Avec seulement quatre films à son actif en 33 ans de carrière, on ne peut pas vraiment dire que Terrence Malick soit très productif ! Et pourtant, ce que le cinéaste d'origine texane perd en productivité, il le regagne au centuple en qualité. À tel point qu'après seulement deux films, La Balade sauvage et Les Moissons du ciel, le bonhomme était déjà qualifié de « Génie du septième art ».
La sortie de son quatrième et dernier long-métrage en date dans les salles de l'hexagone, Le Nouveau Monde, était donc l'occasion immanquable de revenir sur ce réalisateur avec tout d'abord deux articles consacrés à ce fameux « Nouveau Monde » et notamment les différences majeures entre la version distribuée aux quatre coins du globe et le premier montage du film que seuls quelques privilégiés ont eu l'opportunité de découvrir lors des avant-premières américaines (Flavien Bellevue, petit chanceux du groupe en villégiature à ce moment-là sur la côte ouest des States a pu en profiter). L'occasion également de revenir sur ses trois premiers longs-métrages, déjà disponibles en DVD, sans oublier bien entendu un portrait du cinéaste le plus mystérieux de la planète (à tel point que la photo en tête de cet article est l'une des seules existantes de Malick !).
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