Louis De Funès : les 10 Meilleurs Films du roi de la comédie française

La Rédaction | 21 avril 2023 - MAJ : 21/04/2023 17:52
La Rédaction | 21 avril 2023 - MAJ : 21/04/2023 17:52

Louis de Funès est l'un des acteurs comiques les plus célèbres de l'histoire du cinéma français. Retour sur les 10 films les plus marquants de ce génie de l'humour.

Décédé en 1983, Louis de Funès reste encore aujourd'hui un monument de la comédie française, un genre que ses films ont largement dominé dans les années 60 et 70. Avec son énergie grotesque, son tempérament sanguin, sa gestuelle burlesque et ses grimaces improbables, l'acteur s'est créé un personnage merveilleux d'éternel égoïste sévère et ambitieux, qu'il a plus ou moins varié à chaque concept.

En bref, Louis de Funès a moins été au service des films que ces films au service de son talent comique unique en son genre. C'est pourquoi il a été difficile de faire un retour sur dix de ses performances les plus mémorables... Mais il a fallu faire un choix (n'hésitez pas à mettre les vôtres en commentaire) !

 

Louis De Funès : photoL'éternel clown grognon

 

Le Gendarme de Saint-Tropez

Sortie : 1964 - Durée : 1h30

 

Le Gendarme de Saint-Tropez : photo, Louis De Funès"La loi, c'est moi !"

 

S’il y a bien un rôle qui définit le style de Louis de Funès, c’est celui de Ludovic Cruchot. Face à l’incompétence de sa troupe de gendarmes flemmarde, le gradé zélé et surexcité synthétise à merveille le besoin de contrôle du comédien, qui se reflète autant dans ses personnages que sur les plateaux de tournage.

Bien sûr, le discours du Gendarme de Saint-Tropez égratigne de manière très inoffensive l’institution dont il voudrait se moquer, mais il a offert à de Funès un terrain de jeu idéal à sa créativité burlesque, presque engoncée dans son uniforme. Une créativité et une grammaire humoristique affinées par l'acteur aux côtés de Jean Girault (notamment dans Le Gendarme se marie, de loin la meilleure suite).

Certes, la saga à succès est vite partie se vautrer dans la beauferie nanardeuse (surtout avec Le Gendarme et les extra-terrestres), mais le premier film comporte encore quelques belles trouvailles. On pense notamment à cette scène de conduite improbable avec une bonne sœur myope, qui alterne les plans larges sur la voiture avec les têtes ahuries de de Funès. De toute façon, il est indéniable que la saga a profondément marqué la carrière de sa star.

 

Fantômas

Sortie : 1964/1965/1967 - Durée : 1h44/1h39/1h45

 

Fantômas contre Scotland Yard : photo, Jean Marais, Louis De FunèsJean ne se Marais pas

 

Très librement inspiré des romans d’avant-guerre du même nom racontant les aventures d’un élégant génie du crime, la trilogie Fantômas réalisée par André Hunebelle compte Fantômas (1964), Fantômas se déchaîne (1965) et Fantômas contre Scotland Yard  (1967). Dans ces adaptations, le commissaire Juve est souvent perspicace, parfois à la ramasse, et toujours hystérique. Vous l’aurez deviné : c’est Louis de Funès qui l’interprète, et ceci à la perfection.

La trilogie d’Hunebelle est trop peu citée dans la liste des sagas dont la qualité a tenu le coup au fur et à mesure des films, car les Fantômas ne font que se bonifier de film en film pour se conclure avec la perfection d’un Fantômas contre Scotland Yard, où les gags savamment enchevêtrés dans l’intrigue policière à la Sherlock Holmes laissent à peine le temps de respirer entre deux éclats de rire. De Funès détonne à merveille dans ce décor de château hanté écossais, et use de sa parodie d’accent anglais comme il le faisait l’année précédente dans La Grande Vadrouille.

Les faux fantômes et les vraies frayeurs se croisent dans les couloirs, les pendus se dépendent tout seuls et un cheval semble se mettre à parler pour se plaindre à son patron. Le rythme et les dialogues représentent encore aujourd’hui une leçon absolue de comédie, et de Funès porte avec brio le film sur ses épaules. Face à lui, Jean Marais interprète le double rôle de Jérôme Fandor et de Fantômas, véritable héros du premier film. L’égérie de Cocteau n'apprécie pas que ce qui devait être des films d'action deviennent des comédies à la gloire de Louis de Funès, et c’est malheureusement la mésentente des deux acteurs qui privera le monde d’un quatrième volet qui devait s’intituler “Fantomas à Moscou”.

 

Le Corniaud

Sortie : 1965 - Durée : 1h45

 

Le Corniaud : photo, Louis De FunèsRéunion des deux rois de la comédie françaises

 

C’est la quatrième collaboration entre Bourvil et Louis de Funès, et l’un des films qui va faire exploser ce dernier au cinéma. Fort d’avoir joué dans Le Gendarme de Saint-Tropez et dans le premier Fantomas l’année précédente, c’est le début d’une carrière de premier plan pour celui qui n’est resté que trop longtemps second rôle. Le Corniaud est méprisé par la critique, mais remporte un énorme succès public avec près de 12 millions d’entrées en salles et se classe premier au box-office français de l’année 1965.

À la réalisation et au scénario, Gérard Oury, ami de Louis de Funès, tourne pour la deuxième fois avec celui qui deviendra son acteur fétiche. Alors que c’est, à l’époque, Bourvil la grande star du film, celui-ci demandera à ce que le nom de son confrère soit autant mis en avant que le sien pour favoriser sa reconnaissance auprès du public.

Le film est inspiré de l’affaire Jacques Angelvin, un animateur de télévision qui fut arrêté en 1962 lorsqu’il transportait 50kg de cocaïne dans sa voiture aux États-Unis à l’époque de la "French Connection". Alors qu'il a juré avoir été trompé pour servir de mule, son histoire donna à Oury l’idée d’écrire Le Corniaud et de persévérer ainsi dans la comédie, pour le plus grand bonheur des deux acteurs avec qui il tournerait bientôt La Grande Vadrouille.

 

La Grande Vadrouille

Sortie : 1966 - Durée : 2h12

 

La Grande Vadrouille : photo, Bourvil, Louis De FunèsUne scène mythique parmi tant d'autres

 

La légende raconte que pour son millième passage à la télévision, La Grande Vadrouille pourrait provoquer la fin du monde tel que nous le connaissons... et ce n’est peut-être pas bien grave, puisqu’il paraît difficile de se lasser du meilleur film de Gérard Oury, et du rôle le plus mythique de Louis de Funès.

Rien qu’à voir l’acteur jouer les chefs d’orchestre tatillons, il y a quelque chose de l’ordre du méta dans sa mécanique comique millimétrée. À partir de ce point de départ (et de son regard plus méchant qu’il n’y paraît sur la collaboration), le film ose tout, et présente chaque séquence comme une forme d’expérimentation situationnelle. Du quiproquo dans les bains turcs au partage de la mauvaise chambre, La Grande Vadrouille reste une masterclass de tempo et de crescendo, confirmant à quel point la comédie demande une rigueur toute musicale.

On en revient à ce de Funès en “Kapellmeister”, dont la pantomime de jouet à ressort s’accorde à merveille avec le flegme de Bourvil. Derrière la précision métronomique de ses élans burlesques, il y a aussi les pures impros de jazzman que se permet le comédien (notamment face aux ronflements de l’officier nazi). Que voulez-vous, c’est toujours aussi culte !

 

Oscar

Sortie : 1967 - Durée : 1h20

 

Louis De Funès : photo, Claude RichClaude veut devenir Rich

 

Au moment où la Gaumont lance la production de Oscar, adaptation d’une pièce de théâtre de Claude Magnier, Louis de Funès a déjà interprété maintes fois le rôle principal sur scène et le maîtrise à la perfection. Le studio, avec qui il est sous contrat, le place tout naturellement sur le film, et engage Edouard Molinaro à la réalisation, lui aussi sous contrat avec eux. Pas fan de vaudeville, celui-ci n’a pas vraiment le choix s’il veut honorer ses engagements et maintenir sa carrière à flot.

Le tournage se passe mal, entre un Louis de Funès qui a tous les droits et qui a une idée bien précise de la manière dont il veut que les choses se fassent, et un Molinaro qui essaye de faire un film cohérent alors que son acteur fait des caprices tous les quatre matins. C’est pourtant le génie des deux qui parviendra à donner ce chef-d'œuvre ultime de la comédie, capable de donner mal aux côtes au plus rabat-joie des rats morts. Il paraît même que, lors d’une projection, un spectateur est tombé du balcon de la salle de cinéma à force de rire ! Peut-être lors de la fameuse scène du nez ? Ou celle de la valise ?

Aux côtés de Louis de Funès, on trouve un jeune Claude Rich, lui aussi hilarant, qui affirme son style comico-flegmatique contrastant merveilleusement avec celui de son aîné. C’est aussi le premier film où la géniale Claude Gensac incarne la compagne de Louis de Funès. Elle deviendra sa femme attitrée à l’écran, sur les conseils de Jeanne de Funès, sa femme dans la vie réelle.

 

Hibernatus

Sortie : 1969 - Durée : 1h18

 

Hibernatus : photo, Louis De FunèsPar mes moustaches

 

Alors que Louis de Funès et Edouard Molinaro s’étaient juré de ne plus retravailler ensemble après Oscar, la Gaumont les réunit tout de même pour Hibernatus, leur première collaboration ayant été un grand succès public. Il s’agit aussi de l’adaptation d’une pièce de théâtre, cette fois-ci écrite par Jean Bernard-Luc, et qui est l’occasion de répéter certaines mécaniques établies dans Oscar. Paul Préboist revient dans le rôle du domestique, et Claude Gensac incarne de nouveau la femme de Louis de Funès, qui adore travailler avec elle (d’autant qu’elle permet de faire le tampon avec Molinaro, qui l’adore aussi).

Dans cette histoire rocambolesque où un homme congelé depuis 70 ans est ramené à la vie dans une famille qui va lui faire croire qu’il vit toujours à la Belle Époque, l’écriture et le rythme sont moins parfaits que dans Oscar, mais les grands moments ne manquent pas. Mention spéciale pour la scène de la révélation ratée, où le personnage de Louis de Funès devient à moitié fou et répète en boucle le nom de sa femme, “Edmée” (dites-le plusieurs fois d’affilée comme si votre vie tenait à la prononciation de chaque lettre).

Dans les rôles secondaires, les formidables Claude Piéplu et Michael Lonsdale viennent apporter leur touche, et on aperçoit aussi Olivier de Funès qui joue ici le rôle du fils de son (vrai) père. C’est, cette fois-ci, la dernière fois que Louis de Funès et Edouard Molinaro travailleront ensemble, ce tournage ayant été encore plus éprouvant que le précédent, bien que Molinaro soit toujours resté admiratif du génie créatif de son acteur.  

 

La Folie des Grandeurs

Sortie : 1971 - Durée : 1h53

 

La Folie des grandeurs : photo, Louis De FunèsLa folie est sa grandeur 

 

"Ne vous excusez pas, ce sont les pauvres qui s'excusent. Quand on est riche, on est désagréable !", "On voit très bien d'un œil !", "Il est l'or, mon seignor", "Mais qu'est-ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire !", "Les pauvres c'est fait pour être très pauvres, et les riches, très riches !", "Elle ment en allemand !"... La Folie des grandeurs, c'est un festival sans fin de répliques cultes, de gags parfaits et de situations hilarantes, qui restent follement modernes des décennies après.

Né de l'envie un peu folle de Gérard Oury de transformer Ruy Blas de Victor Hugo en comédie, La Folie des grandeurs a permis la rencontre magique entre Louis de Funès et Yves Montand (Bourvil était envisagé, mais il est mort avant). Servi par les dialogues croustillants de Gérard Oury, Danièle Thompson et Marcel Jullian, le duo s'en donne à cœur joie, et déploie une énergie formidable pour transformer toutes leurs scènes en sommets de comédie.

Pour Louis de Funès, le rôle de l'odieux don Salluste est une évidence. Il parle vite, il parle fort, il gesticule dans tous les sens avec des costumes pas possibles. Il maîtrise à merveille sa voix et son corps, pour accélérer puis s'arrêter, dictant à tout le monde le tempo des scènes. De Funès est le roi, et il le prouve une énième fois dans ce chef-d'œuvre de comédie, qui n'a pas pris une ride.

 

Les Aventures de Rabbi Jacob

Sortie : 1973 - Durée : 1h40

 

Aventures de Rabbi Jacob (Les) : Photo Louis De FunèsLe public français avec Louis de Funès

 

Danièle Thompson, fille de Gérard Oury et scénariste (entre autres) des Aventures de Rabbi Jacob clame haut et fort qu’un film pareil, aussi provocateur dans sa manière d'aborder l’antisémitisme, ne pourrait plus exister aujourd’hui. En réalité, c’est prendre le long-métrage et son héritage sous le mauvais prisme. Contrairement à Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ? et d’autres comédies pataudes qui prétendent rire de la discrimination pour mieux recycler les mêmes clichetons, Rabbi Jacob a l’intelligence de ne jamais créer une quelconque ambiguïté dans son discours.

Au travers de Louis de Funès et de l’aura agaçante qu'il donne habituellement à ses personnages, Gérard Oury exploite l’acteur comme le véhicule d’un ridicule assumé, quand bien même il s’agit du protagoniste principal. On ne rit pas avec Victor Pivert, on rit de lui, de sa bêtise et de sa fermeture d’esprit (le mythique “Salomon, vous êtes juif ?”). Le postulat est risqué, mais le réalisateur sait en tirer le meilleur, grâce à son sens du burlesque aiguisé et sa narration de vaudeville. Petit à petit, la sympathie pour ce personnage déphasé pointe le bout de son nez, alors même que son cœur s’ouvre à une communauté qu’il ne comprenait juste pas.

C’est donc un contresens de voir en Rabbi Jacob une œuvre qui ne trouverait plus sa place dans le cinéma contemporain. C'est juste que Gérard Oury savait taper là où ça fait mal, et pointer du doigt une société française par essence discriminante, surtout dans ses sphères les plus aisées. En ressort une véritable ode à la tolérance, aussi vacharde que tendre, qui n’a jamais trouvé de successeur à sa mesure.

 

L'Aile ou la cuisse

Sortie : 1976 - Durée : 1h44

 

L'Aile ou la Cuisse : photo, Louis De Funès, ColucheLe glouglou et le miam miam

 

Avec le temps, la méthodologie comique de Louis de Funès s’est perfectionnée par le casting de ses camarades de jeu. Dans le domaine, L'Aile ou la cuisse reste un incontournable, qui doit beaucoup au duo que l’acteur forme avec Coluche, dont la bonhommie contraste avec la surexcitation de son acolyte.

Dès lors, le film profite aisément de ces énergies contraires pour façonner une relation père-fils efficace, avec pour cœur émotionnel la difficulté de rejeter un lourd héritage. Après tout, le film de Claude Zidi traite plus généralement d’un fossé générationnel, alors qu’une certaine France du terroir se confronte à l’essor de l’industrie agroalimentaire. Sa critique de la malbouffe a beau ne pas être bien finaude, L’Aile ou la cuisse est au final une comédie assez habile, qui tire autant à boulet rouge sur la mort annoncée de la gastronomie que sur les dérives d’une critique culinaire qui en oublie parfois l’essentiel.

Ce juste équilibre est porté par l’inspiration burlesque et ouvertement irréaliste du film, où de Funès passe incognito dans des restaurants avec des costumes improbables, avant d’être torturé avec des huîtres pas fraîches qui lui donnent d’énormes boutons. Ce crescendo permet d'ailleurs au final d’être l’un des morceaux de bravoure les plus importants de sa filmographie : dans l’usine de Tricatel, avec ses poissons peints, ses poulets à base de pâte informe et ses bruitages hilarants, les réactions outrées de Louis de Funès et ses mimiques font mouche à chaque gag.

 

La Zizanie

Sortie : 1978 - Durée : 1h37

 

La Zizanie : photo, Louis De Funès, Annie GirardotGirardot avec un casque et de Funès casque

 

Il faut désormais conclure (en laissant de côté, le cœur lourd, beaucoup de films qui auraient aussi mérité d’être cités) avec l’un des derniers films de Louis de Funès, tourné cinq ans avant sa mort. Avec La Zizanie, l’acteur retrouve Claude Zidi, et c’est cette fois-ci Annie Girardot qui incarnera la femme de son personnage. Dans cette comédie qui frise parfois l’absurde, beaucoup de thèmes politiques sont abordés, via lesquels De Funès incarne un vieux monde cynique et dépassé (même si, à notre époque, il est toujours bien ancré) et les personnages de sa femme et de ses ouvriers portent des sujets progressistes tels que l’écologie et le féminisme.

Avec la scène du chantier des ouvriers qui prend place dans la chambre du couple de patrons (une métaphore parlante) et celle où De Funès change une partie de billard en négociation saignante, le film regorge de séquences fortes et efficaces qui en font une sorte de cacophonie comique et un impressionnant terrain de jeu pour son acteur principal.

La collaboration avec Annie Girardot est inédite, mais l’actrice, tout juste auréolée d’un César pour son rôle dans Docteur Françoise Gailland, est une partenaire de choix. Une très forte amitié naît entre elle et Louis de Funès, qu’elle décrira comme un “homme magique” et un “clown grave”. Le film est un succès, attirant près de 3 millions de spectateurs en salles, et sera suivi des deux derniers opus de la saga du Gendarme, de L’Avare et de La Soupe aux Choux avant que Louis de Funès ne s’éteigne à 68 ans le 27 janvier 1983.

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commentaires
Grey Gargoyle
31/08/2023 à 19:08

Hello,
mon préféré est La Folie des Grandeurs. C'est vraiment génial.
Bien cordialement

Cl3ms
01/05/2023 à 17:59

J'adore de Funes, mais je ne peux que regretter que la quasi-totalité de ses succès soient basés sur le même personnage : petit bourgeois réac et plus ignorant que méchant et presque toujours ridicule, fort avec les faibles et faible avec les forts ... A part le gendarme où il incarne un "campagnard" et pas un bourgeois, c'est tout le temps pareil dans ses roles à partir de 63-64.

Sinon, s'il faut lui trouver un "héritier" dans le cinéma français actuel, j'irais sur Dujardin qui s'en sort plus que fin dans l'humour absurde (OSS, Brice ...) et est aussi capable de faire le boulot dans des films sérieux

Eddie Felson
22/04/2023 à 00:59

@Kyle Reese
Même tendresse infinie et amusée pour le comédien et sa filmo qui ressemble à un paquet entier de madeleines de Prou(s)t!

Kherv
21/04/2023 à 21:41

Je ne retrouve jamais "l'homme orchestre" dans ces listes, qui est à titre personnel un de mes préférés, la bande son est excellente.

Pat Rick
17/04/2023 à 14:43

J'aime bien l'Homme Orchestre, l'une de ses comédies la moins connue.
François de Roubaix y signe une excellente musique.

The Moon
16/04/2023 à 22:53

Mention spécial au personnage de Jambier que De Funes incarne dans la traversée de Paris...

JPB
16/04/2023 à 15:08

Mention spéciale à "Ah ! les belles bacchantes", film du milieu des années 50 qui révèle aussi Michel Serrault dans une courte scène (et un tas d'femmes nues... qui auraient pas passé aux États-Unis alors que le "Code Hays" faisait rage).

banban
16/04/2023 à 14:20

Certes c'est un film théâtre (ou théâtre filmé ? ou même film-hybride ?) mais Louis de Funès en Harpagon dans l'Avare c'est quand même quelque chose.

On est sur du grand classique et c'est un peu moins accessible que La Grande Vadrouille, le Corniaud ou le Gendarme mais sa performance dedans est incroyable (mention spéciale pour SA scène du monologue d'Harpagon à se plier de rire).

Stivostine
16/04/2023 à 13:00

"Ni vu ni connu" son 1er grand rôle à la place de la zizanie mineure

Mais..
16/04/2023 à 10:36

Et Jo alors ? Je remplace la Zizanie par celui là. Et paf!

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