Critique : homère la puce
Retrouvez la critique dans notre dossier à cette adresse.
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Dans Hanna, on retrouve Saoirse (prononcer « seer-sha ») Ronan que l'on avait perdu en plein désert, il y a peu, dans le dernier film de Peter Weir.
Retrouver Tom Hanks derrière la caméra est un événement. Non pas que le comédien soit un cinéaste d'exception mais il aura fallu attendre 15 ans depuis
Le septième art fut à l'origine d'un regain d'intérêt général pour la musique cubaine, à travers des oeuvres telles que Buena vista social club. Pourtant, l'amateur
Léa a des allures de dissertation à laquelle il manquerait une problématique. On a beau être sensible au propos, on ne saisit pas bien la direction.
Dans la filmographie de David Lean, Summertime est bel et bien à part. Mélodrame flamboyant à l'allure classique, il se situe au croisement des deux périodes,
Si la production cinématographique thaï reste relativement discrète et méconnue dans nos contrées, au profit d'un cinéma japonais qui peine à se renouveler,
Après plusieurs projets avortés et un passage remarqué sur la série Braquo, Frédéric Schoendoerffer revient au cinéma, après le mal aimé Truands, avec
Il est des films dont on ne comprend pas, quand les lumières se rallument, ce qui a bien pu motiver leur mise en chantier.r
La famille Tuche, dont les patriarches sont chômeurs de père en fils, gagnent à la loterie une petite fortune, et décident d'emménager à Monaco, où il leur
Une seconde vie. Son titre est parfait puisque c'est en somme ce que vous propose le concept de Second life, réalité virtuelle où, sous couvert d'un avatar,
Difficile de ne pas remarquer l'affiche de La Prima cosa bella, où se détache sur un fond bleu éclatant le corps d'une femme superbe, comme baignant dans un halo