut bien bouffer et dodo pour grandir.

Rorov94
14/04/2017 à 19:29

Webb à assuré comme une bête,ses 2 films sont extras.
Tout est nickel:sfx,scenar',mise en scène,musique et un costume digne de ce nom.
Des bad guys qui en fait ne le sont pas.
Des morts surprises.
Et un andrew garfield habité par son personnage.
Le jour où j'ai appris qu'il ne ferait pas un 3 film(malgré ses 750 millions de $ dans le monde!?!?!)j'ai appris le sens de pas mal de gros mots que l'on donne à hollywood.

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