60 films pour 2008 (1/2)

Thomas Messias | 8 janvier 2008
Thomas Messias | 8 janvier 2008

Nos tops (films et DVD) et nos flops effectués, la rédaction d'Écran Large se tourne désormais vers l'avenir, avec une année 2008 riche en évènements et en films attendus. En ce mois de janvier, nous avons sélectionné 60 films qui devraient faire l'actualité de l'année à venir. Une sélection subjective, favorisant il est vrai les cinéastes bénéficiant d'une certaine notoriété ou d'un buzz favorable. L'exhaustivité n'est pas de mise, et si chacun devrait trouver son bonheur dans cette sélection-là, nombreuses devraient être les délicieuses surprises et les "petits" films tirant leur épingle du jeu. Rendez-vous fin 2008 pour faire le bilan en relisant cette liste, qui va générer son lot de déceptions, de débats passionnés et de coups de cœur.

 

Dans un ordre totalement aléatoire, voici la première moitié de notre sélection.

 

Walk hard : the Dewey Cox story de Jake Kasdan (9 avril)

3 raisons d'y aller :

1) si vous avez aimé Walk the line (ou pas) ;

2) si tout ce qu'écrit Judd Apatow vous fait pisser de rire ;

3) si vous attendiez depuis longtemps John C. Reilly dans un premier rôle.

 

 

 

 

 

 

John Rambo de Sylvester Stallone (6 février)

3 raisons d'y aller :

1) si Rocky Balboa vous a fait pleurer comme une madeleine ;

2) si Rocky Balboa vous a consterné et que vous en voulez encore ;

3) si vous aimez crapahuter dans la gadoue avec un type chargé comme une mule.

 

 

 

 

 

 

Astérix aux jeux olympiques de Thomas Langmann et Frédéric Forestier (30 janvier)

3 raisons d'y aller :

1) si vous pensez qu'Alain Delon est plus drôle qu'Alain Chabat ;

2) si vous avez aimé l'Astérix de Claude Zidi ;

3) si vous attendez beaucoup de Clovis Cornillac en héros gaulois.

 

 

 

 

 

 

 

Hancock de Peter Berg (9 juillet)

3 raisons d'y aller :

1) si vous estimez que vraiment, Will Smith est une légende ;

2) si vous aimez les super-héros franchement losers ;

3) si depuis Le royaume vous ne jurez plus que par Peter Berg.

 

 

 

 

 

 

 

Death sentence de James Wan (16 janvier)

3 raisons d'y aller :

1) si Charles Bronson est votre idole ;

2) si Dead silence vous a flanqué la frousse ;

3) si vous n'avez pas encore acheté la version unrated sortie ces jours-ci en Zone 1.

 

 

 

 

 

 

 

Entre les murs de Laurent Cantet (avril)

3 raisons d'y aller :

1) si vous appréciez l'excellent journaliste-auteur-scénariste-acteur François Bégaudeau ;

2) si pour vous un Laurent Cantet est toujours un évènement ;

3) si vous êtes un jeune prof qui se cherche.

 

 

 

 

 

 

 

Wall-E d'Andrew Stanton (31 juillet)

3 raisons d'y aller :

1) si vous faites partie de ces gens qui donneraient un bras pour voir plus de Pixar ;

2) si depuis Short circuit les robots sont vos amis ;

3) si vous avez vu les premiers teasers (et sinon, c'est ici).

 

 

 

 

 

 

 

Margot va au mariage de Noah Baumbach (12 mars)

3 raisons d'y aller :

1) si vous continuez malgré tout à aimer Nicole Kidman ;

2) si vous vous pâmez devant Noah Baumbach, coscénariste de Wes Anderson et réalisateur de Les Berkman se séparent ;

3) si des seconds rôles nommés Jack Black et John Turturro vous rappellent de bons souvenirs.

 

 

 

 

 

 

 

Tropic thunder de Ben Stiller (20 août)

3 raisons d'y aller :

1) si la noirceur de Disjoncté vous a séduit ;

2) si vous êtes prêt à faire face au remplacement d'Owen Wilson par Matthew McConaughey ;

3) si le seul caméo de Tom Cruise vous met l'eau à la bouche.

 

 

 

 

 

 

 

Le voyage du ballon rouge de Hou Hsiao-Hsien (30 janvier)

3 raisons d'y aller :

1) si vous vous sentez comme un môme devant le film de Lamorisse ;

2) si vous vous demandez comment HHH a pu étirer un film de 36 minutes sur presque 2 heures ;

3) si vous êtes amoureux de Juliette Binoche (depuis longtemps ou depuis le dernier Playboy).

 

 

 

 

 

 

 

The happening de M. Night Shyamalan (11 juin)

3 raisons d'y aller :

1) si La jeune fille de l'eau ne vous a pas définitivement fait fuir ;

2) si vous aimez danser le twist ;

3) si vous pensez que ça va être Signes mais en mieux.

 

 

 

 

 

 

 

 

La guerre selon Charlie Wilson de Mike Nichols (16 janvier)

3 raisons d'y aller :

1) si vous trouvez que ça a l'air drôle ;

2) si vous aimez Aaron Sorkin, créateur de séries au poil ;

3) si les vieux réalisateurs vous attendrissent.

 

 

 

 

 

 

 

 

Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal de Steven spielberg (21 mai)

3 raisons d'y aller :

1) si vous aimez les coups de fouet ;

2) si l'idée de voir un mec de 65 balais botter des arrière-trains vous réjouit ;

3) si vous attendez ça depuis 18 ans.

 

 

 

 

 

 

 

Coupable de Laëtitia Masson (27 février)

3 raisons d'y aller :

1) si vous trouvez qu'un casting français alliant qualité et quantité, c'est rare ;

2) si vous voulez constater avec soulagement que Pascal Thomas n'est pas le roi du polar hexagonal ;

3) si vous considérez que Laëtitia Masson est injustement méconnue.

 

 

 

 

 

 

Bond 22 [titre de travail] de Marc Forster (5 novembre)

3 raisons d'y aller :

1) si Mathieu Amalric en bad guy, ça vous intrigue ;

2) si Olga Kurylenko en James Bond girl, ça vous travaille ;

3) si vous pensez que Casino royale n'était peut-être qu'un coup de bluff.

 

 

 

 

 

 

 

Babylon A.D. de Mathieu Kassovitz (27 août)

3 raisons d'y aller :

1) si vous croyez dur comme fer qu'il y a une vie après Gothika ;

2) si Maurice G. Dantec vous révulse ;

3) si Maurice G. Dantec vous fascine.

 

 

 

 

 

 

 

There will be blood de Paul Thomas Anderson (27 février)

3 raisons d'y aller :

1) si selon vous un Paul Thomas Anderson est toujours un évènement différent du précédent ;

2) si selon vous une prestation de Daniel Day Lewis est toujours un évènement différent du précédent ;

3) si vous aimez le cinéma.

 

 

  

 

 

 

L'instinct de mort / L'ennemi public n°1 de Jean-François Richet (sortie indéterminée)

3 raisons d'y aller :

1) si vous pensez que Vincent Cassel mérite mieux que Sa majesté Minor ;

2) si vous attendez encore le(s) grand(s) film(s) français sur le gangsterisme ;

3) si vous vous interrogez sur l'intérêt de pondre deux films sur un même bonhomme.

 

 

 

 

 

 

Speed racer de Larry & Andy Wachowski (18 juin)

3 raisons d'y aller :

1) si vous pressentez une nouvelle révolution visuelle ;

2) si vous avez grandi devant la série animée du même nom ;

3) si vous attendez surtout le making of, avec Larry 'Lana' Wachowski qui dirige le film en combi de cuir et talons aiguilles.

 

 

 

 

 

 

 

Anges & démons de Ron Howard (sortie indéterminée)

3 raisons d'y aller :

1) si vous n'avez pas assez ri devant Da Vinci Code ;

2) si vous êtes certain que le film sera moins mauvais que le précédent ;

3) si vous croyez que le film a des chances de sortir en 2008 malgré le report de son tournage (grève des scénaristes oblige).

 

 

 

 

 

 

Cortex de Nicolas Boukhrief (30 janvier)

3 raisons d'y aller :

1) si vous souhaitez que Boukhrief confirme sa bonne forme du Le convoyeur ;

2) si vous en avez marre de voir Dussollier jouer le gendre idéal ;

3) si ce jour-là vous n'avez pas envie de voir Astérix.

 

 

 

 

 

 

 

No country for old men de Joel et Ethan Coen (23 janvier)

3 raisons d'y aller :

1) si vous désespériez de revoir les Coen au meilleur de leur forme ;

2) si vous avez dévoré l'immense roman du grand Cormac McCarthy ;

3) si vous voulez voir Javier Bardem avec une perruque.

 

 

 

 

 

 

 

 

REC de Jaume Balagueró (20 février)

3 raisons d'y aller :

1) si vous trouvez scandaleuse la sortie direct to video de Fragile ;

2) si vous avez envie d'avoir la frousse de l'année ;

3) si vous voulez pouvoir vous plaindre du remake américain déjà en préparation.

 

 

 

 

 

 

 

 

Rogue de Greg McLean (sortie indéterminée)

3 raisons d'y aller :

1) si les crocodiles géants, c'est votre came ;

2) si le Wolf creek de McLean vous a coupé l'envie de mettre les pieds en Australie ;

3) si vous ne pouvez vous résoudre malgré tout à laisser tomber le pays des kangourous.

 

 

 

 

 

 

 

Disco de Fabien Onteniente (2 avril)

3 raisons d'y aller :

1) si Franck Dubosc vous fait rire ;

2) si vous êtes intrigué par Emmanuelle Béart jouant dans la comédie populaire de l'année ;

3) si vous n'en pouvez plus d'attendre Camping 2.

 

 

 

 

 

 

 

Angles d'attaque de Pete Travis (19 mars)

3 raisons d'y aller :

1) si vous vous vous êtes difficilement remis de l'explosion d'Omagh ;

2) si vous aimez JFK et Rashômon ;

3) si vous rêvez d'un I comme Icare avec Matthew Fox en Yves Montand.

 

 

 

 

 

 

 

 

Sex and the city de Michael Patrick King (30 mai)

3 raisons d'y aller :

1) si contrairement aux sondages vous ne trouvez pas Sarah Jessica Parker affreusement moche ;

2) si vous vous dites qu'un jour une adaptation de série TV sera fidèle et de qualité ;

3) si vous aimez les gonzesses.

 

 

 

 

 

 

 

Juno de Jason Reitman (6 février)

3 raisons d'y aller :

1) si vous pensez que Jason Reitman est un futur grand ou un déjà grand ;

2) si une scénariste nommée Diablo Cody vous est immédiatement sympathique ;

3) si malgré Hard Candy vous avez encore envie de vous frotter à Ellen Paige.

 

 

 

 

 

 

 

The international de Tom Tykwer (17 septembre)

3 raisons d'y aller :

1) si les films de Tom Tykwer vous donnent des ailes ;

2) si vous surkiffez Clive Owen ;

3) si vous avez la patience d'attendre le mois de septembre.

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans la brume électrique de Bertrand Tavernier (26 mars)

3 raisons d'y aller :

1) si vous vous félicitez que Bertrand Tavernier prenne des risques ;

2) si les gueules burinées vous émeuvent ;

3) si les bayous et les marais vous font flipper.

 

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