Match Depp / Bale : qui a la meilleure filmo ?

Thomas Messias | 8 juillet 2009
Thomas Messias | 8 juillet 2009

La sortie ce mercredi de Public enemies était pour nous l'occasion rêvée d'organiser un match de filmographies entre les deux interprètes principaux du film, à savoir Johnny Depp et Christian Bale. Alors, à votre avis ? Le transformiste d'Hollywood ou le destructeur de techniciens ? Réponse tout en bas...



   

 

Les griffes de la nuit (1985)

Freddy sort de la nuit et fait du dégât, sortant des cauchemars des jeunes gens pour aller trucider dans la vraie vie. Parmi les victimes de cette première (et meilleure ?) aventure du boogeyman, un certain Johnny Depp...(4/5)

 

 

Platoon (1987)

L'enfer de la guerre selon Oliver Stone, qui livre de jeunes recrues en pâture aux soldats vietnamiens et cambodgiens. Dans un petit rôle, Johnny en prend lui aussi plein la tronche. (4/5)

 

 


 

 

 

Empire du soleil (1988)

Âgé d'à peine 13 ans lors du tournage, le petit Christian s'en sort mieux que bien dans cette grande fresque, spielbergienne par excellence car mêlant le grand devenir de l'humanité et la quête d'avenir d'un gamin en culottes courtes. (3,5/5)

 

 

Edward aux mains d'argent (1990)

Premier vrai rôle ciné hors figurations pour Depp, et premier chef d'oeuvr, sans doute l'une des plus grandes de Tim Burton : un conte poético-macabre d'une puissance picturale immense et d'une violence morale insoupçonnable. Une claque. (4/5)

 

 

Cry-baby (1990)

La gueule de petit minet qu'arborait Depp à l'époque ne pouvait échapper à John Waters, qui en fait une sorte d'icône ultime du mauvais goût sauce romantique. Délibérément tarte, foncièrement hideux : un pur Waters, en somme. (3,5/5)

 

 

 

 

Henry V (1991)

Comme souvent lorsqu'il n'a plus d'idées, Kenneth Branagh revient à Shakespeare. Un peu moins petit mais toujours pas majeur, Bale y fait quelques apparitions en fils de Robbie Coltrane dans ce film très classique mais d'une efficacité absolue. (3,5/5)

 

 

Newsies (1992)

On en apprend tous les jours : ainsi donc, Christian Bale a dansé dans une comédie musicale Disney. Mais attention, sujet sérieux : Newsies, c'est tout de même l'histoire de paperboys qui se mettent en grève. Soyons francs, on ne l'a pas vu, et son se porte bien quand même.

 

 

Arizona dream (1992)

L'aventure américaine d'Emir Kusturica se solde par une oeuvre totalement barrée, ultra poétique par moments, splendidement pathétique à d'autres, avec notamment un Vincent Gallo mamorable en fan de La mort aux trousses. Depuis, Emir a salement sombré. (3,5/5)

 

 


 

 

 

Swing kids (1992)

Pour Robert Sean Leonard, l'après Cercle des poètes disparus passe par cette étrange histoire de deux types contraints de s'engager dans les jeunesses hitlériennes suite à une mauvaise blague adressée à un membre de la Gestapo. Inabouti mais étonnant. Et Christian y porte parfaitement bien la mèche. (3/5)

 

 

Gilbert Grape (1993)

Une fois n'est pas coutume, ce n'est pas la prestation de Johnny Depp qui fit parler à l'époque, mais celle d'un petit jeune nommé Leo DiCaprio, impressionnant en attardé mental. Pour du Lasse Hallström, c'est tout de même plutôt pas mal. (3,5/5)

 

 

Benny & Joon (1993)

Pas dans sa meilleure période, Depp joue les asociaux avec toujours autant d'aisance, dans cette gentille petite comédie dramatique sans grande dimension. (3/5)

 

 

Les quatre filles du docteur March (1994)

Qu'apporte cette énième adaptation au roman de Louisa May Alcott ? Pas grand chose, si ce n'est un nouveau vent de classicisme de la part de Gillian Armstrong. Mais Bale est un Laurie très convaincant. (3/5)

 

 

Ed Wood (1994)

Et si le cinéaste le plus nul du monde était finalement le plus génial ? Dans le film de Tim Burton, en tout cas, c'est un fait : cet Edward Wood est un fabuleux personnage de cinéma, adepte du système D et du travelotage, toujours empreint d'une farouche bonne volonté. Le noir et blanc de Burton ne lui rend que mieux justice. (4,5/5)

 

 

 

 

 

Dead man (1995)

L'oeuvre la plus introspective de Jim Jarmusch, elle aussi en noir et blanc, est sans doute l'une de ses plus belles. Un long poème en prose, mutique et hypnotique, auquel Depp prête son magnétisme naturel. (4/5)

 

 

Don Juan DeMarco (1995)

Quand Johnny joue les fêlés, ça marche. La plupart du temps, en tout cas. Devant la caméra de Jeremy Leven, il patauge un peu, à l'image d'un scénario faisant du surplace en permanence. Au vu de la filmo du bonhomme, on s'en moque un peu. (2,5/5)

 

 

Meurtre en suspens (1995)

Enfin voyons, Johnny... tourner avec John Badham, franchement... Sans doute alléché par l'idée du film (dont une partie se déroule, ou presque, en temps réel), Depp fait gentiment le boulot dans ce thriller téléphoné mais pas désagréable, idéal pour un dimanche de pluie. (2,5/5)

 

 

L'agent secret (1996)

En adaptant Graham Greene, Christopher Hampton déçoit. Que venait faire Gégé Depardieu dans cette galère, lui qui à l'époque n'acceptait pas encore tout et n'importe quoi ? C'est une bonne question. (1/5)

 

 

Portrait de femme (1996)

Meringue ou bouleversant... portrait de femme ? On hésite encore pour ce film de Jane Campion qui, c'est certain, ne vaut ni La leçon de piano ni ses premiers films. Nicole Kidman y gagne ses galons de femme-glaçon. (2,5/5)

 

 

Donnie Brasco (1996)

Même si le film porte le nom de son personnage, Johnny Depp est un peu éclipsé par Al Pacino, fabuleux dans le rôle du cabotin Lefty, trop confiant pour finir libre. Inspiré d'une histoire vraie, le film de Mike Newell est un complément idéal aux films-documents de Marty Scorsese sur la mafia. (4/5)

 

 


 

 

 

Metroland (1996)

Casting cosmopolite pour ce drôle de petit drame, très touchant, sur un homme se remémorrant son grand amour d'antan. L'Angleterre des seventies y est brillamment mise en valeur. (3/5)

 

 

The brave (1997)

Le premier (et unique) film réalisé par Depp part d'une idée courageuse, celle de raconter les dernières heures d'un type ayant accepté d'être la victime dans un snuff movie pour permettre à sa famille de vivre décemment. Le sujet est beau, le traitement l'est malheureusement moins. (2,5/5)

 

 

Velvet goldmine (1998)

Christian mène l'enquête pour savoir ce qu'est devenue son idole, prince du glam rock. Brillante relecture de la génération Bowie, qui manque malheureusement d'épaisseur et ne convainc pas totalement. (3,5/5)

 

 

Las Vegas parano (1998)

Qui d'autre que Depp aurait pu interpréter Hunter S. Thompson,pardon, Raoul Duke ? Sans être le chef d'oeuvre qu'on aurait pu attendre de l'association Gilliam - Depp, Las vegas parano est un trip assez dévastateur.Ou peut-être un peu chiant, ça dépend. (3/5)

 

 


 

 

 

La neuvième porte (1999)

Pas en forme, Polanski, pour cette adaptation du Club Dumas de Perez-Reverte ? Il paraît. En tout cas, le cinéaste parvient tout de même à revisiter quelques-unes de ses obsessions dans cette aventure au pays des livres anciens. (3/5)

 

 

Intrusion (1999)

Johnny Depp est blond et mauvais dans cet improbable thriller fantastique où un bel astronaute revient d'un voyage complètement changé.D'une connerie sans nom, c'est l'une des seules vraies erreurs de parcours de l'acteur. (1/5)

 

 

Songe d'une nuit d'été (1999)

Cette sympathique adaptation de Shakespeare vaut surtout pour son casting bourré de stars. Rien de vraiment mémorable cependant. (2/5)

 

 

Sleepy hollow, la légende du cavalier sans tête (1999)

Burton - Depp, suite ; et bien que manquant d'un je ne sais quoi pour devenir un chef d'oeuvre, ce conte macabre possède une aura monstre et une noirceur absolument délicieuse. Et Christopher Walken est juste énorme. (4/5)

 

 

Shaft (2000)

Cricri joue les vilains racistes pleins de pognon et serre parfaitement la mâchoire dans cette adaptation des aventures de l'un des leaders du genre blaxploitation. Résultat : un gros film d'action sans génie, mais plutôt bien exécuté par John Singleton. (2,5/5)

 

 

American psycho (2000)

LE rôle qui imposa définitivement Bale comme un acteur qui compte. Bien que souvent décriée, cette adaptation du best seller de Bret Easton Ellis n'est pas dépourvue de qualités, la première étant l'interprétation de son héros, aussi glaçant et flippant que cela est possible. (2,5/5)

 

 


 

 

 

The man who cried (2001)

Cruelle déception de la part de Sally Potter, dont le Orlandoavait de quoi faire rêver : ce Man who cried est d'un ennui absolument mortel, et ne permet jamais à ses interprètes de s'exprimer comme ils l'auraient dû. (1,5/5)

 

 

Capitaine Corelli (2001)

Toujours pas revenu de l'Oscar du meilleur film de Shakespeare in love (qu'il se rassure, nous non plus), John Madden nous sort la mandoline pour ce triangle amoureux un peu plat mais assez efficace. Et Penélope y est vraiment craquante. (2,5/5)

 

 

Avant la nuit (2001)

Un second rôle totalement délirant pour Depp, folle tordue et pilier de la prison dans laquelle croupit Reinaldo Arenas, écrivain cubain incarné par un somptueux Javier Bardem. Peut-être le meilleur film de Julian Schnabel. (4/5)

 

 

Blow (2001)

Les dealers d'importance et les gangsters d'envergure ont souvent donné de grands films. Ce n'est pas le cas du dernier film de feu Ted Demme, qui romance les évènements mais refuse en bloc toute grandiloquence. Du coup, on baille. (2,5/5)

 

 


 

 

 

Le chocolat (2001)

On aime beaucoup Juliette Binoche et Johnny Depp, mais il y a tout de même des erreurs qu'on peut difficilement excuser. Par exemple ce gros mélo plus guimauve que chocolat, qui démontre si besoin que Lasse Hallström n'est qu'un faiseur de bons sentiments. Berk. (1/5)

 

 

Equilibrium (2002)

Quelques années avant l'inénarrable Ultraviolet, Kurt Wimmer expérimentait déjà de nouvelles techniques de combat, mais avec une réussite bien différente. Même s'il s'embourbe parfois dans les méandres d'une intrigue pas passionnante, le film se tient plutôt bien grâce à la soliditéet l'originalitéde ses scènes d'action. (2,5/5)

 

 

From hell (2002)

Les inattendus frères Hughes offrent une adaptation limite hérétique du chef d'oeuvre d'Alan Moore ; pour les non fans, ce n'est qu'un petit suspense intriguant mais sans envergure.Pour tous, c'est donc un échec relatif aux attentes, malgré quelques bonnes choses. (2,5/5)

 

 

Le règne du feu (2003)

Dans le futur, les dragons dirigeront le monde. C'est en tout cas ce que veut nous faire croire Rob Bowman dans ce récit fantastique qui vaut évidemment mille fois mieux que tous les Donjons & dragons du monde, mais pèche par manque de souffle épique. Bale est déjà gigantesque. (2,5/5)

 

 

Lost in la mancha (2003)

Johnny Depp fut l'un des acteurs involontaires de ce documentaire palpitant sur le naufrage du film que Gilliam voulait consacrer à Don Quichotte (et qui finira peut-être par voir le jour). Ou quand un making-of devient un grand film. (4/5)

 

 

Laurel canyon (2003)

Inédit en salles, le film de Lisa Cholodenko est pourtant un très beau drame voguant entre l'univers hospitalier et le monde de la production musicale. Frances McDormand y dévoile une personnalité trashy, Kate Beckinsale s'y fait convaincante, et Natascha McElhone est la plus belle femme du monde. (4/5)

 

 


 

 

 

Desperado 2 - il était une fois au Mexique (2003)

On veut bien être gentil avec Robert Rodriguez, mais certaines fois il fait vraiment n'importe quoi. Une preuve parmi tant d'autres est ce Desperado 2 parfaitement inutile, qui recycle bien mal les recettes du premier volet (dont certaines étaient déjà éculées il y a dix ans). Depp est relativement correct dans un second rôle amusant. (2/5)

 

 

Pirates des Caraïbes - la malédiction du Black Pearl (2003)

Premières aventures pour Jack Sparrow, et petits frissons : en Keith Richards version pirate, Johnny n'est pas mal du tout, surtout qu'il est entouré par deux endives. C'est tout de même très long et assez soporifique, mais le public en redemande. (2,5/5)

 

 

Fenêtre secrète (2004)

Quand David Koepp tente de jouer au plus malin, ça donne cette toute petite adaptation de Stephen King, qui ne pisse franchement pas loin et tente maladroitement de nous faire gober un twist on ne peut plus miteux. On passe. (1,5/5)

 

 

The machinist (2004)

Ne pas réduire ce film à l'impressionnante maigreur affichée par Christian Bale dans le film : The machinist est un polar psychologique absolument implacable, qui va fouiller loin, très loin dans les méandres de nos hémisphères cervicaux. Un casse-tête impressionnant, par le passionnant Brad Anderson. (3,5/5)

 

 

Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants (2004)

La famille Gainsbourg - Attal, c'est quand même la classe :  quand on a besoin d'une guest star pour incarner la tentation de l'adultère, on fait appel à Johnny Depp. Rien que ça. En deux scènes, au Virgin puis dans l'ascenseur, il fait glousser les donzelles et fait fantasmer Charlotte Gainsbourg. Le film, lui, est un marivaudage assez sympa bien qu'un peu long. (3/5)

 

 

Le nouveau monde (2005)

Il n'y pas pas que John Smith et Pocahontas dans le dernier Terrence Malick : Bale est également bien présent et donne peut-être au film ses moments les plus intéressants. Sinon, c'est du Malick, donc c'est très beau mais possiblement très chiant pour quelques-uns voués au silence éternel. (4/5)

 

 


 

 

 

Neverland (2005)

Un biopic assez malicieux du créateur de Peter Pan, qui fait malheureusement l'impasse... sur la pédophilie avérée du bonhomme. Pour peu qu'on oublie ou ignore ce détail important, c'est tout de même un moment assez féérique. (3/5)

 

 

Batman begins (2005)

Trois années avant le monument The Dark knight, Bruce Wayne renaissait des funestes cendres laissées par Joel Schumacher. Nolan et David S. Goyer lui offrent une résurrection excitante, qui laissait présager du meilleur pour la suite. Dont acte. (4/5)

 

 

Charlie et la chocolaterie (2005)

Bien avant la mort du King of Pop, Johnny Depp s'entraînait déjà pour le futur biopic de MJ : son Willy Wonka pâle, androgyne et malsain sait évidemment s'y prendre pour appâter les jeunes enfants. Quant à cette adaptation de Roald Dahl, elle est loin d'être aussi merveilleuse que le livre mais a au moins le mérite de fairedécouvrir cet univers aux jeunes d'aujourd'hui. (3/5)

 

 

Rochester, le dernier des libertins (2005)

Affublé d'un improbable appendice nasal, Johnny Depp joue les libertins avec un plaisir non dissimulé dans cette oeuvre curieuse et méconnue. À voir et comparer avec le Quills de Philip Kaufman. (3/5)

 

 

Bad times (2006)

Alors en plein boom, Bale casse une nouvelle fois son image avec ce rôle de flic pourri et complètement allumé. Ce polar façon Ellroy ne convainc pas totalement mais a tout de même une certaine classe. (3/5)

 

 

Pirates des Caraïbes,  le secret du coffre maudit (2006)

Ça commence à se gâter pour Jack Sparrow et ses compagnons, prisonniers d'aventures interminables et franchement gnangnan. Heureusement, il y a toujours une poignée de scènes pour sauver l'ensemble. (2/5)

 

 


 

 

 

Le prestige (2006)

Entre deux Batman,les frères Nolan s'offrent la récréation la plus géniale qui soit. Fable sur le pouvoir de l'illusion, duel au couteau entre deux égos surdimensionnés, Le prestige a l'âme d'un futur classique, à condition de bien vieillir. (4/5)

 

 

Pirates des Caraïbes, jusqu'au bout du monde (2006)

Mêmes recettes et même sentence pour ce nouveau carton interplanétaire, qui montre une nouvelle fois à quel point le public peut aimer la soupe une fois qu'elle est servie par le beau Johnny. (2/5)

 

 

3h10 pour Yuma (2007)

En plein revival du western, le film de James Mangold est un remake assez bien vu doublé d'un vibrant hommage à un genre qu'il affectionne. En parfait salaud, Russell Crowe impressionne une nouvelle fois.Bale, lui, est un gentil presque trop propre sur lui. (3,5/5)

 

 

Rescue dawn (2007)

Largué seul en plein Laos par Werner Herzog, Bale paie une nouvelle fois de sa personne pour cet intenserécit d'une longue captivité. Dommage que les distributeurs n'aient pas eu le cran de le lancer en salles. (3,5/5)

 

 

Sweeney Todd (2007)

Grand retour de Tim Burton ou nouveau dérapage de l'ancien maître ? Chacun choisit son camp, avec un avantage certain à ceux qui saluent la bonne forme d'un Burton nous régalant avec cette comédie très noire et très musicale sur un vilain barbier meurtrier. (3,5/5)

 

 

 

 

 

I'm not there (2007)

Bale / Haynes, deuxième, à nouveau pour un film sur la musique et ceux qui la font. En l'occurrence Robert Zimmermann, a.k.a. Bob Dylan, dont Bale est l'une des nombreuses facettes dans le film. Un puzzle géant, livré sans le modèle, qui peut dérouter ou enthousiasmer sans réserve. (3,5/5)

 

 

The dark knight, le chevalier noir (2008)

Retour plus que gagnant, côté box-office comme niveau qualité, pour un homme chauve-souris qui trouve fort à faire en la personne du Joker, ultime pourriture intéressée par l'anarchie et rien que ça. Une véritable tragédie à la grecque s'orchestre sous nos yeux ébahis par tant de puissance visuelle et narrative. Un must. (4,5/5)

 

 

Terminator renaissance (2009)

Non content d'avoir fait revivre Batman, Bale porte désormais une autre charge bien pesante : donner du sens à l'époque post-Schwarzie de Terminator. En résulte une sorte de nouveau Mad max riche en morceraux de bravoure mais manquant sans doute de dimension dramatique. (3,5/5)

 

 

Public enemies (2009)

Bien que partageant à nouveau l'audience, le nouveau Michael Mann en a à nouveau séduit plus d'un, notamment par l'épure et le raffinement dont il fait preuve là où d'autres auraient joué les bourrins. (3,5/5)

 

 

 

LES SCORES



Johnny Depp 2,97 / 5 
Christian Bale  3,23 / 5 



Vainqueur

Christian Bale 

 

 

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