Transformers : La déferlante des jouets

Laurent Pécha | 28 juin 2009
Laurent Pécha | 28 juin 2009

Les robots de Michael Bay viennent de débarquer en salles et ils sont sacrement nombreux. Tout a été passé à la démultiplication à outrance et on assiste durant plus de deux heures trente à un festival de Transformers en tous genres. Une vraie bénédiction pour Hasbro qui boucle la boucle de manière maligne et brillante, offrant à nos chères têtes blondes un choix impressionnant de jouets pour tous les âges (on en connaît qui continuent à y jouer passée la trentaine). « Quand le film est inspiré de jouets qui finissent par inspirer de nouveaux jouets » : Bienvenue dans le monde de Transformers !

 

 


 

 

 

La déferlante est impressionnante dans les rayons des magasins et il y en a pour toutes les bourses en fonction du perfectionnement des robots à transformer. Du robot simple à transformer en appuyant sur un bouton (ou presque) à celui infiniment complexe (vous perdez la notice sans avoir compris le truc avant et vous restez à jamais avec un hybride de Transformer moitié véhicule, moitié robot), il y a de quoi s'occuper les mains pendant des heures. Les stars sont bien sûr déclinées à toutes les sauces,  Optimus Prime et Bumblebee en tête. Pour assurer la même guerre totale que Michael Bay dans son film, les Decepticons n'ont pas été oubliés et il y a largement de quoi transformer sa chambre en terrain d'affrontement titanesque à condition d'avoir une bourse solide. Les Transformers étant classés en niveau (de 1 à 4), le dernier pouvant faire monter les jouets à 80 euros.

 


 

Mais il n'y a pas que les robots dans la ligne Transformers, il y a aussi ce que l'on appelle dans le jargon du jouet : le « role play ». Soit cette capacité à vous proposer des objets vous permettant de vous transformer vous-même en petit Bumblebee. Si à la précédente fournée, c'était Optimus Prime et son casque qui nous permettait d'être le leader des Autobots, cette fois-ci, c'est le rigolo compagnon de Sam Witwicky qui est mis en avant. On retrouve le casque, toujours aussi bien réussi (changement de voix moins performant néanmoins) mais aussi un poing qui se transforme en canon avec bruitages à l'appui. Seul bémol, un prix de vente de 60 euros excessif pour la chose. Etre un Transformer ou ne pas l'être, voilà bien la question ultime...ou presque.

 

 

 

 

Une chose est sûre : avec l'inflation galopante de l'imaginaire de Michael Bay et sa team, il va falloir faire de la place dans les chambres des enfants et on n'ose pas imaginer ce qui nous attend pour l'opus 3.

 

Newsletter Ecranlarge
Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large.
Vous aimerez aussi
commentaires
Aucun commentaire.